CEST LE TEMPS DE L’ENCOURAGEMENT Carter Conlon; LA SIMPLICITÉ DE NOËL 2/2 ( Laurent GUILLET ) DIEU EST BON EN TOUT TEMPS ! Bob Gass; JÉSUS EST EMMANUEL, LE DIEU TOUT-PUISSANT AVEC NOUS ( Joseph Prince ) Se pardonner Ă  soi-mĂȘme ( Bob Gass ) Un Sauveur libĂ©rateur ( Plaire au Seigneur ) L’oreille du Christ (2) ( La Bonne Semence )
Question RĂ©ponse Le hasard dĂ©signe ce qui semble ne pas avoir de cause. Le terme de chance est souvent employĂ© pour un Ă©vĂ©nement heureux, souhaitable, des circonstances favorables qui semblent survenir par hasard. La question essentielle est le hasard existe-t-il vraiment ? Si oui, on peut parler de chance et de malchance, mais dans le cas contraire, ces termes sont inappropriĂ©s. EcclĂ©siaste dit J'ai encore vu, sous le soleil, que la course n'est pas rĂ©servĂ©e aux plus rapides, ni la guerre aux hommes vaillants, ni mĂȘme le pain aux sages, la richesse aux intelligents ou la faveur Ă  ceux qui ont de la connaissance. En effet, ils dĂ©pendent tous des circonstances, favorables ou non. L'homme ne connaĂźt pas non plus son heure. Il est pareil aux poissons capturĂ©s dans le filet fatal, aux oiseaux pris au piĂšge comme eux, les humains sont surpris lorsque le malheur arrive, lorsqu'il tombe sur eux tout Ă  coup. » L'EcclĂ©siaste parle beaucoup du point de vue de ceux qui voient la vie sur terre sans Dieu, la vie sous le soleil ». Si l’on exclut Dieu, la chance et la malchance semblent effectivement exister. C'est gĂ©nĂ©ralement le coureur le plus rapide qui gagne la course, mais parfois, il trĂ©buche et perd. Quelle malchance ! Un roi peut aussi avoir la meilleure armĂ©e, mais ĂȘtre abattu par une flĂšche tirĂ©e Ă  l'aveuglette par un soldat ennemi, qui le frappe Ă  l'endroit le plus vulnĂ©rable de son armure 2 Chroniques Le roi Achab a-t-il seulement manquĂ© de chance ? Était-ce le hasard ? L'ensemble du chapitre montre que Dieu Ă©tait Ă  l'Ɠuvre dĂšs le commencement. Le soldat qui a tirĂ© la flĂšche n'Ă©tait pas du tout conscient de sa trajectoire, mais Dieu, dans sa souverainetĂ©, savait qu'elle tuerait le mĂ©chant roi Achab. Il en va de mĂȘme dans le livre de Ruth l'hĂ©roĂŻne, une veuve qui s'occupait de sa belle-mĂšre, Ă©galement veuve, cherchait un champ pour y glaner du grain afin de pourvoir Ă  leurs besoins. Ruth alla ramasser des Ă©pis dans un champ, derriĂšre les moissonneurs. Il se trouva que la parcelle de terre appartenait Ă  Boaz, du clan d'ÉlimĂ©lec. » Ruth ÉlimĂ©lec Ă©tait le mari de sa belle-mĂšre Naomi et Boaz, qui Ă©tait donc son parent, s'est montrĂ© gĂ©nĂ©reux avec elle. Lorsqu’elle s’en revient avec beaucoup plus de grain que prĂ©vu, sa belle-mĂšre lui dit OĂč as-tu ramassĂ© des Ă©pis aujourd'hui ? OĂč as-tu travaillĂ© ? BĂ©ni soit celui qui s'est intĂ©ressĂ© Ă  toi !» Ruth raconta Ă  sa belle-mĂšre chez qui elle avait travaillĂ© L'homme chez qui j'ai travaillĂ© aujourd'hui s'appelle Boaz », dit-elle. Naomi dit Ă  sa belle-fille Qu'il soit bĂ©ni de l'Éternel, qui garde sa bontĂ© pour les vivants comme pour les morts ! Cet homme nous est proche – lui dit encore Naomi – il est un de ceux qui ont droit de rachat sur nous. » Ruth Naomi savait que cela n'Ă©tait pas arrivĂ© par