LoiELAN: crĂ©ation du nouveau bail mobilitĂ©. Le bail mobilitĂ© créé par la loi ELAN constitue une sorte de chaĂźnon manquant entre la location en meublĂ© simple, soumise au code civil, et celle Ă usage de rĂ©sidence principale du preneur, objet dâun statut particulier depuis la loi ALUR, et relevant partiellement du rĂ©gime gĂ©nĂ©ral des baux dâhabitation fixĂ© par la loi du 6
bail habitation principale soumis Ă la loi du 6 juillet 1989 BAIL HABITATION PRINCIPALE SOUMIS Ă LA LOI DU 6 JUILLET 1989 LOCATION NON MEUBLEE Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 du 8/07/89 modifiĂ©e Le prĂ©sent contrat de location annule et remplace toute convention antĂ©rieurement conclue. Le prĂ©sent contrat de location est composĂ© âą d'une premiĂšre partie comprenant toutes les conditions particuliĂšres et spĂ©cifiques de la prĂ©sente location ; âą d'une seconde partie comprenant toutes les conditions gĂ©nĂ©rales qui lui sont applicables. ENTRE LES SOUSSIGNĂS, CI-APRĂS DĂNOMMĂS LE BAILLEUR» et LE LOCATAIRE», IL A ĂTĂ FAIT ET CONVENU CE QUI SUIT 1. - CONDITIONS PARTICULIĂRES - BAILLEUR personne physique ou sociĂ©tĂ© civile de famille ou indivision nom et domicile - personne morale dĂ©nomination et siĂšge social avec le concours de1 titulaire de la carte professionnelle n° dĂ©livrĂ©e par la prĂ©fecture de le Âšïš carte portant la mention transactions sur immeubles et fonds de commerce » garantie par2 pour un montant de âŹ3 titulaire du compte spĂ©cial article 55 du dĂ©cret du 20 juillet 1972 n° ouvert auprĂšs de ÂŁïŁ carte portant la mention non-dĂ©tention de fonds »4 pour son activitĂ© de transaction immobiliĂšre garantie par2 pour un montant de âŹ3 ÂŁïŁ carte portant la mention non-dĂ©tention de fonds » et absence de garantie financiĂšre »4 pour son activitĂ© de transaction immobiliĂšre oïŻ carte portant la mention gestion immobiliĂšre » garantie par2 pour un montant de âŹ3 Titulaire dâune assurance en responsabilitĂ© civile professionnelle auprĂšs de sous le n° de police rĂ©guliĂšrement mandatĂ© Ă cet effet, demeurant Ă - LOCATAIRE nom ou dĂ©nomination â MANDATAIRE DU BAILLEUR Le mandataire du bailleur est1 titulaire du mandat n° et de la carte professionnelle n° portant la mention gestion immobiliĂšre » dĂ©livrĂ©e par la prĂ©fecture de le garantie par2 Titulaire dâune assurance en responsabilitĂ© civile professionnelle auprĂšs de sous le n° de police Le bailleur ou son mandataire pourra, Ă tout moment, informer le locataire de lâĂ©ventuel changement de mandataire du bailleur. PARAPHES 1 - LOCAUX LOUĂS â Situation immeuble sis Ă bĂątiment Ă©tage â DĂ©signation des parties privatives et des Ă©quipements propres aux locaux louĂ©s porte formant le lot n° tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux de l'immeuble. et reprĂ©sentant â Surface habitable du logement5 â Ăquipements Ă usage commun6 chauffage collectif Âšïš fioul Âšïš - gaz Âšïš - charbon Âšïš - Ă©lectricitĂ© Âšïš aires de stationnement Âšïš - voies de circulation privĂ©e Âšïš - aires de jeu Âšïš - espaces verts Âšïš ascenseur Âšïš - interphone Âšïš - porte Ă code Âšïš - antenne Âšïš - autre Âšïš - Equipement dâaccĂšs aux technologies de lâinformation et de la communication â Locaux accessoires 6 garage lot n° cave lot n° tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux parking lot n° grenier lot n° tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux tantiĂšmes gĂ©nĂ©raux â Pour une maison individuelle6 - raccordement au tout Ă lâĂ©gout Âšïš - assainissement individuel - fosse septique Âšïš - fosse toutes eaux Âšïš - fosse Ă©tanche Âšïš - abri de jardin Âšïš - piscine Âšïš - portail automatisĂ© Âšïš - Citerne de gaz dâune contenance de litres Âšïš - cuve Ă fuel dâune contenance de litres Âšïš Si la maison est situĂ©e dans un lotissement, Ă©quipements communs â Destination des locaux 6 Usage exclusif d'habitation principale Âšïš - Usage mixte professionnel et habitation principale Âšïš Profession â Nature et montant des travaux effectuĂ©s dans le logement depuis la fin du dernier contrat de location ou depuis le dernier renouvellement du bail - DURĂE DU CONTRAT DE LOCATION voir paragraphe 2, CONDITIONS GĂNĂRALES â durĂ©e du bail - DurĂ©e ans Date d'effet du bail Date d'Ă©chĂ©ance du bail - DurĂ©e abrĂ©gĂ©e par dĂ©rogation Date d'effet du bail Date d'Ă©chĂ©ance du bail Motif de la dĂ©rogation - LOYER- RĂVISION Informations prĂ©alables Loyer de rĂ©fĂ©rence7 ⏠âŠ/mÂČ de surface habitable Loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ©7 ⏠âŠ/mÂČ de surface habitable Dernier loyer hors charges acquittĂ© par le prĂ©cĂ©dent locataire9 - montant ⏠⊠- date de versement - Montant du loyer mensuel ⏠⊠Payable dâavance, le premier jour de chaque mois. PARAPHES 2 - RĂ©vision Le loyer sera rĂ©visĂ© automatiquement et de plein droit chaque annĂ©e le La derniĂšre valeur de lâindice de rĂ©fĂ©rence des loyers IRL connue Ă ce jour est celle du .................................. trimestre ........................... valeur .................................... Lorsque le bien fait lâobjet dâun mandat de gĂ©rance, le LOCATAIRE sâoblige Ă adresser les rĂšglements uniquement au mandataire, dĂ©signĂ© par LE BAILLEUR. Le BAILLEUR ou son mandataire pourra, Ă tout moment, informer le LOCATAIRE de lâĂ©ventuel changement de mandataire du BAILLEUR. - CHARGES ET TAXES - En sus du loyer, le LOCATAIRE sera redevable dâune provision sur charges et taxes fixĂ©es mensuellement Ă ce jour Ă la somme de ⏠Ce montant sera modifiĂ© en fonction des charges dĂ©terminĂ©es chaque annĂ©e. - En cas de colocation6 Âšïš En sus du loyer, le LOCATAIRE sera redevable dâune provision sur charges et taxes fixĂ©es mensuellement Ă ce jour Ă la somme de ⏠Ce montant sera modifiĂ© en fonction des charges dĂ©terminĂ©es chaque annĂ©e. Âšïš En sus du loyer, le LOCATAIRE sera redevable dâun forfait de charges dâun montant mensuel10 de ⏠Ce forfait de charges ne peut donner lieu Ă complĂ©ment ou Ă rĂ©gularisation ultĂ©rieure. Il fera lâobjet dâune rĂ©vision annuelle dans les mĂȘmes conditions que le loyer principal tel que prĂ©vu Ă lâarticle du prĂ©sent contrat. - DĂPĂT DE GARANTIE Le locataire a versĂ©, Ă titre de dĂ©pĂŽt de garantie, au bailleur6 au mandataire6 la somme de ⏠.................................................................... ........................................................................................................................................................................................................................... En cas de cotitularitĂ© du prĂ©sent bail, il est rappelĂ© que le dĂ©pĂŽt de garantie ne sera restituĂ© quâen fin de bail et aprĂšs restitution totale des lieux louĂ©s. Dans ce cadre, les parties conviennent dĂšs Ă prĂ©sent que les sommes restant dues au titre du dĂ©pĂŽt de garantie seront restituĂ©es dans les proportions suivantes6 â Ă parts Ă©gales entre chaque copreneur â intĂ©gralement Ă M ........................................ â autres modalitĂ©s de restitution ..................... - FRAIS ET HONORAIRES Il est ici rappelĂ© les dispositions du I de lâarticle 5 de la loi du 6 juillet 1989 La rĂ©munĂ©ration des personnes mandatĂ©es pour se livrer ou prĂȘter leur concours Ă lâentremise ou Ă la nĂ©gociation dâune mise en location dâun logement, tel que dĂ©fini aux articles 2 et 25-3, est Ă la charge exclusive du bailleur, Ă lâexception des honoraires liĂ©s aux prestations mentionnĂ©es aux deuxiĂšme et troisiĂšme alinĂ©as du prĂ©sent I. Les honoraires des personnes mandatĂ©es pour effectuer la visite du preneur, constituer son dossier et rĂ©diger un bail sont partagĂ©s entre le bailleur et le preneur. Le montant toutes taxes comprises imputĂ© au preneur pour ces prestations ne peut excĂ©der celui imputĂ© au bailleur et demeure infĂ©rieur ou Ă©gal Ă un plafond par mĂštre carrĂ© de surface habitable de la chose louĂ©e fixĂ© par voie rĂ©glementaire et rĂ©visable chaque annĂ©e dans des conditions dĂ©finies par dĂ©cret. Ces honoraires sont dus Ă la signature du bail. Les honoraires des personnes mandatĂ©es pour rĂ©aliser un Ă©tat des lieux sont partagĂ©s entre le bailleur et le preneur. Le montant toutes taxes comprises imputĂ© au locataire pour cette prestation ne peut excĂ©der celui imputĂ© au bailleur et demeure infĂ©rieur ou Ă©gal Ă un plafond par mĂštre carrĂ© de surface habitable de la chose louĂ©e fixĂ© par voie rĂ©glementaire et rĂ©visable chaque annĂ©e, dans des conditions dĂ©finies par dĂ©cret. Ces honoraires sont dus Ă compter de la rĂ©alisation de la prestation. » Le montant du plafond dâhonoraires Ă la charge du locataire pour la visite, la constitution de son dossier et la rĂ©daction du bail est fixĂ© Ă un montant de âŹ8 âŠ/mÂČ de surface habitable. Le montant du plafond dâhonoraires Ă la charge du locataire pour la rĂ©alisation de lâĂ©tat des lieux est fixĂ© Ă un montant de âŹ8 âŠ/mÂČ de surface habitable. Honoraires TTC, au taux actuel de la TVA de ⊠% Ă la charge du locataire - honoraires de visite, de constitution du dossier du locataire et de rĂ©daction du bail ⏠⊠- honoraires de rĂ©alisation de lâĂ©tat des lieux dâentrĂ©e ⏠⊠Honoraires TTC au taux actuel de la TVA de ⊠%, Ă la charge du bailleur - honoraires dâentremise et de nĂ©gociation ⏠⊠- honoraires de visite, de constitution du dossier du locataire et de rĂ©daction du bail ⏠⊠- honoraires de rĂ©alisation de lâĂ©tat des lieux dâentrĂ©e ⏠⊠Les parties dispensent expressĂ©ment le rĂ©dacteur des prĂ©sentes de procĂ©der Ă leur enregistrement. PARAPHES 3 â DIAGNOSTICS TECHNIQUES - DOSSIER DE DIAGNOSTICS TECHNIQUES UN DOSSIER DE DIAGNOSTICS TECHNIQUES EST ANNEXĂ AU PRĂSENT CONTRAT DE LOCATION ET COMPREND - le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique prĂ©vu Ă lâarticle L. 134-3-1 du code de la construction et de lâhabitation. Le locataire reconnaĂźt avoir reçu lâensemble des informations concernant le diagnostic de performance Ă©nergĂ©tique relatif aux biens louĂ©s, dont le contenu est annexĂ© au prĂ©sent bail. - le constat des risques dâexposition au plomb prĂ©vu aux articles L. 1334-5 et L. 1334-7 du code de la santĂ© publique, lorsque lâimmeuble a Ă©tĂ© construit avant le 1er janvier 1949. Le locataire reconnaĂźt avoir reçu lâensemble des informations concernant le constat des risques dâexposition au plomb relatif aux biens louĂ©s, dont le contenu est annexĂ© au prĂ©sent bail. - lâĂ©tat des risques naturels, miniers et technologiques, lorsque, conformĂ©ment Ă lâarticle L. 125-5 du code de lâenvironnement, le bien est situĂ© dans des zones couvertes par un plan de prĂ©vention des risques technologiques ou par un plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles ou miniers, prescrit ou approuvĂ©, ou dans des zones de sismicitĂ© dĂ©finies par dĂ©cret en Conseil dâEtat. De plus, lorsque lâimmeuble a subi un sinistre ayant donnĂ© lieu au versement dâune indemnitĂ© en application de lâarticle L. 125-2 ou de lâarticle L. 128-2 du code des assurances, le bailleur de lâimmeuble est tenu dâinformer par Ă©crit le locataire de tout sinistre survenu pendant la pĂ©riode oĂč il a Ă©tĂ© propriĂ©taire de lâimmeuble ou dont il a Ă©tĂ© lui-mĂȘme informĂ© en application des prĂ©sentes dispositions. En cas de non-respect des dispositions de lâarticle L. 125-5 du code de lâenvironnement, il est en outre rappelĂ© que le locataire peut poursuivre la rĂ©solution du contrat ou demander au juge une diminution du loyer. En consĂ©quence, le bailleur dĂ©clare que les biens objet des prĂ©sentes oïŻ Ne sont pas situĂ©s dans une zone couverte par un plan de prĂ©vention des risques technologiques, prescrit ou approuvĂ©, ou par un plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles ou miniers, prescrit ou approuvĂ©, ou dans une zone de sismicitĂ© dĂ©finie par dĂ©cret en Conseil dâEtat. oïŻ Sont situĂ©s dans une zone couverte par un plan de prĂ©vention des risques technologiques, prescrit ou approuvĂ©, ou par un plan de prĂ©vention des risques naturels prĂ©visibles ou miniers, prescrit ou approuvĂ©, ou dans une zone de sismicitĂ© dĂ©finie par dĂ©cret en Conseil dâEtat. Il a Ă©tĂ© dressĂ© un Ă©tat des risques en date du ................................................................................ sur la base des informations mises Ă disposition par la prĂ©fecture. Cet Ă©tat, datant de moins de six mois Ă ce jour, est annexĂ© aux prĂ©sentes ce que le locataire reconnaĂźt expressĂ©ment, dĂ©clarant faire son affaire personnelle de cette situation. En outre, le bailleur a dĂ©clarĂ© quâĂ sa connaissance oïŻ Les biens, objet des prĂ©sentes, nâont subi aucun sinistre ayant donnĂ© lieu au versement dâune indemnitĂ© dâassurance garantissant les risques de catastrophes naturelles, visĂ©s Ă lâarticle L. 125-2, ou technologiques, visĂ©s Ă lâarticle L. 128-2 du code des assurances. oïŻ Les biens, objet des prĂ©sentes, ont subi un sinistre ayant son origine11 ..................................................................................................... ayant donnĂ© lieu au versement dâune indemnitĂ© dâassurance garantissant les risques de catastrophes naturelles visĂ©s Ă lâarticle L. 125-2 ou technologiques visĂ©s Ă lâarticle L. 128-2 du code des assurances. En consĂ©quence, le bailleur informe par Ă©crit le locataire de la cause de ce sinistre ainsi que de tous ceux survenus pendant la pĂ©riode oĂč il a Ă©tĂ© propriĂ©taire de lâimmeuble ou dont il a Ă©tĂ© lui-mĂȘme informĂ© en application de lâarticle L. 125-5 du code de lâenvironnement. â INFORMATIONS RELATIVES Ă LâAMIANTE POUR LES IMMEUBLES COLLECTIFS DONT LE PERMIS DE CONSTRUIRE A ĂTĂ DĂLIVRĂ AVANT LE 1ER JUILLET 1997 - Parties privatives Le locataire reconnaĂźt avoir Ă©tĂ© informĂ© de lâexistence dâun dossier amiante sur les parties privatives quâil occupe DAPP ou DTA. Sur demande Ă©crite, le locataire pourra venir consulter ce document auprĂšs du bailleur ou de son mandataire. - Parties communes Le locataire reconnaĂźt avoir Ă©tĂ© informĂ© que le dossier technique amiante DTA sur les parties communes est tenu Ă disposition chez le syndic de la copropriĂ©tĂ© selon ses propres modalitĂ©s de consultation. Pour les immeubles en monopropriĂ©tĂ©, sur demande Ă©crite, le locataire pourra venir consulter ce document auprĂšs du bailleur ou de son mandataire. PARAPHES 4 - INFORMATIONS PARTICULIĂRES - relatives au bruit Si le bien est situĂ© Ă proximitĂ© d'un aĂ©rodrome, conformĂ©ment Ă l'article L. 147-5 du code de l'urbanisme, le bailleur informe le locataire que