hasard, mais par la Providence de Dieu, comme d'autres le comprendront Ă©galement pat la suite Ruth Proverbes dĂ©crit un principe gĂ©nĂ©ral On jette les sorts dans le pan de l’habit, mais c'est de l'Éternel que vient toute dĂ©cision. » Les sorts qui ressemblaient Ă  des dĂ©s ou des piĂšces Ă©taient parfois employĂ©s pour rĂ©gler des litiges judiciaires. Le cas d'Achan en JosuĂ© 7 est un exemple de recours au sort afin de dĂ©terminer qui Ă©tait coupable. Proverbes Ă©nonce un principe similaire Le tirage au sort met fin aux conflits et tranche entre les puissants. » LĂ  encore, l'idĂ©e est que la providence divine dĂ©termine le rĂ©sultat du sort, si bien que les conflits peuvent ĂȘtre ainsi rĂ©solus, quelle qu'en soit la gravitĂ©. Proverbes semble indiquer que mĂȘme quelque chose d'aussi alĂ©atoire qu'un lancer de dĂ© ou de piĂšce n'Ă©chappe pas Ă  la souverainetĂ© de Dieu et n'est donc pas le fruit du hasard. La souverainetĂ© divine implique deux aspects. Il y a d'abord sa volontĂ© active, les Ă©vĂ©nements dont il est la cause directe, comme la mort au combat du roi inique Achab 2 Chroniques Achab n'a pas Ă©tĂ© abattu par une flĂšche tirĂ©e Ă  l'aveuglette, mais 2 Chroniques 18 dit que Dieu est intervenu pour diriger le cours des Ă©vĂ©nements ayant menĂ© Ă  la bataille et s'est servi de cette flĂšche tirĂ©e au hasard pour accomplir ses desseins et faire mourir Achab ce jour-lĂ . Il y a ensuite la volontĂ© passive de Dieu ce qu'il permet sans en ĂȘtre directement la cause. Le chapitre 1 du livre de Job montre comment Dieu a permis Ă  Satan d'intervenir dans la vie de Job. Il a aussi permis aux frĂšres de Joseph de lui faire du mal afin d'accomplir un plus grand bien, dont Joseph lui-mĂȘme n'a pris conscience que des annĂ©es plus tard GenĂšse Nous ne voyons pas ce qui se passe au ciel et ne pouvons donc pas toujours dĂ©terminer si c'est la volontĂ© active ou passive de Dieu qui est Ă  l'Ɠuvre dans notre vie, mais nous savons que tout arrive selon sa volontĂ©, active ou passive, et que rien n'arrive par hasard. Quand nous jetons les dĂ©s pour un jeu de sociĂ©tĂ©, Dieu peut Ă©videmment dĂ©terminer le rĂ©sultat, mais le plus souvent, pour ces choses sans grande importance, il laissera la nature suivre son cours sans intervenir. MĂȘme s'il n'intervient pas activement, le rĂ©sultat dĂ©pend nĂ©anmoins de sa souverainetĂ©. Il en est ainsi de tous les Ă©vĂ©nements de la vie, qu'ils soient importants Matthieu ou non Daniel Proverbes Dieu est souverain sur toutes les circonstances ÉphĂ©siens Psaume ÉsaĂŻe et rien n'arrive donc par hasard. D'un point de vue terrestre, les choses semblent arriver par hasard, mais toute la Bible atteste clairement que Dieu reste aux commandes de toute sa crĂ©ation et qu'il se sert des lois de la nature, du libre-arbitre des hommes bons et mauvais et des mauvaises intentions des dĂ©mons pour accomplir sa volontĂ© bonne et parfaite GenĂšse Job 1 et 42, Jean Les chrĂ©tiens, surtout, ont reçu la promesse que Dieu fait concourir toutes choses, d'apparence bonne ou mauvaise, au bien de ceux qui l'aiment et qui sont appelĂ©s selon son dessein Romains English Retour Ă  la page d'accueil en français Que dit la Bible du hasard ?