le bien louĂ© est classĂ© dans le plan d'exposition au bruit, en zone12 ....................................................................................... - relatives Ă la rĂ©cupĂ©ration des eaux de pluie arrĂȘtĂ© du 21 aoĂ»t 2008 pris en application de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 Si les locaux louĂ©s comportent des Ă©quipements de rĂ©cupĂ©ration des eaux pluviales, le BAILLEUR informe le locataire des modalitĂ©s dâutilisation de ceux-ci. - autres conditions particuliĂšres PARAPHES 5 BAIL HABITATION PRINCIPALE SOUMIS Ă LA LOI DU 6 JUILLET 1989 LOCATION NON MEUBLĂE Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 du 8/07/89 modifiĂ©e 2. - CONDITIONS GĂNĂRALES Outre les caractĂ©ristiques spĂ©cifiques stipulĂ©es aux CONDITIONS PARTICULIĂRES, la prĂ©sente location est soumise aux conditions gĂ©nĂ©rales ci-aprĂšs qui devront toutes recevoir application, celles-ci ayant Ă©tĂ© dĂ©terminantes de l'engagement du BAILLEUR. Le BAILLEUR donne en location conformĂ©ment aux dispositions du titre Ier de la loi du 6 juillet 1989 et Ă celles des textes subsĂ©quents au LOCATAIRE qui accepte les locaux dĂ©signĂ©s aux conditions particuliĂšres, tels que ces locaux existent et tels que le LOCATAIRE dĂ©clare parfaitement les connaĂźtre pour les avoir vus et visitĂ©s dĂšs avant ce jour. Le locataire reconnaĂźt qu'Ă dĂ©faut d'avoir fait connaĂźtre au bailleur l'existence de son conjoint ou son partenaire, les notifications et significations seront, de plein droit, opposables Ă ce dernier. - DURĂE DU BAIL Le prĂ©sent contrat de location est consenti et acceptĂ© pour la durĂ©e dĂ©finie aux conditions particuliĂšres. - En cas de dĂ©rogation Ă la durĂ©e de location prĂ©vue par l'article 10 de la loi du 6 juillet 1989, il est rappelĂ© qu'aux termes de l'article 11 â si l'Ă©vĂ©nement invoquĂ© par le BAILLEUR se rĂ©alise, le BAILLEUR confirmera cette rĂ©alisation par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception ou par acte extrajudiciaire adressĂ© au LOCATAIRE deux mois avant le terme du bail. â si la rĂ©alisation de l'Ă©vĂ©nement invoquĂ© par le BAILLEUR est diffĂ©rĂ©e, le BAILLEUR pourra proposer au LOCATAIRE de reporter le terme prĂ©vu sous les dĂ©lais et formes prĂ©vus par la loi ; â et si l'Ă©vĂ©nement invoquĂ© par le BAILLEUR ne se produit pas ou n'est pas confirmĂ©, la durĂ©e de la prĂ©sente location sera rĂ©putĂ©e ĂȘtre de trois ans Ă compter de la date d'effet stipulĂ©e aux conditions particuliĂšres. - DESTINATION DES LOCAUX LOUĂS â OCCUPATION Le LOCATAIRE s'interdit expressĂ©ment â d'utiliser les locaux louĂ©s autrement qu'Ă lâusage fixĂ© aux conditions particuliĂšres, Ă l'exclusion de tout autre ; â d'exercer dans les locaux louĂ©s, en sa qualitĂ© de locataire personne physique ou reprĂ©sentant dâune personne morale, aucune activitĂ© commerciale industrielle ou artisanale, ni aucune profession libĂ©rale autre que celle Ă©ventuellement prĂ©vue aux conditions particuliĂšres. En cas d'usage mixte professionnel et habitation, le LOCATAIRE fera son affaire personnelle de toute prescription relative Ă l'exercice de sa profession, en sorte que le BAILLEUR ne puisse, en aucun cas, ĂȘtre recherchĂ© ni inquiĂ©tĂ© Ă ce sujet par l'Administration, les occupants de l'immeuble ou les voisins ; â de cĂ©der en tout ou partie, Ă titre onĂ©reux ou gratuit, les droits qu'il dĂ©tient des prĂ©sentes, ou de sous-louer, Ă©changer ou mettre Ă disposition les locaux objet des prĂ©sentes, en tout ou partie, en meublĂ© ou non, le tout sans l'accord Ă©crit du BAILLEUR, y compris sur le prix du loyer et sans que cet Ă©ventuel accord puisse faire acquĂ©rir au sous-locataire aucun droit Ă l'encontre du BAILLEUR ni aucun titre d'occupation, les dispositions de la loi du 6 juillet 1989 n'Ă©tant pas applicables au contrat de sous-location. Le locataire sâoblige Ă occuper personnellement les lieux louĂ©s. - OBLIGATIONS DES PARTIES La prĂ©sente location est consentie et acceptĂ©e sous les clauses et conditions ordinaires et de droit en pareille matiĂšre et notamment sous celles suivantes que le LOCATAIRE s'oblige Ă exĂ©cuter et accomplir, Ă savoir - Le LOCATAIRE devra entretenir les lieux louĂ©s et les Ă©quipements mentionnĂ©s, effectuer les menues rĂ©parations ainsi que les rĂ©parations locatives dĂ©finies par dĂ©cret. Il devra les rendre en bon Ă©tat sans quâil puisse ĂȘtre mis Ă sa charge des obligations supĂ©rieures Ă celles prĂ©vues par la loi du 6 juillet 1989. - Le LOCATAIRE devra entretenir en bon Ă©tat les canalisations intĂ©rieures et les robinets d'eau et de gaz, de mĂȘme que les canalisations et le petit appareillage Ă©lectrique, et ce, en aval des coffrets de distribution. Le LOCATAIRE devra Ă©galement faire entretenir et nettoyer Ă ses frais, aussi souvent quâil en sera besoin conformĂ©ment Ă la lĂ©gislation ou Ă la rĂ©glementation en vigueur, et au moins une fois l'an, tous les appareils et installations diverses chauffe-eau, chauffage central, etc. pouvant exister dans les locaux louĂ©s. Il devra en justifier par la production dâune facture acquittĂ©e. Le LOCATAIRE devra souscrire un contrat d'entretien auprĂšs d'un Ă©tablissement spĂ©cialisĂ© de son choix pour assurer le bon fonctionnement et l'entretien du ou des gĂ©nĂ©rateurs de chauffage et de production d'eau chaude lorsqu'il s'agit d'installations individuelles. L'entretien incombant au LOCATAIRE, il lui appartiendra de produire les justifications de celui-ci, sans que l'absence de demande de justifications d'entretien puisse entraĂźner une quelconque responsabilitĂ© du BAILLEUR. - Le LOCATAIRE ne pourra pas transformer les locaux et Ă©quipements louĂ©s sans lâaccord Ă©crit du BAILLEUR ou de son mandataire. Ces travaux devront ĂȘtre exĂ©cutĂ©s par des entrepreneurs sous la direction dâun architecte. Leur coĂ»t ainsi que les honoraires de lâarchitecte resteront Ă la charge du LOCATAIRE. A dĂ©faut de cet accord, le BAILLEUR pourra exiger du LOCATAIRE, Ă son dĂ©part des lieux, leur remise en Ă©tat ou conserver Ă son bĂ©nĂ©fice les transformations effectuĂ©es sans que le LOCATAIRE puisse rĂ©clamer une indemnisation des frais engagĂ©s. Le BAILLEUR a toutefois la facultĂ© dâexiger, aux frais du LOCATAIRE, la remise immĂ©diate des lieux en lâĂ©tat lorsque les transformations mettent en pĂ©ril le bon fonctionnement des Ă©quipements ou la sĂ©curitĂ© des locaux louĂ©s. . - Tous les embellissements, amĂ©nagements ou amĂ©liorations faits par le LOCATAIRE resteront acquis au BAILLEUR en fin de contrat sans que le LOCATAIRE puisse rĂ©clamer une indemnisation des frais engagĂ©s. Si ces embellissements, amĂ©nagements ou amĂ©liorations causent des dĂ©gradations irrĂ©versibles, le LOCATAIRE devra remettre, Ă ses frais, les lieux louĂ©s dans leur Ă©tat dâorigine. PARAPHES 6 - Le LOCATAIRE devra laisser visiter les locaux louĂ©s par le BAILLEUR ou son reprĂ©sentant chaque fois que cela sera rendu nĂ©cessaire pour des rĂ©parations, la sĂ©curitĂ© de l'immeuble, ou le respect des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires. Sauf urgence ces visites devront s'effectuer, les jours ouvrables aprĂšs que le LOCATAIRE en a Ă©tĂ© averti. Le locataire devra permettre lâaccĂšs aux locaux louĂ©s pour la prĂ©paration et lâexĂ©cution de travaux dâamĂ©lioration des parties communes ou des parties privatives du mĂȘme immeuble, de travaux nĂ©cessaires au maintien en Ă©tat, Ă lâentretien normal des locaux louĂ©s, des travaux dâamĂ©lioration de la performance Ă©nergĂ©tique Ă rĂ©aliser dans ces locaux et des travaux relatifs Ă la mise en conformitĂ© avec les critĂšres de dĂ©cence, dans les conditions fixĂ©es Ă lâarticle 7 e de la loi du 6 juillet 1989. - En cas de mise en vente ou relocation, le LOCATAIRE devra laisser visiter les lieux louĂ©s deux heures pendant les jours ouvrables qui seront conventionnellement arrĂȘtĂ©es avec le BAILLEUR. A dĂ©faut dâaccord les heures de visite sont fixĂ©es entre 17 et 19 heures ; il en sera de mĂȘme en cas de cessation de location pendant les trois mois qui prĂ©cĂ©deront celle-ci. - Le LOCATAIRE est tenu â d'assurer les risques dont il doit rĂ©pondre en sa qualitĂ© de locataire au titre des locaux louĂ©s, dĂ©pendances incluses, envers le BAILLEUR et gĂ©nĂ©ralement les tiers, auprĂšs d'une compagnie d'assurances notoirement solvable. Il devra justifier de cette assurance au BAILLEUR lors de la remise des clĂ©s, maintenir cette assurance pendant toute la durĂ©e du bail, en payer rĂ©guliĂšrement les primes et EN JUSTIFIER au BAILLEUR chaque annĂ©e. La justification de cette assurance rĂ©sulte de la remise au BAILLEUR d'une attestation de l'assureur ou de son reprĂ©sentant. La prĂ©sente clause constitue une demande expresse du BAILLEUR qui n'aura pas Ă la renouveler chaque annĂ©e, le LOCATAIRE devant fournir lui-mĂȘme ses quittances sous sa responsabilitĂ©. A dĂ©faut, le prĂ©sent bail sera de plein droit rĂ©siliĂ© un mois aprĂšs un commandement demeurĂ© infructueux. Le LOCATAIRE rĂ©pondra des dĂ©gradations ou pertes survenant pendant la durĂ©e du contrat dans les locaux dont il a la jouissance exclusive, Ă moins qu'il ne prouve qu'elles ont eu lieu par cas de force majeure, par la faute du BAILLEUR ou par le fait d'un tiers qu'il n'a pas introduit dans le logement. Il s'oblige formellement Ă aviser sans dĂ©lai par Ă©crit le BAILLEUR de toute dĂ©gradation ou de tout sinistre survenant dans les locaux louĂ©s ; Ă dĂ©faut, il pourra ĂȘtre tenu responsable de sa carence. Il serait, en outre, responsable envers le BAILLEUR de toute aggravation de ce dommage survenu aprĂšs cette date. - Le LOCATAIRE devra faire ramoner les cheminĂ©es et gaines de fumĂ©e des lieux louĂ©s aussi souvent qu'il en sera besoin conformĂ©ment Ă la lĂ©gislation ou Ă la rĂ©glementation en vigueur et au moins une fois par an. Il en justifiera par la production dâune facture acquittĂ©e. Le LOCATAIRE ne pourra faire usage, dans les locaux louĂ©s, d'aucun appareil de chauffage Ă combustion lente ou continue, en particulier d'aucun appareil utilisant le mazout ou le gaz, sans avoir obtenu prĂ©alablement l'accord et l'autorisation Ă©crite du BAILLEUR et, dans le cas oĂč cette autorisation serait donnĂ©e le LOCATAIRE devrait prendre Ă sa charge les frais consĂ©cutifs aux amĂ©nagements prĂ©alables Ă rĂ©aliser s'il y a lieu modification ou adaptation des conduits ou des cheminĂ©es d'Ă©vacuation, etc.. Il reconnaĂźt avoir Ă©tĂ© avisĂ© de ce que la violation de cette interdiction le rendrait responsable des dommages qui pourraient ĂȘtre causĂ©s. - Le LOCATAIRE devra jouir des lieux en bon pĂšre de famille, ne commettre aucun abus de jouissance susceptible de nuire soit Ă la soliditĂ© ou Ă la bonne tenue de l'immeuble, soit d'engager la responsabilitĂ© du BAILLEUR envers les autres occupants de l'immeuble ou envers le voisinage. En particulier, il ne pourra rien dĂ©poser, sur les appuis de fenĂȘtres, balcons et ouvertures quelconques sur rue ou sur cour, qui puisse prĂ©senter un danger pour les autres occupants de l'immeuble, ou causer une gĂȘne Ă ces occupants ou au voisinage, ou nuire Ă l'aspect dudit immeuble. Il ne pourra notamment y Ă©tendre aucun linge, tapis, chiffon, y dĂ©poser aucun objet mĂ©nager, ustensile, outil quelconque. Il devra Ă©viter tout bruit de nature Ă gĂȘner les autres habitants de l'immeuble, notamment rĂ©gler tout appareil de radio, tĂ©lĂ©vision et tout appareil de reproduction de sons de telle maniĂšre que le voisinage n'ait pas Ă s'en plaindre. Le LOCATAIRE ne devra conserver dans les lieux louĂ©s aucun animal bruyant, malpropre ou malodorant, susceptible de causer des dĂ©gradations ou une gĂȘne aux autres occupants de l'immeuble. De plus, il sâinterdit de dĂ©tenir dans les lieux louĂ©s, des chiens de premiĂšre catĂ©gorie, en application des articles L. 211-12 et suivants du code rural. Le LOCATAIRE informera le BAILLEUR ou son mandataire de la prĂ©sence de parasites, rongeurs et insectes dans les lieux louĂ©s. Les dĂ©penses effectuĂ©es pour les opĂ©rations de dĂ©sinsectisation ou de dĂ©sinfection intĂ©ressant les parties privatives seront Ă sa charge dans le respect de la lĂ©gislation sur les charges rĂ©cupĂ©rables. ConformĂ©ment Ă lâarticle L. 133-4 du code de la construction et de lâhabitation, le LOCATAIRE est tenu de dĂ©clarer en mairie la prĂ©sence de termites et/ou dâinsectes xylophages dans les lieux louĂ©s. Il sâengage parallĂšlement Ă en informer le BAILLEUR pour quâil puisse procĂ©der aux travaux prĂ©ventifs ou dâĂ©radication nĂ©cessaires. Le LOCATAIRE ne pourra dĂ©poser dans les cours, entrĂ©es, couloirs, escaliers, ni sur les paliers et, d'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, dans aucune des parties communes autres que celles rĂ©servĂ©es Ă cet effet, aucun objet, quel qu'il soit, notamment bicyclettes, cycles Ă moteur et autres vĂ©hicules, voitures d'enfant et poussettes. - S'il existe un jardin privatif, il l'entretiendra en parfait Ă©tat, la modification des plantations ne pourra se faire qu'avec l'accord Ă©crit du BAILLEUR. - La vitrification des parquets ou les revĂȘtements de sols devront ĂȘtre convenablement entretenus. Le LOCATAIRE devra veiller Ă ce que les sols ne soient pas abĂźmĂ©s par l'usage des talons dits aiguille » ou autrement. Au cas oĂč la salissure du parquet ou des revĂȘtements de sols, leur manque d'entretien ou leur dĂ©gradation intervenus pendant la durĂ©e des relations contractuelles entraĂźnerait la nĂ©cessitĂ© d'une remise en Ă©tat en fin de jouissance, son coĂ»t resterait Ă la charge du LOCATAIRE. - Le LOCATAIRE devra satisfaire Ă ses frais Ă toutes les charges et conditions dâhygiĂšne, de ville, de police ainsi quâaux rĂšglements de salubritĂ© et dâhygiĂšne qui relĂšvent de ses obligations et acquitter Ă leur Ă©chĂ©ance toutes ses contributions personnelles, taxes dâhabitation, dâenlĂšvement des ordures mĂ©nagĂšres et autres, ainsi que toutes taxes assimilĂ©es, de telle façon que le LOCATAIRE devra, avant de vider les lieux, justifier au BAILLEUR quâil a acquittĂ© toutes impositions et taxes, toutes sommes dont il serait redevable, notamment sa consommation dâeau. - Le LOCATAIRE devra prendre toutes prĂ©cautions nĂ©cessaires pour protĂ©ger du gel les canalisations d'eau ainsi que les compteurs, et sera, dans tous les cas, tenu pour responsable des dĂ©gĂąts qui pourraient survenir du fait de sa nĂ©gligence. En cas de dĂ©gĂąts des eaux, et notamment par suite de gel, le LOCATAIRE devra le signaler au BAILLEUR ou Ă son