Lehasard n’existe pas, mais la synchronicitĂ©, oui ! Marc 24 dĂ©cembre 2015 ActualitĂ© gĂ©nĂ©rale, Les dĂ©couvertes scientifiques & plus, Reflexion. «Il n’y a pas de hasard, et ce qui nous apparaĂźt comme tel provient de sources plus profondes» ( Friedrich Schiller ). Il nous est Ă  tous dĂ©jĂ  arrivĂ© une coĂŻncidence si improbable qu

Pourquoi Einstein affirmait que dieu ne joue pas aux dĂ©s » ? Tout d’abord, il faut rappeler qu’Einstein ne croyait pas en dieu et que son souci, dans cette affirmation, ne concernait nullement les croyances religieuses, contrairement Ă  l’apparence, mais les thĂ©ories physiques qui commençaient Ă  dominer, en particulier dans la physique quantique naissante et dans celle dĂ©veloppĂ©e par l’école de Copenhague », Ă  la suite de Bohr, Heisenberg et autres physiciens de leur bord. Cette cĂ©lĂšbre phrase d’Albert Einstein a Ă©tĂ© lancĂ©e au congrĂšs Solvay de 1927 Gott wĂŒrfelt nicht » et Einstein exprimait ainsi son opposition Ă  l’interprĂ©tation probabiliste de la mĂ©canique quantique par l’École de Copenhague autour de Niels Bohr. voir ici cette controverse Einstein rĂ©sumait sa critique ainsi en 1949 Les physiciens contemporains sont convaincus qu’il est impossible de rendre compte des traits essentiels des phĂ©nomĂšnes quantiques changements apparemment discontinus et non dĂ©terminĂ©s dans le temps de l’état d’un systĂšme, propriĂ©tĂ©s Ă  la fois corpusculaires et ondulatoires des entitĂ©s Ă©nergĂ©tiques Ă©lĂ©mentaires Ă  l’aide d’une thĂ©orie qui dĂ©crit l’état rĂ©el des choses au moyen de fonctions continues soumises Ă  des Ă©quations diffĂ©rentielles. [...] Surtout, ils croient que le caractĂšre discontinu apparent des processus Ă©lĂ©mentaires ne peut ĂȘtre reprĂ©sentĂ© qu’au moyen d’une thĂ©orie d’essence statistique, oĂč les modifications discontinues des systĂšmes seraient prises en compte par des modifications continues des probabilitĂ©s relatives aux divers Ă©tats possibles. » Einstein employait volontiers le terme de "dieu" pour parler des lois de la nature. L’expression Subtle is the Lord » d’Einstein, plutĂŽt qu’un signe d’admiration de dieu, voulait dire que le fonctionnement de la nature est subtil, difficile Ă  dĂ©crypter, mais n’est pas dĂ©pourvue de sens
 Il ne veut nullement dire que la nature obĂ©it Ă  une divinitĂ©. Einstein dĂ©clare en effet Ce que vous avez lu sur mes convictions religieuses Ă©tait un mensonge, bien sĂ»r, un mensonge qui est rĂ©pĂ©tĂ© systĂ©matiquement. Je ne crois pas en un Dieu personnel et je n’ai jamais dit le contraire de cela, je l’ai plutĂŽt exprimĂ© clairement. S’il y a quelque chose en moi que l’on puisse appeler "religieux" ce serait alors mon admiration sans bornes pour les structures de l’univers pour autant que notre science puisse le rĂ©vĂ©ler. » dans Le cĂŽtĂ© humain, Dukas et Banesh Hoffman, lettre du 24 mars 1954. Ou encore Le mot Dieu n’évoque, pour moi, rien d’autre que l’expression et le rĂ©sultat de la faiblesse humaine, et la Bible, une collection de lĂ©gendes honorables, mais primitives et assez naĂŻves. » Einstein dans une lettre au philosophe Eric Gtkind, 1954 Il Ă©crit Je ne peux pas imaginer un Dieu qui rĂ©compense et punit l’objet de sa crĂ©ation. Je ne peux pas me figurer un Dieu qui rĂ©glerait sa volontĂ© sur l’expĂ©rience de la mienne. Je ne veux pas et je ne peux pas concevoir un ĂȘtre qui survivrait Ă  la mort de son corps. Si de pareilles idĂ©es se dĂ©veloppent en un esprit, je le juge faible, craintif et stupidement Ă©goĂŻste. » Pour Einstein dieu ne joue pas aux dĂ©s » signifie seulement la nature n’obĂ©it pas au pur hasard ». La profession de foi d’Einstein, citĂ©e plus haut, est d’abord un acte de confiance dans le dĂ©terminisme du fonctionnement naturel et dans la capacitĂ© de la science dĂ©veloppĂ©e par l’homme d’accĂ©der aux bases mĂȘmes de la rationalitĂ© qui dirige le mĂ©canisme de la nature. Dans l’histoire de la dĂ©marche scientifique, tout l’effort des chercheurs avait consistĂ© Ă  tenter de dĂ©celer, derriĂšre l’apparent dĂ©sordre ou l’apparent hasard, des manifestations de lois. Eh bien, les premiers dĂ©veloppements de la physique quantique avaient semblĂ© dĂ©velopper un effort complĂštement inverse, introduisant le dĂ©sordre dans l’ordre, l’indĂ©terminisme dans le dĂ©terminisme et le hasard partout
 DĂ©terminisme et physique quantique se sont d’abord opposĂ©s Ainsi, Max Born Il est clair que le dualisme onde-corpuscule et l’incertitude essentielle qu’il implique nous obligent Ă  abandonner tout espoir de conserver une thĂ©orie dĂ©terministe. La loi de causalité  n’est plus valable, du moins au sens de la physique classique. Quant Ă  la question de savoir s’il existe encore une loi de causalitĂ© dans la nouvelle thĂ©orie, deux points de vue sont possibles. Soit, on persiste Ă  envisager les phĂ©nomĂšnes Ă  l’aide des images d’onde et corpuscule, alors la loi de causalitĂ© n’est plus valable
 La loi de causalitĂ© est donc sans contenu physique ; la nature des choses impose que la physique soit indĂ©terministe. » Ou encore John von Neumann En physique macroscopique, aucun expĂ©rience ne peut prouver la causalitĂ©, car l’ordre causal apparent n’y a pas d’autre origine que la loi des grands nombres, et cela tout Ă  fait indĂ©pendamment du fait que les processus Ă©lĂ©mentaires, qui sont les vĂ©ritables processus physiques, suivent ou non des lois causales
 C’est seulement Ă  l’échelle atomique, dans les processus Ă©lĂ©mentaires eux-mĂȘmes, que la question de la causalitĂ© peut rĂ©ellement ĂȘtre mise Ă  l’épreuve mais, Ă  cette Ă©chelle, dans l’état actuel de nos connaissances, tout parle contre elle, car la seule thĂ©orie formelle s’accordant Ă  peu prĂšs avec l’expĂ©rience et la rĂ©sumant est la mĂ©canique quantique qui est en conflit avec la causalité  Il ne subsiste aujourd’hui aucune raison permettant d’affirmer l’existence de la causalitĂ© dans la nature. » Il n’y a pas pour le moment d’occasion de parler de causalitĂ© dans la nature, parce qu’il n’y a pas d’expĂ©rience qui indique sa prĂ©sence. »affirme aussi Niels Bohr dans ThĂ©orie atomique et description de la nature ». Voici ce que raconte Heisenberg en Ă©voquant le congrĂšs Solvay de 1927 