mandataire dans les dĂ©lais les plus brefs et prendre toutes mesures conservatoires visant Ă limiter les consĂ©quences du sinistre. A dĂ©faut, sa responsabilitĂ© pourrait ĂȘtre engagĂ©e. - Le BAILLEUR ne sâengage pas Ă assurer â ou faire assurer â la surveillance de lâimmeuble ou des locaux louĂ©s. - En consĂ©quence, le vol, les dĂ©tĂ©riorations dans les locaux louĂ©s ou dans les parties communes ne sont pas garantis par le BAILLEUR sauf si sa faute est dĂ©montrĂ©e. - Le BAILLEUR pourra remplacer lâĂ©ventuel employĂ© d'immeuble chargĂ© de l'entretien par une entreprise ou un technicien de surface effectuant les mĂȘmes prestations. Le LOCATAIRE ne pourra rendre le BAILLEUR ou son mandataire responsable des faits du gardien, du concierge ou de lâemployĂ© d'immeuble qui, pour toute mission Ă lui confiĂ©e par le LOCATAIRE, sera considĂ©rĂ© comme son mandataire exclusif et spĂ©cial. Il est spĂ©cifiĂ© que le gardien, le concierge ou lâemployĂ© dâimmeuble n'a pas pouvoir d'accepter un congĂ©, de recevoir les clĂ©s ou de signer soit un contrat de location, soit les quittances ou reçus, soit un Ă©tat des lieux ou toute attestation ou certificat ; en consĂ©quence, sa signature ne saurait engager le BAILLEUR ou son - Afin de respecter lâharmonie de lâimmeuble et/ou les prescriptions du rĂšglement intĂ©rieur toutes les plaques apposĂ©es devront ĂȘtre conformes au modĂšle de lâimmeuble. - Sâil existe un rĂ©seau collectif de tĂ©lĂ©vision, le LOCATAIRE pourra sây raccorder Ă ses frais. Le locataire souhaitant installer une antenne extĂ©rieure individuelle devra prĂ©alablement en informer le bailleur par lettre recommandĂ©e avec demande dâavis de rĂ©ception conformĂ©ment Ă la procĂ©dure visĂ©e Ă lâarticle 1er du dĂ©cret n° 67-117 du 22 dĂ©cembre 1967. Si le logement louĂ© est situĂ© dans un immeuble soumis au statut de la copropriĂ©tĂ©, la pose de cette antenne ne pourra avoir lieu sans lâautorisation de lâassemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des copropriĂ©taires. En cas dâinstallation dans lâimmeuble dâun systĂšme de rĂ©ception antenne, cĂąble, etc. aprĂšs lâentrĂ©e dans les lieux du LOCATAIRE, si ce dernier souhaite sây raccorder, le BAILLEUR pourra lui demander le remboursement de la quote-part des frais dâinstallation. - Sâil existe un rĂšglement de copropriĂ©tĂ© et/ou un rĂšglement intĂ©rieur de lâimmeuble, le locataire et sa famille devront sây conformer. Le BAILLEUR communique au LOCATAIRE les extraits du rĂšglement de copropriĂ©tĂ© et/ou du rĂšglement intĂ©rieur concernant la destination de lâimmeuble, la jouissance et lâusage des parties privatives et communes de lâimmeuble. PARAPHES 7 - En fin de location et avant la restitution des clĂ©s, le LOCATAIRE devra effectuer toutes les rĂ©parations locatives Ă sa charge et laisser les lieux et leurs dĂ©pendances en parfait Ă©tat de propretĂ©. Les clĂ©s devront ĂȘtre restituĂ©es en totalitĂ© au BAILLEUR ou Ă son mandataire. Le LOCATAIRE indiquera au BAILLEUR sa nouvelle adresse. - De son cĂŽtĂ© le BAILLEUR est obligĂ© â de dĂ©livrer au LOCATAIRE les locaux louĂ©s en bon Ă©tat d'usage et de rĂ©paration, et les Ă©quipements mentionnĂ©s au contrat en bon Ă©tat de fonctionnement ; â d'assurer au LOCATAIRE la jouissance paisible des locaux louĂ©s, sans prĂ©judice des dispositions de l'article 1721 du Code civil, de le garantir des vices ou dĂ©fauts de nature Ă y faire obstacle hormis ceux qui, consignĂ©s dans l'Ă©tat des lieux, auraient fait l'objet d'une convention sur travaux ; â d'entretenir les locaux louĂ©s en l'Ă©tat de servir Ă l'usage prĂ©vu par le contrat de location et d'y faire toutes les rĂ©parations autres que locatives nĂ©cessaires au maintien en l'Ă©tat et Ă l'entretien normal des locaux louĂ©s ; â de ne pas s'opposer aux amĂ©nagements rĂ©alisĂ©s par le LOCATAIRE dĂšs lors qu'ils ne constituent pas une transformation de la chose louĂ©e. - LOYER Le prĂ©sent bail est consenti et acceptĂ© moyennant un loyer payable par mois tel qu'il est indiquĂ© aux conditions particuliĂšres, au domicile du BAILLEUR ou de son mandataire par chĂšque, virement bancaire ou postal ou prĂ©lĂšvement automatique. La simple remise d'un chĂšque ou ordre de virement ne vaudra libĂ©ration du dĂ©biteur quâaprĂšs son encaissement. Le loyer est stipulĂ© PORTABLE. - RĂVISION DU LOYER Le loyer sera rĂ©visĂ© automatiquement et de plein droit chaque annĂ©e Ă la date anniversaire du bail ou Ă la date stipulĂ©e aux conditions particuliĂšres, en fonction de la variation de lâindice de rĂ©fĂ©rence des loyers IRL publiĂ© par l'INSEE ou en fonction de l'indice, ou du taux d'Ă©volution qui lui serait substituĂ©. L'indice de rĂ©fĂ©rence servant Ă cette rĂ©vision est prĂ©cisĂ© aux conditions particuliĂšres. - DĂPĂT DE GARANTIE Le LOCATAIRE a versĂ©, Ă titre de dĂ©pĂŽt de garantie, au BAILLEUR ou Ă son mandataire, la somme indiquĂ©e aux conditions particuliĂšres, non supĂ©rieure Ă celle prĂ©vue par la loi. Cette somme sera restituĂ©e sans intĂ©rĂȘts au LOCATAIRE en fin de bail et au plus tard dans le dĂ©lai dâUN MOIS Ă compter de la remise des clĂ©s si lâĂ©tat des lieux de sortie est conforme Ă lâĂ©tat des lieux dâentrĂ©e. Cette somme sera restituĂ©e sans intĂ©rĂȘts au LOCATAIRE en fin de bail au plus tard dans un dĂ©lai de DEUX MOIS Ă compter de la remise des clĂ©s si lâĂ©tat des lieux de sortie nâest pas conforme Ă lâĂ©tat des lieux dâentrĂ©e. Il sera dĂ©duit du dĂ©pĂŽt de garantie toutes les sommes dont le LOCATAIRE pourrait ĂȘtre dĂ©biteur envers le BAILLEUR ou dont celui-ci pourrait ĂȘtre tenu ou responsable, sous rĂ©serve de leur justification. Pour le cas oĂč les locaux louĂ©s se situeraient dans un immeuble en copropriĂ©tĂ©, le BAILLEUR conservera une provision de 20 % du montant du dĂ©pĂŽt de garantie pour le couvrir des charges en attendant leur liquidation, le solde du compte du dĂ©pĂŽt de garantie devant ĂȘtre effectuĂ© dans le mois qui suit l'approbation dĂ©finitive des comptes de la copropriĂ©tĂ©. Le LOCATAIRE devra justifier en fin de bail, de quelque maniĂšre qu'elle survienne, de sa nouvelle domiciliation et du paiement de toute somme dont le BAILLEUR pourrait ĂȘtre tenu en ses lieu et place. - ĂTAT DES LIEUX Un Ă©tat des lieux Ă©tabli contradictoirement et amiablement par les parties lors de la remise des clĂ©s ou Ă dĂ©faut, par huissier de justice, Ă lâinitiative de la partie la plus diligente et Ă frais partagĂ©s par moitiĂ©, est joint au contrat. Un Ă©tat des lieux de sortie sera Ă©tabli contradictoirement et amiablement par les parties lors de la restitution des clĂ©s ou Ă dĂ©faut, par huissier de justice, Ă lâinitiative de la partie la plus diligente et Ă frais partagĂ©s par moitiĂ©. Lorsque lâĂ©tat des lieux doit ĂȘtre Ă©tabli par huissier de justice, les parties en sont avisĂ©es par lui au moins sept jours Ă l'avance par lettre recommandĂ©e avec demande dâavis de rĂ©ception. - CHARGES - En mĂȘme temps et de la mĂȘme façon que le loyer, le LOCATAIRE s'oblige Ă acquitter les charges, prestations et taxes rĂ©cupĂ©rables mises Ă sa charge et dĂ©coulant de la lĂ©gislation en vigueur et du prĂ©sent bail au prorata des milliĂšmes de copropriĂ©tĂ© s'il existe un rĂšglement de copropriĂ©tĂ© de l'immeuble dans lequel se trouvent les locaux louĂ©s, ou selon les modalitĂ©s dĂ©finies par un rĂšglement intĂ©rieur dudit immeuble, ou tout autre Ă©tat de rĂ©partition. Ces charges sont acquittĂ©es soit par provision, soit forfaitairement comme prĂ©vu aux conditions particuliĂšres du prĂ©sent contrat. â Lorsquâelles ne seront pas forfaitaires, les charges locatives feront l'objet d'une rĂ©gularisation au moins annuelle. Les demandes de provisions sont justifiĂ©es par la communication des rĂ©sultats antĂ©rieurs arrĂȘtĂ©s lors de la prĂ©cĂ©dente rĂ©gularisation et lorsque l'immeuble est soumis au statut de la copropriĂ©tĂ© ou lorsque le bailleur est une personne morale, par le budget prĂ©visionnel. Un mois avant cette rĂ©gularisation, le BAILLEUR en communique au LOCATAIRE le dĂ©compte par nature de charges ainsi que dans les immeubles collectifs, le mode de rĂ©partition entre locataires et le cas Ă©chĂ©ant, une note dâinformation sur les modalitĂ©s de calcul des charges de chauffage et de production dâeau chaude sanitaire collectifs. Durant six mois Ă compter de l'envoi de ce dĂ©compte, les piĂšces justificatives sont tenues, dans des conditions normales, Ă la disposition du LOCATAIRE, au domicile du BAILLEUR ou de son mandataire Ă ses jours et heures de rĂ©ception. - Le LOCATAIRE acquittera les frais d'abonnement, de branchement et dâentretien des appareils individuels de consommation. - RENOUVELLEMENT A l'expiration du bail, le BAILLEUR ou le LOCATAIRE pourra mettre en Ćuvre la procĂ©dure de renouvellement conformĂ©ment Ă la loi. A dĂ©faut le bail se renouvellera par tacite reconduction. En cas de reconduction tacite, la durĂ©e du contrat reconduit est de trois ans pour les bailleurs personnes physiques ainsi que pour les bailleurs dĂ©finis Ă l'article 13 de la loi du 6 juillet 1989, et de six ans pour les bailleurs personnes morales. - RĂSILIATION - CONGĂ - PAR LE LOCATAIRE - PrĂ©avis - DĂ©lai PARAPHES 8 â avec prĂ©avis de TROIS MOIS Ă tout moment, le LOCATAIRE peut rĂ©silier le prĂ©sent bail sans motif ; â avec prĂ©avis d'UN MOIS, Ă tout moment, le locataire peut rĂ©silier le bail, Ă condition de justifier avec le congĂ© dâun motif prĂ©vu Ă lâarticle 15 de la loi du 6 juillet 1989 âą en cas de mutation professionnelle, de perte d'emploi, de nouvel emploi consĂ©cutif Ă une perte d'emploi ou dâobtention dâun premier emploi ; âą si son Ă©tat de santĂ©, attestĂ© par un certificat mĂ©dical, justifie un changement de domicile ; âą s'il est bĂ©nĂ©ficiaire du revenu de solidaritĂ© active ou de lâallocation adulte handicapĂ© ; âą si le logement est situĂ© dans une commune comprise dans une zone dâurbanisation dĂ©finie par lâarticle 17 de la loi du 6 juillet 1989 dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret ; âą sâil est attributaire dâun logement dĂ©fini Ă lâarticle du code de la construction et de lâhabitation. Si le congĂ© a Ă©tĂ© notifiĂ© ou signifiĂ© par le LOCATAIRE, celui-ci est tenu au paiement des loyers et charges de la location pendant toute la durĂ©e du prĂ©avis, Ă moins que les locaux louĂ©s nâaient Ă©tĂ© occupĂ©s avant la fin du prĂ©avis par le bailleur ou avec son accord par un autre locataire. - Forme La rĂ©siliation par le LOCATAIRE en cours de bail doit ĂȘtre notifiĂ©e par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception, signifiĂ©e par acte d'huissier ou remise en main propre contre rĂ©cĂ©pissĂ© ou Ă©margement. - Computation des dĂ©lais Dans tous les cas le dĂ©lai commence Ă courir Ă compter du jour de la rĂ©ception de la lettre recommandĂ©e avec demande dâavis de rĂ©ception, de la signification de lâacte par huissier ou de la remise en main propre. - PAR LE BAILLEUR - RĂ©siliation volontaire a PrĂ©avis - DĂ©lai Il pourra ĂȘtre mis fin au prĂ©sent bail Ă son terme sous rĂ©serve dâun prĂ©avis de 6 mois. b Motif Le motif du congĂ© par le BAILLEUR doit ĂȘtre fondĂ© â sur la reprise du logement nom, adresse et nature du lien existant entre le bailleur et le bĂ©nĂ©ficiaire de la reprise qui ne peut ĂȘtre que le bailleur, son conjoint, son concubin notoire, ses ascendants, ses descendants, ceux de son conjoint ou concubin notoire, son partenaire avec lequel il est liĂ© par un PACS ; â en vue de la vente du logement prix, conditions de la vente. Le congĂ© vaut offre de vente pendant les deux premiers mois du dĂ©lai de prĂ©avis ; â sur un motif lĂ©gitime et sĂ©rieux. Si le congĂ© a Ă©tĂ© notifiĂ© ou signifiĂ© par le BAILLEUR, le LOCATAIRE n'est tenu au paiement des loyers et charges de la location que pour le temps oĂč il a effectivement occupĂ© les locaux louĂ©s. c Forme Il pourra ĂȘtre mis fin au prĂ©sent bail, Ă son terme â par lettre recommandĂ©e avec demande dâavis de rĂ©ception ; â par lettre remise en main propre contre rĂ©cĂ©pissĂ© ou Ă©margement ; â ou par notification par acte dâhuissier. - RĂ©siliation judiciaire Le BAILLEUR peut demander judiciairement la rĂ©siliation du bail pour toutes infractions aux clauses des prĂ©sentes ou par application des clauses rĂ©solutoires. - De plein droit Le prĂ©sent bail sera rĂ©siliĂ© de plein droit par abandon du domicile du LOCATAIRE ou son dĂ©cĂšs, Ă dĂ©faut de se poursuivre ou de se transfĂ©rer dans les conditions dĂ©finies sous le titre ABANDON DE DOMICILE - DĂCES DU LOCATAIRE ». - Computation des dĂ©lais Dans tous les cas le dĂ©lai commence Ă courir Ă compter du jour de la rĂ©ception de la lettre recommandĂ©e avec demande dâavis de rĂ©ception, de la signification de lâacte par huissier ou de la remise en main propre. - Expiration du dĂ©lai de prĂ©avis A lâexpiration du dĂ©lai de prĂ©avis applicable au congĂ©, le LOCATAIRE est dĂ©chu de tout titre dâoccupation des locaux louĂ©s. - CLAUSE RĂSOLUTOIRE Le prĂ©sent contrat sera rĂ©siliĂ© immĂ©diatement et de plein droit, sans quâil soit besoin de faire ordonner cette rĂ©siliation en justice, si bon semble au bailleur â deux mois aprĂšs un commandement demeurĂ© infructueux Ă dĂ©faut de paiement aux termes convenus de tout ou partie du loyer et des charges ou en cas de non-versement du dĂ©pĂŽt de garantie Ă©ventuellement prĂ©vu au contrat ; â un mois aprĂšs un commandement demeurĂ© infructueux Ă dĂ©faut dâassurance contre les risques locatifs. Une fois acquis au bailleur le bĂ©nĂ©fice de la clause rĂ©solutoire, le LOCATAIRE devra libĂ©rer immĂ©diatement les lieux. Les frais, droits et honoraires des actes de procĂ©dure seront rĂ©partis entre le dĂ©biteur et le crĂ©ancier conformĂ©ment Ă lâarticle du code de procĂ©dure civile dâexĂ©cution. Il est prĂ©cisĂ© que le LOCATAIRE sera tenu de toutes les obligations dĂ©coulant du prĂ©sent bail jusquâĂ la libĂ©ration effective des lieux sans prĂ©judice des dispositions de lâarticle 1760 du Code Civil, et ce, nonobstant lâexpulsion. â dĂšs lors quâune dĂ©cision de justice sera passĂ©e en force de chose jugĂ©e qui constatera les troubles de voisinage et constituera le non-respect dâuser paisiblement des locaux louĂ©s. - INDEMNITĂ DâOCCUPATION En cas de congĂ© ou de rĂ©siliation si le locataire se maintient aprĂšs lâexpiration du bail, il sera redevable dâune indemnitĂ© dâoccupation au moins Ă©gale au montant du dernier loyer, charges, taxes et accessoires rĂ©clamĂ©. PARAPHES 9 - ABANDON DE DOMICILE - DĂCĂS DU LOCATAIRE En cas d'abandon de domicile par le LOCATAIRE le contrat de location continue â au profit du conjoint sans prĂ©judice de lâarticle 1751 du Code civil ; â au profit des descendants qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă la date de lâabandon du domicile ; â au profit du partenaire liĂ© au LOCATAIRE par un pacte civil de solidaritĂ© ; â au profit des ascendants, du concubin notoire ou des personnes Ă charge, qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă la date de l'abandon du domicile. Lors du dĂ©cĂšs du LOCATAIRE, le contrat de location est transfĂ©rĂ© â au conjoint survivant qui ne peut se prĂ©valoir des dispositions de lâarticle 1751 du Code civil ; â aux descendants qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă la date du dĂ©cĂšs ; â aux ascendants, au concubin notoire ou aux personnes Ă charge, qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă la date du dĂ©cĂšs ; â au profit du partenaire liĂ© au LOCATAIRE par un pacte civil de solidaritĂ©. En cas de demandes multiples, le juge se prononce en fonction des intĂ©rĂȘts en prĂ©sence. A dĂ©faut de personnes remplissant les conditions prĂ©vues au prĂ©sent article, le contrat de location est rĂ©siliĂ© de plein droit par le dĂ©cĂšs du LOCATAIRE ou par l'abandon du domicile par ce dernier. Les hĂ©ritiers du LOCATAIRE disposeront dâun dĂ©lai dâun mois Ă compter du dĂ©cĂšs du locataire pour restituer les lieux au BAILLEUR. Une indemnitĂ© Ă©gale au montant du loyer sera due jusquâau jour oĂč le BAILLEUR pourra disposer des lieux. - CONVENTION SUR TRAVAUX Si le prĂ©sent contrat de location a fait l'objet d'une convention sur travaux » telle qu'elle est dĂ©finie par l'article 17-1 II de la loi du 6 juillet 1989, celle-ci est Ă©tablie ci-dessus aux conditions particuliĂšres. - TOLĂRANCES I1 est formellement convenu que toutes les tolĂ©rances de la part du BAILLEUR ou de son mandataire relatives aux clauses et conditions Ă©noncĂ©es cidessus quelles qu'en aient pu ĂȘtre la frĂ©quence et la durĂ©e, ne pourront jamais, et dans aucun cas, ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme apportant une modification ou suppression des clauses et conditions ni comme gĂ©nĂ©ratrices d'un droit quelconque. Le BAILLEUR ou son mandataire pourra toujours y mettre fin aprĂšs notification au locataire. - SOLIDARITĂ - INDIVISIBILITĂ Il est expressĂ©ment stipulĂ© que les copreneurs et toutes personnes pouvant se prĂ©valoir des dispositions de l'article 14 de la loi du 6 juillet 1989 seront tenus solidairement et indivisiblement de l'exĂ©cution des obligations du prĂ©sent contrat. Les colocataires soussignĂ©s, dĂ©signĂ©s le LOCATAIRE», reconnaissent expressĂ©ment qu'ils se sont engagĂ©s solidairement et que le bailleur n'a acceptĂ© de consentir le prĂ©sent bail qu'en considĂ©ration de cette cotitularitĂ© solidaire et n'aurait pas consenti la prĂ©sente location Ă l'un seulement d'entre eux. Si un colocataire dĂ©livrait congĂ© et quittait les lieux, il resterait en tout Ă©tat de cause tenu du paiement des loyers et accessoires et, plus gĂ©nĂ©ralement, de toutes les obligations du bail en cours au moment de la dĂ©livrance du congĂ©, et de ses suites et notamment des indemnitĂ©s dâoccupation et de toutes sommes dues au titre des travaux de remise en Ă©tat, au mĂȘme titre que les colocataires demeurĂ©s dans les lieux pendant une durĂ©e de six mois Ă compter de la date dâeffet du congĂ©. Toutefois, cette solidaritĂ© prendra fin, avant lâexpiration de ce dĂ©lai, si un nouveau colocataire, acceptĂ© par le bailleur, figure au prĂ©sent contrat. La prĂ©sente clause est une condition substantielle sans laquelle le prĂ©sent bail n'aurait pas Ă©tĂ© consenti. En cas de dĂ©part dâun ou plusieurs colocataires, le dĂ©pĂŽt de garantie ne sera restituĂ© quâaprĂšs libĂ©ration totale des lieux et dans un dĂ©lai maximum de deux mois Ă compter de la remise des clĂ©s. - INFORMATIQUE ET LIBERTĂS Les informations recueillies par le mandataire dans le cadre du prĂ©sent contrat font l'objet d'un traitement informatique nĂ©cessaire Ă l'exĂ©cution des missions confiĂ©es au mandataire par le prĂ©sent contrat. ConformĂ©ment Ă la loi informatique et libertĂ©s du 6 janvier 1978 modifiĂ©e, les parties bĂ©nĂ©ficient d'un droit d'accĂšs, de rectification et de suppression des informations qui les concernent. Pour exercer ces droits, les parties peuvent s'adresser Ă l'agence, aux coordonnĂ©es ci-dessus. - ĂLECTION DE DOMICILE Pour l'exĂ©cution des prĂ©sentes, et notamment pour la signification de tout acte de poursuites, les parties font Ă©lection de domicile le BAILLEUR en son domicile ou en celui de son mandataire ; le LOCATAIRE dans les lieux louĂ©s pendant la durĂ©e du bail et Ă lâadresse quâil aura communiquĂ©e aprĂšs son dĂ©part ; Ă dĂ©faut, Ă la derniĂšre adresse connue. PARAPHES 10 NOTES 1 Il sâagit du titulaire de la carte professionnelle, avec indication de la personne habilitĂ©e Ă signer - personne physique prĂ©ciser nom, prĂ©nom, adresse de lâĂ©tablissement principal, n° SIREN suivi de RCS » et ville dâimmatriculation ; - personne morale prĂ©ciser la raison sociale, adresse du siĂšge social, forme juridique, capital social, nom et prĂ©nom du responsable signataire, n° SIREN suivi de RCS » et ville dâimmatriculation. Lorsque le mandataire possĂšde des liens de nature capitalistique et/ou juridique avec des banques ou sociĂ©tĂ©s financiĂšres, le mentionner et prĂ©ciser les noms de ces Ă©tablissements. Lorsque le mandataire est immatriculĂ© Ă lâOrias, indiquer les numĂ©ros dâimmatriculation pour son activitĂ© dâintermĂ©diaire en opĂ©rations dâassurance et/ou en opĂ©rations de banque. 2 PrĂ©ciser la raison sociale et lâadresse du garant. 3 Ce montant est au minimum de 110 000 âŹ. 4 Le mandataire ayant souscrit la dĂ©claration sur lâhonneur visĂ©e aux articles 3 6° et 80 4° du dĂ©cret du 20 juillet 1972, celui-ci ne doit recevoir ni dĂ©tenir dâautres fonds, effets ou valeurs que ceux reprĂ©sentatifs de sa rĂ©munĂ©ration. 5 Mention obligatoire. La surface devant ĂȘtre indiquĂ©e est celle dĂ©finie Ă lâarticle R. 111-2 du code de la construction et de lâhabitation. 6 Rayer les mentions inutiles ou cocher la case correspondante. 7 A ne remplir quâaprĂšs la publication des textes rĂ©glementaires et Ă nâindiquer que si le logement se situe dans une commune comprise dans une zone dâurbanisation dĂ©finie par lâarticle 17 de la loi du 6 juillet 1989 dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret. 8 FixĂ© par le dĂ©cret n° 2014-890 du 1er aoĂ»t 2014 relatif au plafonnement des honoraires imputables aux locataires et aux modalitĂ©s de transmission de certaines informations par les professionnels de l'immobilier. 9 A complĂ©ter uniquement si le prĂ©cĂ©dent locataire a quittĂ© le logement moins de 18 mois avant la signature du bail. 10 Le forfait de charges nâest possible quâen cas de colocation. Il est fixĂ© en fonction des montants exigibles par le bailleur en application de lâarticle 23 de la loi. 11 Indiquer lâorigine du sinistre. 12 PrĂ©ciser si le bien est classĂ© en zone A, B, C ou D dans le plan dâexposition au bruit. LE PRĂSENT BAIL A ĂTĂ FAIT AU CABINET DU MANDATAIRE A , LE EN AUTANT DâEXEMPLAIRES QUE DE PARTIES ET COMPREND LE BAILLEUR ou son mandataire MOTS NULS LIGNES NULLES LE LOCATAIRE Lu et approuvĂ© signature CL 894 â BAIL HABITATION PRINCIPALE SOUMIS A LA LOI DU 6/07/1989 AoĂ»t 2014 ImprimĂ© rĂ©servĂ© exclusivement aux adhĂ©rents de la FĂ©dĂ©ration Nationale de lâImmobilier 11
Loin° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n° 86-1290 du 23 décembre 1986 . Article 25-14. Effectuer une recherche dans : Tous les contenus. Sélectionner un fonds. Codes Textes consolidés Journal officiel Circulaires et instructions Jurisprudence constitutionnelle Jurisprudence administrative
I. â Il est créé sous la dĂ©nomination de garantie universelle des loyers un dispositif ayant pour objet de couvrir, sous la forme d'un systĂšme d'aides, les bailleurs contre les risques d'impayĂ©s de loyer, afin de favoriser l'accĂšs au logement et de prĂ©venir les risques d'expulsion. Les impayĂ©s de loyer, au sens du prĂ©sent article, s'entendent des loyers, des charges rĂ©cupĂ©rables et de la contribution pour le partage des Ă©conomies de charges prĂ©vue Ă l'article 23-1 demeurĂ©s impayĂ©s. Au sens du prĂ©sent article, la conclusion d'un contrat de location s'entend de sa conclusion initiale, de son renouvellement dans des conditions diffĂ©rentes ou de la conclusion d'un avenant. A. â La garantie universelle des loyers s'applique aux contrats de location des catĂ©gories de logements suivantes 1° Logements constituant la rĂ©sidence principale du preneur dĂ©finis Ă l'article 2 ; 2° Logements meublĂ©s constituant la rĂ©sidence principale du preneur, tels que dĂ©finis aux articles 25-3 et 25-4 ; 3° Logements constituant la rĂ©sidence principale de l'occupant qui sont louĂ©s ou gĂ©rĂ©s par un organisme de maĂźtrise d'ouvrage d'insertion ou un organisme qui exerce les activitĂ©s d'intermĂ©diation locative ou de gestion locative sociale mentionnĂ©s, respectivement, aux articles L. 365-2 et L. 365-4 du code de la construction et de l'habitation. La garantie universelle des loyers s'applique Ă©galement aux contrats de sous-location des logements mentionnĂ©s au 3° du prĂ©sent A. Pour l'application du prĂ©sent article Ă ces contrats, le contrat de sous-location s'entend du contrat de location, le bailleur s'entend du locataire, et le locataire s'entend du sous-locataire. En sont exclus les contrats de location ou de sous-location des logements relevant du service d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral dĂ©fini Ă l'article L. 411-2 du mĂȘme code et appartenant ou Ă©tant gĂ©rĂ©s par les organismes d'habitations Ă loyer modĂ©rĂ© mentionnĂ©s Ă ce mĂȘme article ou par les sociĂ©tĂ©s d'Ă©conomie mixte mentionnĂ©es Ă l'article L. 481-1 dudit code, ainsi que les contrats de location portant sur les logements appartenant ou Ă©tant gĂ©rĂ©s par ces mĂȘmes organismes et sociĂ©tĂ©s, situĂ©s dans les dĂ©partements et rĂ©gions d'outre-mer et Ă Mayotte, et construits, acquis ou amĂ©liorĂ©s avec le concours financier de l'Etat. B. â Les aides versĂ©es au titre de la garantie ne peuvent ĂȘtre accordĂ©es que lorsque les conditions suivantes sont satisfaites par le bailleur 1° Le bailleur n'a pas demandĂ© le cautionnement mentionnĂ© Ă l'article 22-1 de la prĂ©sente loi ; 2° Le bailleur n'a pas souscrit d'assurance pour les risques couverts par la garantie universelle des loyers ; 3° Le logement satisfait aux caractĂ©ristiques de dĂ©cence prĂ©vues Ă l'article 6 ; 4° Le bailleur ne loue pas le logement Ă l'un de ses ascendants ou descendants, ou Ă ceux de leur conjoint ou concubin ou de toute personne liĂ©e Ă eux par un pacte civil de solidaritĂ© ; 5° Le bailleur a dĂ©clarĂ© son contrat de location auprĂšs de l'agence mentionnĂ©e au II du prĂ©sent article dans les conditions prĂ©vues au mĂȘme II ; 6° Le contrat de location est Ă©tabli par Ă©crit, respecte le contrat type prĂ©vu Ă l'article 3 et ne mentionne pas le renoncement au bĂ©nĂ©fice de la garantie universelle des loyers ; 7° Lorsque le locataire bĂ©nĂ©ficie de l'aide personnelle au logement, le bailleur demande son versement entre ses mains dans des conditions fixĂ©es par dĂ©cret. Toutefois, le 1° du prĂ©sent B ne s'applique pas lorsque le locataire est Ă©tudiant ou apprenti. Le bĂ©nĂ©fice de la garantie est refusĂ© lorsque le bailleur a fait l'objet d'une interdiction de bĂ©nĂ©ficier de la garantie en application du E du II ou lorsque, depuis moins de dix ans, il a Ă©tĂ© mis en demeure de faire cesser la mise Ă disposition aux fins d'habitation de locaux impropres Ă l'habitation en application de l'article L. 1331-22 du code de la santĂ© publique ou a proposĂ© Ă la location un logement ayant fait l'objet d'un arrĂȘtĂ© de pĂ©ril pris en application des articles L. 511-1 ou L. 511-3 du code de la construction et de l'habitation ou d'un arrĂȘtĂ© d'insalubritĂ© mentionnĂ© aux articles L. 1331-26-1 ou L. 1331-28 du code de la santĂ© publique, sauf lorsque l'autoritĂ© responsable a prononcĂ© la mainlevĂ©e de l'arrĂȘtĂ©. C. â Le bĂ©nĂ©fice de la garantie est subordonnĂ© au contrĂŽle, par le bailleur, du respect des conditions suivantes par le locataire Ă la date de la conclusion du contrat de location 1° Le locataire n'est pas redevable d'une dette créée ou augmentĂ©e depuis moins de deux ans vis-Ă -vis de l'agence mentionnĂ©e au II du prĂ©sent article et supĂ©rieure Ă un seuil dĂ©fini par dĂ©cret, sauf si l'une des conditions suivantes est remplie a Le locataire a signĂ© un plan d'apurement de cette dette ; b Sa demande formĂ©e en application du premier alinĂ©a du I de l'article L. 331-3 du code de la consommation a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e recevable ; c Le locataire loue un logement louĂ© ou gĂ©rĂ© par un organisme mentionnĂ© au IV du prĂ©sent article ; 2° Le locataire ne fait pas l'objet d'une interdiction de bĂ©nĂ©ficier de la garantie en application du E du II. Pour la mise en Ćuvre du prĂ©sent C, un justificatif du respect de ces conditions est dĂ©livrĂ© au candidat locataire, Ă sa demande. D. â Le montant de l'aide versĂ©e au titre de la garantie est ainsi calculĂ© 1° Le montant est dĂ©terminĂ© par rĂ©fĂ©rence au montant des impayĂ©s de loyer ; 2° L'aide est versĂ©e dans la limite d'un plafond modulĂ© en fonction de la localisation du logement, de sa catĂ©gorie et de sa surface. Dans les zones mentionnĂ©es au I de l'article 17, ce plafond est Ă©gal au loyer de rĂ©fĂ©rence mentionnĂ© au mĂȘme article ou, lorsque le logement est louĂ© meublĂ©, au loyer de rĂ©fĂ©rence mentionnĂ© Ă l'article 25-9. Le plafond est majorĂ© lorsque le locataire est, Ă la date de conclusion du contrat de location, Ă©tudiant, apprenti, salariĂ© titulaire d'un contrat autre qu'un contrat Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e ou demandeur d'emploi. Dans les zones mentionnĂ©es au quatriĂšme alinĂ©a du prĂ©sent D, ce plafond majorĂ© ne peut ĂȘtre supĂ©rieur au loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© mentionnĂ© au mĂȘme article 17 ou, lorsque le logement est louĂ© meublĂ©, au loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© mentionnĂ© au mĂȘme article 25-9. En outre, ce plafond est complĂ©tĂ© a D'un montant reprĂ©sentatif des charges rĂ©cupĂ©rables dĂ©terminĂ© en fonction de la localisation du logement, de sa catĂ©gorie et de sa surface ; b De la