 Ce qu’Einstein ne voulait pas admettre, c’est qu’il fĂ»t fondamentalement impossible de connaĂźtre tous les paramĂštres nĂ©cessaires Ă  une dĂ©termination complĂšte des processus. Dieu ne joue pas aux dĂ©s , dit-il souvent dans ces discussions. Einstein ne pouvait donc pas se rĂ©signer Ă  accepter les relations d’incertitude, et il s’efforçait d’imaginer des expĂ©riences oĂč ces relations ne pussent pas ĂȘtre appliquĂ©es. Nos controverses commençaient en gĂ©nĂ©ral dĂ©jĂ  tĂŽt le matin, Einstein nous exposant au petit-dĂ©jeuner une nouvelle expĂ©rience idĂ©ale susceptible, Ă  son avis, de contredire les relations d’incertitude. Bien entendu, nous commencions immĂ©diatement Ă  analyser cette expĂ©rience ; et sur le chemin vers la salle de confĂ©rence, oĂč j’accompagnais en gĂ©nĂ©ral Bohr et Einstein, une premiĂšre clarification de la question posĂ©e et de l’affirmation formulĂ©e Ă©tait rĂ©alisĂ©e. Au cours de la journĂ©e, de nombreuses discussions Ă©taient menĂ©es sur ce problĂšme, et en gĂ©nĂ©ral nous arrivions le soir Ă  un point oĂč Bohr pouvait prouver Ă  Einstein, au cours du dĂźner, que l’expĂ©rience envisagĂ©e ne pourrait pas aboutir Ă  une rĂ©futation des relations d’incertitude. Einstein Ă©tait alors quelque peu inquiet, mais dĂ©jĂ  le matin suivant, au petit-dĂ©jeuner, il avait une autre expĂ©rience idĂ©ale toute prĂȘte Ă  nous proposer, plus compliquĂ©e que la prĂ©cĂ©dente, et Ă  son avis susceptible de dĂ©mentir dĂ©finitivement les relations d’incertitude. Cette tentative devait Ă©chouer le soir-mĂȘme, tout comme la prĂ©cĂ©dente, et aprĂšs que ce jeu eut continuĂ© pendant quelques jours, Einstein s’entendit dire par son ami Paul Ehrenfest, un physicien de Leyde Pays-Bas Einstein, j’ai honte pour toi ; car tu argumentes maintenant contre la nouvelle thĂ©orie quantique exactement de la mĂȘme maniĂšre que tes adversaires contre la thĂ©orie de la relativitĂ©. ’ Mais mĂȘme cet avertissement amical ne devait pas modifier l’attitude d’Einstein. À nouveau, je rĂ©alisai Ă  quel point il est difficile pour un physicien d’abandonner les idĂ©es qui ont jusque-lĂ  constituĂ© la base de sa pensĂ©e et de son travail scientifique. Pour Einstein, l’Ɠuvre de sa vie avait consistĂ© Ă  analyser ce monde objectif des phĂ©nomĂšnes physique qui se dĂ©roulent dans le temps et l’espace, indĂ©pendamment de nous, selon des lois fixes. Pour lui, les symboles mathĂ©matiques de la physique thĂ©orique devaient reproduire ce monde objectif et, par consĂ©quent, rendre possibles des prĂ©dictions concernant son comportement futur. Et maintenant, on venait lui affirmer qu’au niveau des atomes un tel monde objectif, dans l’espace et le temps, n’existait pas ; et que les symboles mathĂ©matiques de la physique thĂ©orique ne pouvaient reproduire, Ă  ce niveau, que le possible et non le rĂ©el. Einstein n’était pas prĂȘt Ă  accepter qu’on lui enlevĂąt – c’est ce qu’il devait ressentir – le sol sous les pieds. MĂȘme plus tard, lorsque la thĂ©orie quantique Ă©tait depuis longtemps devenue une composante stable de la physique moderne, Einstein ne put modifier son point de vue. Il voulait bien admettre la thĂ©orie quantique comme une explication provisoire, mais non pas comme une interprĂ©tation dĂ©finitive, des phĂ©nomĂšnes atomiques. Dieu ne joue pas aux dĂ©s , c’était lĂ  pour Einstein un principe immuable et inĂ©branlable. Bohr ne put que