contribution pour le partage des Ă©conomies de charges, si elle s'applique au contrat de location ; 3° L'aide est versĂ©e sous rĂ©serve d'un montant minimal d'impayĂ©s de loyers ouvrant droit Ă la garantie et n'est accordĂ©e qu'Ă l'issue d'un dĂ©lai de carence aprĂšs la conclusion du contrat de location et pour une durĂ©e maximale fixĂ©s par voie rĂ©glementaire ; 4° Le montant de l'aide est rĂ©duit ou l'aide est supprimĂ©e dans les cas suivants a Le bailleur dĂ©clare tardivement les impayĂ©s de loyer ; b Le bailleur fait preuve de nĂ©gligence dans l'exercice de ses droits ; c Le loyer reprĂ©sente plus de la moitiĂ© des ressources du locataire Ă la date de conclusion du contrat de location. Toutefois, dans le cas prĂ©vu au c, la rĂ©duction ou la suppression de l'aide ne s'applique pas dans les cas suivants â le locataire est Ă©tudiant ou apprenti, Ă la date de conclusion du contrat de location, et dispose du cautionnement mentionnĂ© Ă l'article 22-1 ; â le logement est louĂ© ou gĂ©rĂ© par un organisme mentionnĂ© au IV du prĂ©sent article ; 5° Une franchise est appliquĂ©e. Cette franchise ne peut pas ĂȘtre appliquĂ©e lorsque le logement est louĂ© ou gĂ©rĂ© par un organisme mentionnĂ© au mĂȘme IV ou lorsque, Ă la date de conclusion du contrat de location, le locataire est Ă©tudiant, apprenti ou salariĂ© titulaire d'un contrat autre qu'un contrat Ă durĂ©e indĂ©terminĂ©e ou demandeur d'emploi ; 6° Lorsque le logement est Ă usage mixte professionnel et d'habitation, l'aide peut ĂȘtre rĂ©duite. E. â Les aides versĂ©es au titre de la garantie ouvrent droit Ă un recours subrogatoire contre le locataire et, le cas Ă©chĂ©ant, contre la personne qui s'est portĂ©e caution. Toutefois, l'agence mentionnĂ©e au II peut exercer ses droits Ă l'encontre du locataire par prĂ©fĂ©rence aux droits du bailleur existant au jour de l'octroi de l'aide. Dans tous les cas, l'agence dispose de la facultĂ© de ne pas exercer une partie ou la totalitĂ© de ses droits si elle juge que la situation d'impayĂ©s est principalement due aux graves difficultĂ©s Ă©conomiques et sociales du locataire. Le recouvrement des crĂ©ances au profit de l'agence est effectuĂ© par l'Etat, comme en matiĂšre de crĂ©ances Ă©trangĂšres Ă l'impĂŽt. L'Etat est subrogĂ© dans les droits de l'agence pour le recouvrement des crĂ©ances Ă l'encontre du locataire mentionnĂ© au premier alinĂ©a. Les sommes recouvrĂ©es par l'Etat pour le compte de l'agence lui sont reversĂ©es. F. â Les actions contentieuses introduites par le bailleur en raison du non-paiement du loyer, des charges rĂ©cupĂ©rables ou de la contribution pour le partage des Ă©conomies de charges ne peuvent ĂȘtre rejetĂ©es du seul fait que le bailleur a perçu une aide en application du prĂ©sent article. G. â Un dĂ©cret en Conseil d'Etat fixe les modalitĂ©s d'application du prĂ©sent I, sauf le montant minimal d'impayĂ©s ouvrant droit Ă la garantie, le plafond pris en compte pour le calcul de l'aide, le montant reprĂ©sentatif des charges rĂ©cupĂ©rables, les modalitĂ©s d'application de la franchise, la durĂ©e maximale d'octroi de l'aide et le dĂ©lai de carence mentionnĂ©s au D, qui sont fixĂ©s par dĂ©cret. Le dĂ©cret en Conseil d'Etat dĂ©finit, notamment, les conditions et dĂ©lais de dĂ©claration Ă respecter pour le bĂ©nĂ©fice de la garantie, ainsi que les conditions de versement de l'aide. II. â Il est créé, sous la forme d'un Ă©tablissement public administratif de l'Etat, une Agence de la garantie universelle des loyers. A. â L'Agence de la garantie universelle des loyers est chargĂ©e de mettre en place et d'administrer la garantie prĂ©vue au I, directement ou par l'intermĂ©diaire des organismes mentionnĂ©s au III, et de contrĂŽler sa mise en Ćuvre ainsi que l'activitĂ© desdits organismes. A ce titre, elle peut financer des actions d'accompagnement social des locataires en situation d'impayĂ©s de loyer. L'agence peut Ă©galement, Ă titre complĂ©mentaire, mettre en place un dispositif d'aide au profit des bailleurs pour les frais contentieux et pour les dĂ©gradations locatives des logements louĂ©s ou gĂ©rĂ©s par les organismes mentionnĂ©s au IV. L'agence agrĂ©e les organismes mentionnĂ©s aux III et IV pour l'application de la garantie universelle des loyers. L'agence peut gĂ©rer, directement ou par l'intermĂ©diaire des organismes mentionnĂ©s au III, au nom et pour le compte des personnes concernĂ©es, les aides aux bailleurs que des personnes publiques ou morales de droit privĂ© apportent sur leur budget propre. Pour l'exercice des attributions mentionnĂ©es aux troisiĂšme et quatriĂšme alinĂ©as du prĂ©sent A, l'agence conclut des conventions avec les organismes et personnes en cause. L'agence peut Ă©galement mener toute Ă©tude ou action ayant pour objet de sĂ©curiser les relations entre bailleurs et locataires ou d'amĂ©liorer la gestion et le traitement des impayĂ©s de loyer et l'accompagnement des locataires en situation d'impayĂ©s. B. â L'agence est administrĂ©e par un conseil d'administration composĂ© de quatre collĂšges 1° Un collĂšge de reprĂ©sentants de l'Etat ; 2° Un collĂšge de reprĂ©sentants d'organisations syndicales et patronales membres de l'Union des entreprises et des salariĂ©s pour le logement mentionnĂ©e Ă l'article L. 313-17 du code de la construction et de l'habitation ; 3° Un collĂšge de parlementaires comprenant autant de sĂ©nateurs que de dĂ©putĂ©s ; 4° Un collĂšge de personnalitĂ©s qualifiĂ©es. Le nombre de voix attribuĂ©es Ă chacun des membres du conseil d'administration est prĂ©cisĂ© par dĂ©cret. Le premier collĂšge dĂ©tient la moitiĂ© des voix dĂ©libĂ©ratives au sein du conseil d'administration. Le prĂ©sident du conseil d'administration est nommĂ© par dĂ©cret, pris sur le rapport du ministre chargĂ© du logement, parmi les membres du quatriĂšme collĂšge. Le vice-prĂ©sident est dĂ©signĂ© par le deuxiĂšme collĂšge en son sein. L'agence est dirigĂ©e par un directeur gĂ©nĂ©ral. Un comitĂ© d'orientation est chargĂ© de faire toute proposition utile afin d'amĂ©liorer la gestion de la garantie universelle des loyers. C. â Pour l'accomplissement de sa mission, l'Agence de la garantie universelle des loyers peut disposer des ressources suivantes 1° Les contributions et subventions de l'Etat et de ses Ă©tablissements publics, de l'Union europĂ©enne, ainsi que de toute autre personne morale publique ou privĂ©e ; 2° Les recettes fiscales affectĂ©es par la loi ; 3° Les contributions de la participation des employeurs Ă l'effort de construction ; 4° Le produit issu du remboursement des aides versĂ©es au titre de la garantie ; 5° Les sommes correspondant aux aides accordĂ©es par d'autres personnes morales qui lui sont versĂ©es en application des conventions mentionnĂ©es au A ; 6° Les emprunts et le produit des placements financiers qu'elle est autorisĂ©e Ă faire ; 7° Le produit des dons et legs ; 8° Les recettes accessoires, notamment la rĂ©munĂ©ration des services rendus aux tiers, dans des conditions fixĂ©es par le conseil d'administration ; 9° Toutes les ressources dont elle peut disposer en vertu des lois et rĂšglements. D. â Pour bĂ©nĂ©ficier des aides mentionnĂ©es au I, les bailleurs dĂ©clarent auprĂšs de l'Agence de la garantie universelle des loyers la conclusion des contrats de location entrant dans le champ d'application du A du I, dans un dĂ©lai fixĂ© par dĂ©cret. Cette dĂ©claration peut s'effectuer de façon dĂ©matĂ©rialisĂ©e. Les locataires sont informĂ©s de cette dĂ©claration, selon des modalitĂ©s fixĂ©es par dĂ©cret. E. â L'agence peut prononcer des sanctions Ă l'encontre des bailleurs ayant sollicitĂ© ou obtenu un versement par fraude d'aides au titre de la garantie et Ă l'encontre des locataires en cas de fausse dĂ©claration. L'agence peut prononcer les sanctions suivantes, aprĂšs avoir mis en Ćuvre la procĂ©dure prĂ©vue aux articles L. 121-1, L. 121-2 et L. 122-1 du code des relations entre le public et l'administration 1° Une sanction pĂ©cuniaire, qui ne peut excĂ©der, pour les bailleurs, un montant Ă©quivalant Ă deux ans de loyer et, pour les locataires, deux fois le plafond mensuel de la sĂ©curitĂ© sociale. Ces sanctions sont recouvrĂ©es par l'Etat au profit de l'agence comme en matiĂšre de crĂ©ances Ă©trangĂšres Ă l'impĂŽt ; 2° L'interdiction de bĂ©nĂ©ficier de la garantie universelle des loyers pendant une durĂ©e maximale de dix ans pour les bailleurs, de deux ans pour les locataires. Un comitĂ© des sanctions prononce les sanctions mentionnĂ©es aux 1° et 2°. Ce comitĂ© est composĂ© a D'un magistrat de l'ordre administratif, dĂ©signĂ© par le vice-prĂ©sident du Conseil d'Etat, prĂ©sident du comitĂ© ; b D'un magistrat de l'ordre judiciaire, dĂ©signĂ© par le premier prĂ©sident de la Cour de cassation ; c De trois membres dĂ©signĂ©s en raison de leur compĂ©tence en matiĂšre de logement par le ministre chargĂ© du logement ; d D'un reprĂ©sentant des associations de dĂ©fense des consommateurs reprĂ©sentatives au niveau national Ćuvrant dans le domaine du logement, dĂ©signĂ© par le ministre chargĂ© du logement ; e D'un reprĂ©sentant des organisations reprĂ©sentatives au plan national des bailleurs ou des gestionnaires, dĂ©signĂ© par le ministre chargĂ© du logement. Les membres du comitĂ© sont dĂ©signĂ©s pour un mandat de cinq ans, non renouvelable. Ils peuvent se faire supplĂ©er par un membre relevant de la mĂȘme catĂ©gorie et nommĂ© dans les mĂȘmes conditions. Le directeur gĂ©nĂ©ral de l'agence est chargĂ© de l'instruction. Il procĂšde, Ă cet effet, aux investigations nĂ©cessaires. Il notifie les griefs au comitĂ©. Il peut prĂ©senter des observations devant le comitĂ©. Il n'assiste pas au dĂ©libĂ©rĂ©. F. â L'agence peut communiquer aux organismes payeurs de prestations familiales, aux dĂ©partements et Ă la commission mentionnĂ©e Ă l'article 7-2 de la loi n° 90-449 du 31 mai 1990 visant Ă la mise en Ćuvre du droit au logement les donnĂ©es relatives aux impayĂ©s de loyer et aux locataires en situation d'impayĂ©s, dans des conditions prĂ©vues par dĂ©cret en Conseil d'Etat. Elle peut Ă©galement communiquer aux observatoires locaux des loyers mentionnĂ©s Ă l'article 16 de la prĂ©sente loi les donnĂ©es utiles pour l'exercice de leur mission, dans des conditions prĂ©vues par dĂ©cret en Conseil d'Etat. Les organismes chargĂ©s du paiement de l'allocation de logement communiquent Ă l'agence, Ă sa demande, l'information selon laquelle un locataire est bĂ©nĂ©ficiaire de l'aide personnelle au logement et un rĂ©capitulatif des versements des aides personnelles au logement entre les mains des locataires et des bailleurs. G. â Un dĂ©cret en Conseil d'Etat dĂ©finit les modalitĂ©s d'organisation, de gestion et de fonctionnement de l'agence. organismes, dĂ©nommĂ©s " centres de gestion agréés ", sont agréés par l'Agence de la garantie universelle des loyers pour la mise en Ćuvre de la garantie universelle des loyers. A ce titre, ils ont pour missions 1° D'assister les bailleurs dans la dĂ©claration mentionnĂ©e au D du II, pour la vĂ©rification du respect des conditions exigĂ©es pour bĂ©nĂ©ficier de la garantie universelle des loyers et dans toutes dĂ©marches pour le bĂ©nĂ©fice de la garantie ; 2° D'instruire les dossiers d'impayĂ©s de loyer et les demandes d'aides ; 3° De dĂ©livrer aux candidats locataires qui en font la demande le justificatif mentionnĂ© au C du I ; 4° D'informer les locataires des dĂ©clarations d'impayĂ©s de loyer ainsi que des consĂ©quences de cette dĂ©claration, et notamment des voies de recours dont les locataires disposent dans ce cadre ; 5° De proposer un plan d'apurement au locataire ; 6° D'identifier et orienter les locataires en situation d'impayĂ©s de loyer nĂ©cessitant un accompagnement social, et d'accompagner, s'il y a lieu, les locataires dans la recherche d'un autre logement. Ces organismes peuvent Ă©galement procĂ©der au versement des aides aux bailleurs et proposer des prestations complĂ©mentaires, dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret, dans le cadre de la mise en Ćuvre de la garantie universelle des loyers. Toutefois, l'instruction des demandes d'aide d'un propriĂ©taire doit ĂȘtre autonome de la sĂ©lection des locataires et de l'encaissement des loyers Ă l'Ă©chĂ©ance Ă©ventuellement effectuĂ©s pour le compte de ce propriĂ©taire. Ces organismes sont soumis au respect d'un cahier des charges fixĂ© par dĂ©cret. Pour le financement de leurs missions, ces organismes perçoivent un financement de l'agence mentionnĂ©e au II. Ils peuvent Ă©galement percevoir des sommes acquittĂ©es par les bailleurs, dans des conditions fixĂ©es par dĂ©cret. pouvoir bĂ©nĂ©ficier des conditions spĂ©cifiques d'application de la garantie universelle des loyers prĂ©vues aux c du 1° du C du I et au septiĂšme alinĂ©a du 4° et au second alinĂ©a du 5° du D de ce mĂȘme I, ainsi que de l'aide complĂ©mentaire prĂ©vue au deuxiĂšme alinĂ©a du A du II pour les logements qu'ils louent ou gĂšrent, les organismes qui exercent les activitĂ©s d'intermĂ©diation locative et de gestion locative sociale, ainsi que les organismes qui exercent des activitĂ©s de maĂźtrise d'ouvrage d'insertion agréés dans les conditions prĂ©vues, respectivement, aux articles L. 365-2 et L. 365-4 du code de la construction et de l'habitation, doivent obtenir un agrĂ©ment de l'agence mentionnĂ©e au II du prĂ©sent article dans des conditions dĂ©finies par dĂ©cret. prĂ©sent article s'applique aux contrats de location conclus Ă compter du 1er janvier 2016. A compter de cette mĂȘme date, les parties peuvent rendre applicable le prĂ©sent article, par voie d'avenant, aux contrats de location en cours, sous rĂ©serve que le bailleur et le locataire remplissent les conditions qu'il fixe. Le bĂ©nĂ©fice de la garantie pour les logements dĂ©jĂ occupĂ©s par le locataire est soumis Ă un dĂ©lai de carence qui ne peut ĂȘtre infĂ©rieur Ă six mois, sauf dans le cas d'un renouvellement d'un contrat de location qui a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© dans les conditions mentionnĂ©es au D du II du prĂ©sent article ou d'un avenant Ă un tel contrat. Ce dĂ©lai de carence ne s'applique pas dans le cas d'un renouvellement d'un contrat de location qui a fait l'objet d'un contrat d'assurance contre les impayĂ©s de loyer respectant le cahier des charges prĂ©vu au g de l'article L. 313-3 du code de la construction et de l'habitation ou d'un avenant Ă un tel contrat. L'agence mentionnĂ©e au II est créée Ă une date fixĂ©e par dĂ©cret, et au plus tard le 1er janvier 2015.
Sûretés- [BrÚves] La nullité de l'article 22-1 de loi du 6 juillet 1989 ne nécessite pas la preuve d'un grief. Jurisprudences Ouvrages Revues Textes Doc. pratiques. Chercher. Testez gratuitement; Abonnez-vous ; Connexion. Accéder à votre compte . Mot de passe oublié ? Valider. Pas encore de compte ? Tester gratuitement Lexbase . Le Quotidien du 13 mars 2006 : Sûretés. Quotidien
Jâentends Ă peut prĂȘt tout et son contraire sur la rĂ©glementation du contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989. En effet, je vois la clientĂšle se mettre dĂ©libĂ©rĂ©ment en danger en faisant contracter des baux dâhabitation non conforme Ă ses locataires. La raison de cet article est de vous guider pour Ă©viter de vous mettre en porte-Ă -faux. Sachez que tout ce que vous mettrez dans le contrat de bail de location et qui sort de la loi du 6 juillet 1989 pourra ĂȘtre annulĂ© par le juge. Tous les locataires personnes physiques, qui souhaite louer un logement pour leur rĂ©sidence principale nue ou meublĂ©e ou Ă usage mixte, peuvent bĂ©nĂ©ficier dâun contrat de bail loi 1989. En revanche, les locataires personnes morales ne peuvent pas signer un contrat bail de location loi de 1989. Pour louer un bien, vous devrez donc passer par un bail de droit commun, un bail de location de rĂ©sidence secondaire ou un bail commercial selon votre activitĂ©. Sommaire1 Les locations rĂ©gies par le contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989 1 Les biens Ă usage dâhabitation 2 Contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989 les biens Ă usage mixte professionnel et habitation 3 Les locaux accessoires au contrat de bail de location loi 1989 de la rĂ©sidence principale2 Les locaux exclus du contrat de bail de location de la loi du 6 juillet 19893 Qui doit signer le contrat de bail de location loi 1989 ? 1 Les 2 Les propriĂ©taires bailleurs4 La durĂ©e du contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989 1 Le contrat de bail de location 2 Le bail de location loi 1989 meublĂ©5 Comment mettre fin au contrat de bail de location loi 1989 ? 1 le congĂ© donnĂ© par le bail de location loi Les motifs du Les locataires La rĂ©siliation 2 Le congĂ© donnĂ© par le locataire dans le bail de location loi 19896 Les clauses interdites dans le contrat de bail de location loi 1989 7 LâĂ©tat de votre bien immobilier dans le contrat de La notion de logement dĂ©cent dans le contrat de bail de Les sanctions que vous risquez8 Lâusage du bien immobilier dans le cadre du contrat de bail de location loi Le locataire doit user des lieux paisiblement tandis que le bailleur doit dĂ©livrer un logement dĂ©cent Les locations rĂ©gies par le contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989 1 Les biens Ă usage dâhabitation principale Tous les biens Ă usage dâhabitation principale nus ou meublĂ©s sont concernĂ©s par la loi du 6 juillet 1989. Je vous rappel que le lĂ©gislateur considĂšre une rĂ©sidence principale un bien qui est habitĂ© plus de 8 mois par an sauf en cas dâobligation professionnelle, raison de santĂ© ou cas de force majeur. Les locaux meublĂ©s ont Ă©tĂ©s rajoutĂ© Ă la loi du 6 juillet 1989 par la loi ALUR du 24 mars 2014. Celle ci rĂ©glemente le caractĂšre meublĂ© dâun logement. Comme on me pose souvent la question de savoir ce quâon doit mettre Ă disposition du locataire dans un logement meublĂ©, je vai laissĂ© parler la loi ALUR Literie comprenant couette ou couverture Dispositif dâoccultation des fenĂȘtres dans les piĂšces destinĂ©es Ă ĂȘtre utilisĂ©es comme chambre Ă coucher Plaques de cuisson Four ou four Ă micro-ondes RĂ©frigĂ©rateur et congĂ©lateur Vaisselle nĂ©cessaire Ă la prise des repas et ustensiles de cuisine Table, siĂšges et Ă©tagĂšres de rangement Luminaires MatĂ©riel dâentretien mĂ©nager adaptĂ© au logement đđđ A voir aussi câest le contrat de bail loi du 6 juillet 1989 qui prĂ©voit la constitution du dossier de location et les documents Ă fournir đđđ 2 Contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989 les biens Ă usage mixte professionnel et habitation principale La loi du 6 juillet 1989 sâapplique Ă©galement aux baux dâhabitation Ă usage mixte. Cette loi autorise lâexercice dâune activitĂ© professionnelle ou commerciale dans une partie du local dâhabitation principale. Si votre local est situĂ© Ă lâĂ©tage du bĂątiment, le maire de la commune doit donner son accord pour lâexercice de votre activitĂ©. Cette autorisation nâest pas nĂ©cessaire si le local se situe au rez-de-chaussĂ©e ou si lâactivitĂ© ne comporte pas de rĂ©ception de clientĂšle ou de marchandise. Il sera important que vous informiez votre locataire quâil ne sera pas soumis au statut des baux commerciaux. 3 Les locaux accessoires au contrat de bail de location loi 1989 de la rĂ©sidence principale Les garages, les places de parking, les jardins et autres locaux accessoires au bien principal Ă usage dâhabitation peuvent ĂȘtre Ă©galement soumis Ă la loi du 6 juillet 1989. đđđ TĂ©lĂ©chargez un contrat de bail de location loi 1989 sur ce site. đđđ Les locaux exclus du contrat de bail de location de la loi du 6 juillet 1989 Les locaux suivants sont exclus de la loi du 6 juillet 1989. La location de ces logements est rĂ©gie soit par le bail de location de droit commun, soit par des lois spĂ©cifiques qui sont venues rĂ©glementer particuliĂšrement certaines situations contrat de bail commercial, bail de location professionnel, bail mobilitĂ© etc⊠Il sâagira donc Les locaux commerciaux Les locaux professionnels Les logements de fonction Les baux mobilitĂ© Les locaux louĂ©s Ă des personnes morales Les baux de location saisonniĂšre Les logement louĂ©s pour la rĂ©sidence secondaire du locataire đđđ A voir aussi les obligations du locataire. đđđ đđđ A lire aussi est ce quâil vaut mieux devenir propriĂ©taire ou locataire ? đđđ Qui doit signer le contrat de bail de location loi 1989 ? 1 Les locataires Lorsque le contrat de bail de location est signĂ© par un seul des Ă©poux, les deux Ă©poux sont co-titulaires du contrat de bail de location loi 1989. Lorsque deux personnes ou plus signent sans ĂȘtre mariĂ©es ou pacsĂ©es, on parle depuis la loi ALUR de colocation. Si vous prenez le bien en colocation, tous les colocataires devront signer le contrat de bail de location. Si vous ĂȘtes mariĂ© ou pacsĂ©, la loi autorise lâun des Ă©poux ou des partenaires Ă signer le contrat de bail de location de la rĂ©sidence principale du couple. Cette signature engage les deux Ă©poux ou partenaires. 2 Les propriĂ©taires bailleurs Tous les propriĂ©taires bailleurs, personnes physiques ou morales peuvent signer un contrat de bail loi 1989 Ă condition bien sur que le logement respecte les caractĂ©ristiques des locaux visĂ©es par la loi. Le contrat de bail doit obligatoirement ĂȘtre Ă©crit. Il doit ĂȘtre rĂ©digĂ© en autant dâexemplaire quâil y a de parties. Le bail de location loi 1989 peut ĂȘtre sous seing privĂ© ou signĂ© par acte authentique chez le notaire. Le contrat de bail de location loi 1989 est un bail type. đđđ DĂ©couvrez dans cet article comment faire partir son locataire. đđđ La durĂ©e du contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989 1 Le contrat de bail de location nu le contrat de bail de location loi 1989 est signĂ© pour une pĂ©riode de 3 ans si le bailleur est une personne physique, une indivision ou une SCI familiale entre parents et alliĂ©s jusquâau quatriĂšme degrĂ© inclus. Le bail est de 6 ans si le bailleur est une personne morale. Vous comprendrez en tant que propriĂ©taire que vous vous engagez pour une pĂ©riode de 3 ans ou 6 ans et que vous ne pourrez pas reprendre la jouissance de votre bien avant la fin du bail. Lâengagement est important et long pour le propriĂ©taire bailleur. Il est nĂ©anmoins possible de reprendre le bien ou de rĂ©silier le contrat en cours pour quatre motifs exceptionnels Le locataire quitte son logement en cours de bail de location en respectant le prĂ©avis Le propriĂ©taire bailleur rĂ©silie le contrat judiciairement ou de plein droit par le biais de la clause rĂ©solutoire si le locataire manque Ă ses obligations Soit dans le cas dâune perte totale de la chose louĂ©e un incendie Soit en cas de dĂ©cĂšs ou dâabandon du domicile du locataire A la fin du contrat, si aucune des parties nâa donnĂ© congĂ©, le contrat de bail se renouvelle par tacite reconduction pour une durĂ©e identique Ă celle initialement prĂ©vue et dans les mĂȘmes conditions que le bail de location loi 1989 initial. 2 Le bail de location loi 1989 meublĂ© Le contrat de bail de location loi 1989 meublĂ© est signĂ© pour une durĂ©e de 1 an. Ce contrat de bail de location se renouvelle Ă©galement par tacite reconduction dans les mĂȘmes conditions que le bail initial. Il est possible de prĂ©voir un bail de 9 mois pour un locataire Ă©tudiant. Dans ce cas, votre locataire doit quitter les lieux Ă la fin du contrat de bail sans pouvoir prĂ©tendre Ă une reconduction tacite. đđđ A lire aussi tout savoir sur le calcul de la taxe dâhabitation đđđ Comment mettre fin au contrat de bail de location loi 1989 ? 1 le congĂ© donnĂ© par le bail de location loi 1989 Vous ne pourrez donner congĂ© quâau terme du bail câest Ă dire tous les 3 ans ou 6 ans dans le contrat de bail de location nu, ou tous les ans dans le contrat meublĂ©. Vous devez envoyer un recommandĂ© avec accusĂ© de rĂ©ception, ou acte dâhuissier au moins 6 mois avant la fin du bail ou 3 mois dans le cadre dâune location meublĂ©e. Les motifs du congĂ© Vous ne pourrez donner congĂ© Ă votre locataire que pour 3 raisons. En effet, votre congĂ© doit ĂȘtre motivĂ©. Le congĂ© pour reprise pour y habiter ou loger un membre de sa famille Le congĂ© pour vente le locataire a un droit de prĂ©emption Le congĂ© pour motif lĂ©gitime et sĂ©rieux gros travaux, le locataire qui ne respecte pas ses obligations etc⊠Les locataires protĂ©gĂ©s Certains locataires sont protĂ©gĂ©s. Il nâest possible de donner congĂ© que vous proposez une solution de relocation dans les mĂȘmes conditions. Sont concernĂ©s par cette protection les locataires de plus de 65 ans, les locataires ayants des ressources infĂ©rieures au plafond des ressources applicables Ă lâattribution des logements locatifs conventionnĂ©s. Ces conditions sont cumulatives. Si le locataire remplit ces deux conditions, vous ne pourrez pas donner congĂ© dans les conditions vues prĂ©cĂ©demment sauf si vous ĂȘtes vous mĂȘme ĂągĂ© de plus de 65 ans ou que vous avez des revenus infĂ©rieurs aux plafonds de ressources applicables. La rĂ©siliation judiciaire Vous pouvez insĂ©rer une clause au contrat de bail de location loi 1989 qui prĂ©voit sa rĂ©siliation de plein droit en dehors des congĂ©s normaux. Vous pourrez invoquer cette clause uniquement dans quatre cas Le non-paiement du loyer et des charges Le non-paiement du dĂ©pĂŽt de garantie Les troubles du voisinage La non-souscription dâune assurance locative contre les risques locatifs Cette clause ne vous exemptera pas dâengager une procĂ©dure dâexpulsion. NĂ©anmoins, le juge sera obligĂ© dâappliquer la clause rĂ©solutoire et de valider lâexpulsion si vous avez rĂ©alisĂ© lâexpulsion dans les rĂšgles. Si vous nâinsĂ©rez pas de clause rĂ©solutoire, le juge aura la libre apprĂ©ciation des fais et pourra ou non prononcer lâexpulsion de votre locataire. 2 Le congĂ© donnĂ© par le locataire dans le bail de location loi 1989 Vous pouvez donner votre congĂ© Ă tout moment durant toute la durĂ©e du contrat de bail de location sans justifier votre dĂ©part. Vous devez signifier votre congĂ© en envoyer un recommandĂ© Ă votre propriĂ©taire. Votre prĂ©avis sera de 3 mois pour une location nue et de 1 mois pour un meublĂ©. Le dĂ©lais en cas de location nue peut ĂȘtre rĂ©duit Ă 1 mois dans les cas suivants Mutation, perte dâemploi Obtention dâun premier emploi Si vous ĂȘtes bĂ©nĂ©ficiaire du RSA Si votre bien se situe en zone tendue En cas dâattribution dâun logement social En cas de problĂšme de santĂ© qui justifie le dĂ©part đđđ Un projet immobilier sur le Nord-Gironde, demandez conseils Ă une agence immobiliĂšre Cavignac. đđđ đđđ A lire aussi comment faire un Ă©tat des lieux de sortie ? đđđ Les clauses interdites dans le contrat de bail de location loi 1989 Le contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989 est une loi dâordre public. Il y a donc certaines clauses que vous pourriez rajouter et considĂ©rĂ©es comme nul par le juge. En effet, parle de clause illicites. Voici une liste non exhaustive de clauses que vous pourriez ĂȘtre tentĂ© de rajouter et qui pourront ĂȘtre annulĂ©e par le juge. Ces exemples sont inscrits dans lâarticle 4 de la loi du 6 juillet 1989. Si vous inscrivez dans le bail de location que le locataire est obligĂ© de vous laisser visiter le bien plus de deux heures par jours ou les jours fĂ©riĂ©s Si vous imposez comme mode de rĂšglement du loyer un prĂ©lĂšvement automatique Qui vous autorise Ă diminuer ou Ă supprimer sans contrepartie Ă©quivalente, des prestations stipulĂ©e au contrat de bail de location Si vous inscrivez un renouvellement du contrat de bail de location pour une durĂ©e infĂ©rieure Ă celle prĂ©vue par lâarticle 10 Vous ne pouvez pas interdire Ă votre locataire dâhĂ©berger des personnes ne vivant pas habituellement avec lui Imposer Ă votre locataire lors de lâentrĂ©e des lieux Ă vous verser