rĂ©pondre Mais ce n’est pas Ă  nous de prescrire Ă  Dieu comment Il doit gouverner le monde. » On retrouve ces tendances, Ă  affirmer que dieu jouerait aux dĂ©s », aussi bien dans le caractĂšre dispersĂ© de l’onde qui caractĂ©rise aussi les particules, dans l’impossibilitĂ© de descendre en prĂ©cision en dessous des contraintes liĂ©es aux inĂ©galitĂ©s d’Heisenberg », dans le caractĂšre probabiliste de la prĂ©sence d’une particule en un point ou dans une zone, dans le caractĂšre probabiliste de la fonction d’onde, dans le fait qu’on ne peut pas suivre en continu une particule dans sa trajectoire, dans le fait qu’il ne s’agit pas de l’évolution d’un Ă©tat quantique mais de sauts d’une sĂ©rie d’états superposĂ©s Ă  une autre sĂ©rie d’états superposĂ©s qui ne permettent nullement de dĂ©cider lequel sera choisi lors de la mesure, etc... Dans tous les domaines d’étude quantique, cette premiĂšre version de la physique quantique a semblĂ© trancher en faveur de l’indĂ©terminisme et du hasard. Mais est-il rĂ©el que la thĂšse d’Einstein anti-hasard pur ait finalement Ă©chouĂ© et celle de Bohr ou Heisenberg rĂ©ussi ? Tout d’abord, aujourd’hui, la physique est capable de dĂ©montrer que l’apparent hasard n’est pas distinguable simplement du produit de lois dites du dĂ©terminisme chaotique ». Deux des plus grands physiciens, Albert Einstein et Henri PoincarĂ©, ont montrĂ© qu’un apparent dĂ©sordre dominait la physique ĂŽtant sa prĂ©dictibilitĂ© au dĂ©terminisme. DĂšs que l’instabilitĂ© est incorporĂ©e, la signification des lois de la nature prend un nouveau sens. Elles expriment dĂ©sormais des possibilitĂ©s. Elles affirment le devenir et non plus seulement l’ĂȘtre. Elles dĂ©crivent un monde de mouvements irrĂ©guliers .... Ce dĂ©sordre constitue prĂ©cisĂ©ment le trait fondamental de la reprĂ©sentation microscopique applicable aux systĂšmes auxquels la physique avait, depuis le 19Ăšme siĂšcle, appliquĂ© une description Ă©volutionniste .... » dĂ©fend le physicien-chimiste Ilya Prigogine dans La fin des certitudes ». Ensuite, la physique a dĂ©montrĂ© dans de nombreux domaines que l’ordre et le dĂ©sordre, loin de s’oppose de maniĂšre diamĂ©trale, se combinent sans cesse. On le voit dĂšs qu’on Ă©tudie la thermodynamique. On le voit Ă©galement en chimie. On le voit encore en physique quantique. Car cette derniĂšre n’est nullement le domaine du hasard pur, de l’indĂ©terminisme, comme on a voulu le faire croire longtemps
 DĂ©jĂ  les inĂ©galitĂ©s de Heisenberg ne sont nullement la manifestation d’un indĂ©terminisme fondamental Ă  la matiĂšre/lumiĂšre, mais l’affirmation que le dĂ©terminisme concerne des quanta et pas des Ă©nergies, des masses en mouvement de type mĂ©canique. Le principe d’incertitude d’Heisenberg n’invalide pas Ă  lui seul le dĂ©terminisme universel. En effet une intelligence intĂ©rieure Ă  l’univers ne sera probablement jamais en mesure de connaĂźtre exactement l’état de l’univers entier Ă  un instant donnĂ©, mais cela n’invalide en rien la thĂ©orie du dĂ©terminisme universel, puisque la possibilitĂ© de connaĂźtre l’état de l’univers n’est ni un prĂ©requis ni une consĂ©quence nĂ©cessaire du dĂ©terminisme universel. La physique quantique est