des sommes en plus de celles prĂ©vues aux articles 5 et 22 etc⊠đđđ DĂ©couvrez dans cet article quels sont les droits du locataire đđđ LâĂ©tat de votre bien immobilier dans le contrat de bail La notion de logement dĂ©cent dans le contrat de bail de location Lâarticle 6 de la loi du 6 juillet 1989 prĂ©cise la notion de logement dĂ©cent. En effet, il est impossible de louer un logement jugĂ© indĂ©cent et mĂȘme si vous mettez une clause dans votre contrat de bail de location. Elle serait jugĂ©e abusive. Lâarticle recouvre plusieurs aspects La sĂ©curitĂ© des locataires Sol menaçant de sâeffondrer, gardes corps mal fixĂ©s, plafond menaçant de sâeffondrer, charpente complĂštement mangĂ©e par les termites etc⊠La santĂ© des locataires Absence de VMC et forte humiditĂ©, peintures au plomb dĂ©gradĂ©e etc⊠Le confort de votre bien PrĂ©sence de lâeau et de lâĂ©lectricitĂ©, systĂšme dâĂ©vacuation, surface minimale respectĂ©e etc⊠đđđA lire aussi comprendre la fiscalitĂ© des revenus fonciers đđđ Les sanctions que vous risquez Si vous louez un logement jugĂ© indĂ©cent, votre locataire pourra demander un dĂ©dommagement et la rĂ©siliation du contrat de bail de location loi 1989 sans prĂ©avis. Votre responsabilitĂ© pĂ©nale pourra ĂȘtre Ă©galement engagĂ©e si votre bien immobilier est jugĂ© contraire Ă la dignitĂ© humaine. Cependant, votre locataire ne pourra pas dĂ©cider de lui mĂȘme dâarrĂȘter de payer son loyer. Il doit agir dans les rĂšgles afin de ne pas se voir reprocher cet agissement lors dâune procĂ©dure dâexpulsion. Si vous ĂȘtes locataire est que vous pensez ĂȘtre dans un logement qui pourrait ĂȘtre jugĂ© indĂ©cent la procĂ©dure est la suivante. Vous devez dâabord demander Ă votre bailleur dâexĂ©cuter les travaux. Si il ne donne pas suite, vous devez saisir la commission dĂ©partementale de conciliation. Enfin, si vous nâavez toujours pas trouvĂ© dâarrangement, il faudra saisir le juge. Vous ĂȘtes tenu de dĂ©livrer Ă votre locataire un logement en Ă©tat et conforme Ă sa destination. Je ne dis pas que le bien immobilier doit ĂȘtre remis Ă neuf entre chaque locataire mais il doit ĂȘtre un minimum dĂ©cent. En cas de travaux, le bailleur est tenu de sâoccuper des grosses rĂ©parassions et le locataire les menues rĂ©paration. Le locataire peut rĂ©aliser comme il lâentend lâamĂ©nagement du bien. NĂ©anmoins, il ne peut en aucun cas transformer le bien. đđđ A lire aussi quelles sont les charges du propriĂ©taire ? Cliquez ici pour savoir ! đđđ Lâusage du bien immobilier dans le cadre du contrat de bail de location loi 1989 Comme Ă©voquĂ© en dĂ©but dâarticle, le contrat de bail de location loi du 6 juillet 1989 ne sâapplique que pour un usage dâhabitation principale ou a usage mixte. Vous ne ne pourrai pas lâutiliser Ă des fins de rĂ©sidence secondaire, ou uniquement pour un usage professionnel. Cependant, si vous avertissez votre bailleur, vous avez tout Ă fait le droit de domicilier votre siĂšge social dans le bien que vous louez. En thĂ©orie, seuls les signataires du contrat de bail de location peuvent habiter dans le bien immobilier. Cependant, il a Ă©tĂ© jugĂ© que cette rĂšgle allait Ă lâencontre du respect de la vie privĂ©e. đđđ A lire aussi comment donner son prĂ©avis dans le contrat de bail de location ? đđđ Le locataire doit user des lieux paisiblement tandis que le bailleur doit dĂ©livrer un logement dĂ©cent Si vous hĂ©bergez quelquâun Ă titre gratuit, votre bailleur ne pourra pas sây opposer. Vous sous-louez le bien immobilier, il vous faudra lâaccord Ă©crit de votre bailleur et le loyer ne pourra bien sur excĂ©der votre loyer initial. Si vous dĂ©cidez de prĂȘter le bien, votre bailleur ne pourra rien dire sauf si il est inscrit le contraire dans le contrat de bail de location loi 1989. Enfin, si vous dĂ©cidez de cĂ©der votre contrat de bail de location Ă un autre locataire, il vous faudra bien Ă©videment lâaccord de votre bailleur. En tant que locataire, vous devez user paisiblement des lieux sans causer de troubles du voisinage. Vous risquerez la rĂ©siliation judiciaire Ă©voquĂ©e prĂ©cĂ©demment. A noter que vous ĂȘtes responsable des occupant de votre chef, il sâagit souvent des enfants. En tant que bailleur vous devez Ă lâĂ©gard de votre locataire lui assurer une jouissance paisible. Il ne sera pas question de rentrer chez lui sans le prĂ©venir. De plus si vous ĂȘtes propriĂ©taire de logements voisins, vous ĂȘtes responsable des Ă©ventuels troubles que vos autres locataires pourraient crĂ©er. đđđ Nous verrons dans le prochain article comment fixer le loyer initial dâun contrat de bail de location loi 1989 et comment le réévaluer en toute lĂ©galitĂ©. đđđ
Toutela jurisprudence, les commentaires de professionnels, les questions parlementaires sur l'Article 14-1 de la Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n° 86-1290 du 23 décembre 1986.
AccueilDroit national en vigueurAccords collectifsAccords de branche et conventions collectivesConvention collective nationale de l'immobilier, administrateurs de biens, sociĂ©tĂ©s immobiliĂšres, agents immobiliers, ...Convention collective nationale de l'immobilier, administrateurs de biens, sociĂ©tĂ©s immobiliĂšres, agents immobiliers, etc. anciennement cabinets d'administrateurs de biens et des sociĂ©tĂ©s immobiliĂšres, du 9 septembre 1988. Etendue par arrĂȘtĂ© du 24 fĂ©vrier 1989 JORF 3 mars 1989. Mise Ă jour par avenant n° 47 du 23 novembre 2010, JORF 18 juillet 2012 puis mise Ă jour par avenant n° 83 du 2 dĂ©cembre 2019 Ă©tendu par arrĂȘtĂ© du 2 juillet 2021 JORF 14 juillet 2021
MoretLoing-et-Orvanne est, depuis le 1 er janvier 2017, une commune nouvelle française situĂ©e au sud du dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Ăle-de-France.En 2019, elle compte 12 223 habitants. Elle est issue du regroupement de la commune nouvelle de Moret Loing et Orvanne (sans traits d'union entre les mots), qui a existĂ© pendant l'annĂ©e 2016, et de la commune de
Selon la Cour de cour de cassation, le placement dĂ©finitif dâun locataire en maison de retraite imposĂ© Ă une des personnes mentionnĂ©es Ă lâarticle 14 de la loi du 6 juillet 1989 constitue un abandon du domicile. Voici le texte de cet arrĂȘt " Attendu, selon l'arrĂȘt attaquĂ© Douai, 2 novembre 2006, que M. X..., occupant d'un logement qui avait Ă©tĂ© donnĂ© Ă bail Ă Mme Y..., sa mĂšre, par la sociĂ©tĂ© Roubaix habitat la sociĂ©tĂ©, a assignĂ© cette derniĂšre aux fins de faire juger que le bail s'Ă©tait continuĂ© Ă son profit lors de lâentrĂ©e en maison de retraite de sa mĂšre ou, subsidiairement, quâil lui avait Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© Ă son dĂ©cĂšs ; Sur le premier moyen Vu l'article 14 de la loi du 6 juillet 1989 ; Attendu qu'en cas d'abandon du domicile par le locataire, le contrat de location continue - au profit du conjoint, sans prĂ©judice de lâarticle 1751 du code civil ; - au profit des descendants qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă la date de l'abandon du domicile ; - au profit du partenaire liĂ© au locataire par un pacte civil de solidaritĂ© ; - au profit des ascendants, du concubin notoire ou des personnes Ă charge, qui vivaient avec lui depuis au moins un an Ă la date de lâabandon du domicile ; Attendu que pour rejeter la demande en continuation du bail, l'arrĂȘt retient que Mme Y..., locataire de lâappartement litigieux, a Ă©tĂ© hospitalisĂ©e Ă lâhĂŽpital du 15 mars 2003 au 2 mai 2003, puis Ă la clinique du 2 mai 2003 au 4 aoĂ»t 2003, date de son admission Ă la maison de retraite, quâil rĂ©sulte du certificat mĂ©dical Ă©tabli le 17 janvier 2005 que, pour une raison de santĂ© impĂ©rative qui nĂ©cessitait des soins et une prise en charge adaptĂ©s dans une maison mĂ©dicalisĂ©e pour personnes ĂągĂ©es, le maintien de Mme Y... Ă son domicile Ă©tait impossible, quâil est ainsi Ă©tabli que lâhospitalisation de Mme Y... a Ă©tĂ© motivĂ©e par la nĂ©cessitĂ© de lui prodiguer des soins qui, en raison de son Ăąge et de son Ă©tat de santĂ©, ne pouvaient lâĂȘtre Ă son domicile, et non par la nĂ©cessitĂ© de lui faire subir une intervention chirurgicale urgente, que le placement de Mme Y... en maison de retraite est intervenu Ă lâissue dâun sĂ©jour hospitalier de plus de quatre mois, que ce placement, qui suppose une procĂ©dure prĂ©alable dâadmission, ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un Ă©vĂ©nement brutal et imprĂ©visible ; Qu'en statuant ainsi, alors que le placement dĂ©finitif dâun locataire en maison de retraite imposĂ© Ă une des personnes mentionnĂ©es Ă lâarticle 14 de la loi du 6 juillet 1989 constitue un abandon du domicile au sens de cet article, la cour dâappel a violĂ© le texte susvisĂ© ; PAR CES MOTIFS, et sans quâil y ait lieu de statuer sur le second moyen CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrĂȘt rendu le 2 novembre 2006, entre les parties, par la cour d'appel de Douai ; remet, en consĂ©quence, la cause et les parties dans l'Ă©tat oĂč elles se trouvaient avant ledit arrĂȘt et, pour ĂȘtre fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Douai, autrement composĂ©e ; Condamne la sociĂ©tĂ© Roubaix habitat aux dĂ©pens ; Vu l'article 700 du code de procĂ©dure civile et lâarticle 37, alinĂ©a 2, de la loi du 10 juillet 1991, condamne la sociĂ©tĂ© Roubaix habitat Ă payer Ă la SCP Le Griel la somme de 2 000 euros ;" Pour toute consultation veuillez cliquer sur l'onglet " POSEZ VOTRE QUESTION "
Quandet comment augmenter le loyer en cours de bail ? Dans les modÚles de contrat de location classiques, soumis à la loi du 6 juillet 1989, le propriétaire peut augmenter le loyer à chaque anniversaire de la date de signature du bail. Mais l'augmentation est plafonnée à la variation de l'IRL (indice de référence des loyers).L'Insee publie un indice IRL chaque trimestre.
La rĂ©vision annuelle du loyer est prĂ©vue par lâarticle 17-1 de la loi du 6 juillet 1989. La loi Alur du a profondĂ©ment remaniĂ© cet article. La rĂ©vision annuelle du loyer est prĂ©vue par lâarticle 17-1 de la loi du 6 juillet 1989. La loi Alur du 1/ Le bailleur doit manifester clairement sa volontĂ© de rĂ©viser le loyer Lâarticle 17-1 de la loi du dans sa rĂ©daction issue de la loi Alur prĂ©voit que la rĂ©fĂ©rence Ă la rĂ©vision du loyer doit ĂȘtre expressĂ©ment prĂ©vue dans le contrat de bail. Dâailleurs, la jurisprudence antĂ©rieure qui reste valable a toujours exigĂ©e une clause Ă©crite et prĂ©cise sur le principe mĂȘme de la rĂ©vision et sur les modalitĂ©s de rĂ©vision date de rĂ©vision et date ou trimestre de rĂ©fĂ©rence de lâIRL. Rappelons que lâIRL Indice de rĂ©fĂ©rence des loyers sert de base pour rĂ©viser les loyers des logements vides et meublĂ©s depuis 2008 et fixe Ă©galement les plafonds des augmentations annuelles des loyers. La valeur de lâIRL pour chaque trimestre est publiĂ©e par lâInsee. Depuis la rĂ©forme de la Loi Alur, la rĂ©vision du loyer nâest plus automatique et le bailleur doit donc adresser sa demande de rĂ©vision par tous moyens, puisquâaucun cadre formel nâest fixĂ© par la loi. On privilĂ©giera nĂ©anmoins un mode de communication permettant de prouver que la demande de rĂ©vision a Ă©tĂ© faite donc du plus sĂ»r au moins sur une LRAR , une lettre remise en mains propres contre dĂ©charge, un mail avec accusĂ© rĂ©ception⊠Il faut que le bailleur puisse attester de la bonne rĂ©ception par le locataire de sa demande de rĂ©vision du loyer. En tout Ă©tat de cause, le bailleur devra se manifester pour solliciter la rĂ©vision du loyer un mois avant la date dâĂ©chĂ©ance de la rĂ©vision. En pratique le calcul de la rĂ©vision par lâindice sâeffectue de la façon suivante afin dâobtenir le nouveau loyer rĂ©visĂ© Loyer en cours X Nouvel indice IRL du trimestre de rĂ©fĂ©rence / IRL du mĂȘme trimestre de lâannĂ©e prĂ©cĂ©dente. Dans lâhypothĂšse oĂč le locataire refuserait dâappliquer la rĂ©vision, le bailleur devra avoir recours Ă une mise en demeure par LR AR. Il est fortement conseillĂ© dâavoir recours Ă un professionnel pour la rĂ©daction de ce courrier et ce dâautant plus si la demande de rĂ©vision a dĂ©jĂ Ă©tĂ© effectuĂ©e par LR AR et que le locataire a refusĂ© de rĂ©viser le loyer. La mise en demeure par avocat mettra en garde le locataire dâune Ă©ventuelle procĂ©dure pour non paiement partiel de loyer si le locataire ne revient pas Ă la raison, le bailleur aura 3 ans pour rĂ©clamer les dettes de loyer devant le Tribunal. 2/ Sur la limite temporelle fixĂ©e pour la rĂ©vision Lâart 17-1 alinĂ©as 3 et 4 de la loi de 1989 dispose quâĂ dĂ©faut dâavoir appliquĂ© la rĂ©vision du loyer dans le dĂ©lai dâun an suivant sa date de prise dâeffet, le bailleur est rĂ©putĂ© avoir renoncĂ© au bĂ©nĂ©fice de la clause de rĂ©vision pour lâannĂ©e Ă©coulĂ©e. Quant Ă lâarticle 7-1 alinĂ©a 2 de la mĂȘme loi, il vient prĂ©ciser que lâaction en rĂ©vision du loyer est prescrite un an aprĂšs la date convenue par les parties dans le contrat de bail pour rĂ©viser ledit loyer. Ainsi le dĂ©lai de prescription est passĂ© avec la loi Alur de 5 ans Ă 1 an dĂ©sormais, car la prescription quinquennale mettait parfois des locataires dans des situations difficiles face Ă des rĂ©visions de loyer remontant Ă 5 ans en arriĂšre. MaĂźtre Ilanit SAGAND NAHUM, Avocat au Barreau de Paris Posez gratuitement toutes vos questions sur notre forum juridique. Nos bĂ©nĂ©voles vous rĂ©pondent directement en ligne.
Courde Cassation civile â 3 Ăšme, 1 er octobre 2008 n°07.13.008 . Dans cet arrĂȘt, la Cour de cassation a eu l'occasion de rappeler que les dispositions de l'article 14 de la loi du 6 juillet 1989 relatif au transfert du bail d'un logement d'un organisme d'habitations Ă loyer modĂ©rĂ© Ă©tait d'ordre public et qu'il ne pouvait y ĂȘtre dĂ©rogĂ© mĂȘme dans le cadre de dispositions
DurĂ©e du sĂ©jour Le locataire signataire du prĂ©sent contrat conclu pour une durĂ©e dĂ©terminĂ©e ne pourra en aucune circonstance se prĂ©valoir d'un quelconque droit au maintien dans les lieux Ă l'issue du du contrat Le prĂ©sent contrat entre en vigueur Ă compter de lâinscription du responsable de traitement au service en ligne proposĂ© par le sous-traitant, suite Ă son accordsur les conditions dâutilisation, la politique de confidentialitĂ© protection de donnĂ©es et le prĂ©sent contrat de durĂ©e du contrat est dĂ©terminĂ©e par la date de fin des abonnements souscrits mensuels, annuels, essai gratuit ; date Ă la quelle la relation Responsable du traitement et sous-traitant prendra le contrat prendra fin lorsque le Responsable du traitement dĂ©cide de fermer son compte. Le Responsable de traitement peut arrĂȘter lâutilisation du service en clĂŽturant son compte. 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Si un contrat couvrant votre responsabilitĂ© civile, a Ă©tĂ© antĂ©rieurement ou parallĂšlement souscrit au prĂ©sent contrat, la garantie intervient aprĂšs Ă©puisement de la garantie de ce contrat souscrit prĂ©cĂ©demment ou parallĂšlement. Sont seuls garantis, les dommages rĂ©sultant dâun acte de vie privĂ©e commis par vous Ă lâoccasion de votre sĂ©jour dans le Pays dâ Ă©galement garantis - la pratique Ă titre dâamateur des sports usuels, y compris toute activitĂ©s de stage, dâinitiative et de dĂ©couverte, dans la mesure oĂč lâassurance des clubs au travers desquels sont pratiquĂ©es ces activitĂ©s sportives, se rĂ©vĂšlerait Les compĂ©titions courses et matches, quand ils nâont quâun caractĂšre amical. IMPORTANT dans le cas dâun dommage supĂ©rieur Ă 350 âŹ/385 $ causĂ© au domicile de votre famille dâaccueil, nous intervenons en complĂ©ment de lâassurance habitation de votre des donnĂ©es personnelles Les informations communiquĂ©es dans le cadre de la participation Ă la prĂ©sente OpĂ©ration sont uniquement destinĂ©es Ă ĂȘtre utilisĂ©es par la SociĂ©tĂ© Organisatrice ou toute sociĂ©tĂ© appartenant au Groupe GEOXIA MAISONS INDIVIDUELLES, et seront conservĂ©es dans le but de vĂ©rifier les conditions dâapplication du prĂ©sent rĂšglementEn application de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978, il est rappelĂ© que les donnĂ©es nominatives qui sont demandĂ©es aux Participants sont obligatoires Ă la prise en compte de leur inscription au parrainage. La participation ne pourra ĂȘtre prise en compte si elles ne sont pas communiquĂ©es ou communiquĂ©es de façon incomplĂšte. Le responsable du traitement et le destinataire de ces donnĂ©es est la SociĂ©tĂ© Organisatrice. Ce traitement a pour finalitĂ© la prospection commerciale et in fine la gestion client. Nous ne traiterons ou n'utiliserons vos donnĂ©es que dans la mesure oĂč cela est nĂ©cessaire Ă la prise en compte du bon de parrainage et du traitement de ce informations personnelles seront conservĂ©es aussi longtemps que nĂ©cessaire au traitement du bon de parrainage et au paiement de ce dernier le cas Ă©chĂ©ant, sauf si âą Vous exercez votre droit de suppression des donnĂ©es vous concernant, dans les conditions dĂ©crites ci-aprĂšs ;âą Une durĂ©e de conservation plus longue est autorisĂ©e ou imposĂ©e en vertu dâune disposition lĂ©gale ou cette pĂ©riode, nous mettons en place tous moyens aptes Ă assurer la confidentialitĂ© et la sĂ©curitĂ© de vos donnĂ©es personnelles, de maniĂšre Ă empĂȘcher leur endommagement, effacement ou accĂšs par des tiers non autorisĂ©s. L'accĂšs Ă vos donnĂ©es personnelles est strictement limitĂ© Ă la SociĂ©tĂ© Organisatrice et, le cas Ă©chĂ©ant, Ă nos sous- traitants. Nos sous-traitants sont soumis Ă une obligation de confidentialitĂ© et ne peuvent utiliser vos donnĂ©es quâen conformitĂ© avec nos dispositions contractuelles et avec la lĂ©gislation applicable. En dehors des cas Ă©noncĂ©s ci-dessus, nous nous engageons Ă ne pas vendre, louer, cĂ©der vos donnĂ©es, ni y donner accĂšs Ă des tiers sans votre consentement prĂ©alable, Ă moins dây ĂȘtre contraints en raison dâun motif lĂ©gitime obligation lĂ©gale, lutte contre la fraude ou lâabus, exercice des droits de la dĂ©fense, etc..ConformĂ©ment au rĂšglement europĂ©en 2016/679 sur la protection des donnĂ©es Ă caractĂšre personnel, vous disposez dâun droit dâaccĂšs, de rectification, dâopposition, dâeffacement, de portabilitĂ© ou de limitation aux traitements de donnĂ©es vous concernant. Vous pouvez Ă©galement nous faire part de votre volontĂ© concernant vos donnĂ©es post- mortem. Pour exercer ces droits, Ă©crivez-nous Ă GEOXIA MAISONS INDIVIDUELLES - 3 rue Joseph Monier, 92506 RUEIL MALMAISON toute information complĂ©mentaire ou rĂ©clamation, vous pouvez contacter la Commission Nationale de lâInformatique et des LibertĂ©s plus dâinformations sur des lieux Le preneur prendra les biens louĂ©s dans lâĂ©tat oĂč ils se trouveront Ă la date de son entrĂ©e en Ă©tat des lieux est Ă©tabli contradictoirement et Ă frais communs dans le mois prĂ©cĂ©dent lâentrĂ©e en jouissance ou dans le mois suivant constatera avec prĂ©cision lâĂ©tat des terres ainsi que le degrĂ© dâentretien de ces derniĂšres et signalera les dĂ©fauts de culture qui pourraient exister et tout autre Ă©lĂ©ment que les parties jugeront utile de le dĂ©lai fixĂ© ci-dessus, lâune des parties pourra Ă©tablir unilatĂ©ralement un Ă©tat des lieux quâelle notifiera Ă lâautre par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception. Cette derniĂšre disposera, Ă compter de ce jour, de deux mois pour faire ses observations sur le projet ou pour lâaccepter. A lâexpiration de ce dĂ©lai de deux mois, son silence vaudra accord. LâĂ©tat des lieux sera alors dĂ©finitif et rĂ©putĂ© Ă©tabli fin de bail, un Ă©tat des lieux sera effectuĂ© dans les mĂȘmes conditions que celui Ă©tabli pour lâ de paiement Le rĂšglement des services et produits de l'Entreprise MOREAU OENOLOGIE sâeffectue selon les modalitĂ©s suivantes sauf dispositions contraires prĂ©cisĂ©es sur le devis En ce qui concerne les prestations de services RĂšglement par chĂšque Ă rĂ©ception de ce qui concerne les livraisons de biens RĂšglement par chĂšque Ă rĂ©ception de facture. ModalitĂ©s de paiement Le paiement des prestations ou des livraisons de biens rĂ©alisĂ©es par lâentreprise MOREAU OENOLOGIE s'effectue par chĂšque ou par virement Ă l'ordre de MOREAU OENOLOGIE ». Escompte pour rĂšglement anticipĂ© 0%. En cas de retard de paiement, une pĂ©nalitĂ© Ă©gale Ă 3 fois le taux d'intĂ©rĂȘt lĂ©gal sera exigible DĂ©cret 2009-138 du 9 fĂ©vrier 2009 et une indemnitĂ© forfaitaire pour frais de recouvrement de 40 euros loi du 22 mars 2012. A dĂ©faut de paiement d'une seule facture Ă l'Ă©chĂ©ance, les autres factures Ă©chues ou non Ă©chues deviendront immĂ©diatement exigibles sans mise en demeure ou autre DU CONTRAT AprĂšs avoir visitĂ© les installations du Club et avoir pris connaissance des prestations proposĂ©es, lâabonnĂ©e dĂ©clare souscrire un contrat dâabonnement FITNESS PARK ci-aprĂšs le Contrat » nominatif et incessible lâautorisant Ă utiliser les installations en libre-service avec accĂšs illimitĂ© dans la limite des horaires dâouverture, dans le cadre du forfait de base ci-aprĂšs Forfait de base » comprenant cardio-training, musculation libre, musculation guidĂ©e et cours vidĂ©o et selon un prix et des modalitĂ©s financiĂšres indiquĂ©s au recto. En dehors du forfait de base, les Clubs du rĂ©seau FITNESS PARK, peuvent proposer Ă lâabonnĂ©e de souscrire Ă des activitĂ©s annexes ou complĂ©mentaires optionnelles. Les diffĂ©rentes formules et conditions tarifaires de ces activitĂ©s optionnelles seront soumises Ă lâaccord prĂ©alable de lâabonnĂ©e et dĂ©taillĂ©es au recto des prĂ©sentes. Il est toutefois prĂ©cisĂ© que ces activitĂ©s optionnelles ne peuvent ĂȘtre servies que dans le Club cocontractant. LâabonnĂ©e est informĂ©e de ce que chaque Club du rĂ©seau FITNESS PARK est soit un commerçant indĂ©pendant soit un club succursaliste libre de proposer des conditions particuliĂšres. Ces Ă©ventuelles conditions particuliĂšres sont remises Ă lâabonnĂ©e avant la souscription du Contrat dâabonnement par le Club. Pour les Clubs proposant la carte famille, celle-ci est liĂ©e Ă un abonnement principal, les titulaires doivent ĂȘtre domiciliĂ©s Ă la mĂȘme adresse justificatif de domicile faisant foi ou avoir un lien conjugal ou de filiation prĂ©sentation du livret de famille. En cas de rĂ©siliation de lâabonnement principal, le ou un des contrats secondaires devient alors le contrat principal et lâ ou un des abonnements secondaires passera de Ă DU CONTRAT ConformĂ©ment aux articles L211-11 et R211-7 du code du tourisme, le client peut, tant que le contrat nâa produit aucun effet, au plus tard 7 jours avant le dĂ©but de la prestation et par tout moyen permettant dâen obtenir un accusĂ© de rĂ©ception, informer lâOT de la cession du contrat Ă une autre personne qui satisfait Ă toutes les conditions applicables Ă ce contrat et qui remplit les mĂȘmes conditions que le client initial pour effectuer la cas de cession, le client et le cessionnaire seront solidairement responsables du paiement du solde du prix ainsi que des frais, redevances ou autres coĂ»ts supplĂ©mentaires Ă©ventuels occasionnĂ©s par cette cession. LâOT informera des coĂ»ts rĂ©els de la cession, lesquels ne devront pas ĂȘtre dĂ©raisonnables ni excĂ©der le coĂ»t effectivement supportĂ© par lâOT du fait de la cession du du contrat Il pourra ĂȘtre mis fin au contrat en cas dâinexĂ©cution, par le participant, de ses obligations dĂ©coulant du prĂ©sent contrat, et indĂ©pendamment des consĂ©quences prĂ©vues par la loi qui lui est applicable ; le prĂ©sent contrat peut alors ĂȘtre rĂ©siliĂ© ou dissout de plein droit par lâĂ©tablissement, sans quâil soit besoin de procĂ©der Ă aucune autre formalitĂ© judiciaire, aprĂšs une mise en demeure notifiĂ©e aux parties par lettre recommandĂ©e non suivie dâexĂ©cution dans un dĂ©lai dâun le participant met fin au contrat avant la fin de sa pĂ©riode contractuelle, ou sâil/elle manque Ă ses obligations, il/elle devra rembourser le montant de la bourse dĂ©jĂ reçu, sauf dĂ©cision contraire de lâĂ©tablissement dâ la rĂ©siliation est due Ă un cas de force majeure, par exemple, une situation exceptionnelle imprĂ©visible ou un Ă©vĂ©nement incontrĂŽlable par le participant et qui ne peut pas ĂȘtre attribuĂ© Ă une erreur ou une nĂ©gligence de sa part, le participant pourra recevoir le montant de la bourse correspondant Ă la durĂ©e effective de la pĂ©riode de mobilitĂ©, tel que dĂ©fini Ă lâarticle Tout autre financement devra ĂȘtre remboursĂ©, sauf dĂ©cision contraire de lâĂ©tablissement dâ de responsabilitĂ© Les obligations souscrites par le Prestataire envers le Client dans le cadre de la fourniture des Prestations sont exĂ©cutĂ©es conformĂ©ment aux dispositions du Contrat et au vu des informations communiquĂ©es par le Prestataire nâaccepte aucun engagement exprĂšs ou tacite relatif Ă la qualitĂ© ou Ă la nature des Prestations autres que ceux auxquels il sâengage au titre du cas de faute imputable au Prestataire ou son personnel lors de lâexĂ©cution des Prestations, le Client qui rapporterait la preuve d'un prĂ©judice direct effectivement subi en lien de causalitĂ© avec la faute prouvĂ©e, sera en droit d'obtenir du Prestataire la rĂ©paration dudit prĂ©judice, la responsabilitĂ© totale cumulĂ©e du Prestataire ne pouvant, en tout Ă©tat de cause, excĂ©der 45% du prix de la ou des Prestations dont lâexĂ©cution fautive a Ă©tĂ© prouvĂ©e.
oodqeh. kirl0ys8em.pages.dev/196kirl0ys8em.pages.dev/259kirl0ys8em.pages.dev/367kirl0ys8em.pages.dev/210kirl0ys8em.pages.dev/205kirl0ys8em.pages.dev/123kirl0ys8em.pages.dev/230kirl0ys8em.pages.dev/32kirl0ys8em.pages.dev/151
article 14 1 de la loi du 6 juillet 1989