un modĂšle empirique et statistique qui dĂ©crit le comportement des particules et des rayonnements sans rien dire de leur nature intrinsĂšque. Toutefois, contrairement Ă  l’hypothĂšse du dĂ©terminisme classique, le principe d’incertitude semble impliquer que l’Univers obĂ©it au libre jeu du hasard et de la nĂ©cessitĂ©. Albert Einstein affirma Ă  ce sujet Dieu ne joue pas aux dĂ©s », ce Ă  quoi Niels Bohr rĂ©pondit Einstein, cessez de dire Ă  Dieu ce qu’il doit faire ! » selon d’autres Comment savoir Ă  quoi Dieu joue ? ». Mais la physique quantique n’invaliderait que le dĂ©terminisme universel le dĂ©terminisme rĂ©gional reste un principe d’explication physique incontournable pour nombre de phĂ©nomĂšnes. Il est impossible de savoir dans quel Ă©tat va ĂȘtre une particule que l’on va capter, impossible de prĂ©dire Ă  quel moment un atome excitĂ© va Ă©mettre un photon, impossible de deviner Ă  quel moment un noyau radioactif instable va se dĂ©composer de maniĂšre radioactive, impossible de prĂ©voir si un photon va traverser le miroir ou se rĂ©flĂ©chir, etc
 Les physiciens espĂ©raient que leur science allait devenir prĂ©dictible en atteignant le niveau des particules. Au contraire, plus on s’approche des particules dites Ă©lĂ©mentaires, plus l’imprĂ©dictibilitĂ© s’accroĂźt ! Cela ne veut pas dire que l’agitation trĂ©pidante de tels phĂ©nomĂšnes les rende inaptes Ă  l’étude et sujets seulement Ă  la contingence. Tout n’est pas possible, loin de lĂ . Une loi permet de dĂ©terminer les possibles mais pas de trancher celui qui sera adoptĂ© par la dynamique. Car ce qui le choisit, c’est la loi du niveau infĂ©rieur. La dynamique est dĂ©crite seulement par des lois dites statistiques parce qu’elle dĂ©coule d’un phĂ©nomĂšne dĂ©terministe rapide imbriquĂ© interactif, contradictoire et combinĂ© dans un phĂ©nomĂšne dĂ©terministe beaucoup plus lent. Croyant que le caractĂšre statistique des lois menait Ă  l’indĂ©terminisme, les physiciens avaient dĂ©jĂ  manifestĂ© leur rejet de cette façon de voir face aux dĂ©couvertes du physicien Ludwig Boltzmann qui Ă©tudiait l’agitation molĂ©culaire. C’est le quanta qui est fondamental or il a pour dimension une action », c’est-Ă -dire le produit de deux dimensions qui Ă©taient classiquement considĂ©rĂ©es comme fondamentales dans la description des Ă©volutions matĂ©rielles et lumineuses Ă©nergie et temps par exemple. Dire que le quanta est fondamental signifie que l’énergie et le temps ne peuvent pas l’ĂȘtre et que la prĂ©cision sur chacun d’eux est contradictoire. La portĂ©e vraiment universelle de la dĂ©couverte de Planck et Einstein celle des quanta lui vient de ce que le caractĂšre discontinu n’affecte pas seulement le rayonnement le rayonnement Ă©lectromagnĂ©tique mais encore l’ensemble des interactions dans tout l’univers, il n’y a pas d’interaction qui ne mette en jeu une action au moins Ă©gale Ă  la constante de Planck h. 
 L’irruption du discontinu dans l’action nous contraint Ă  renoncer dĂ©finitivement Ă  une description causale et dĂ©terministe des processus mettant en jeu des actions du mĂȘme ordre de grandeur que le quantum d’action. L’absorption ou l’émission d’un photon par un atome qui change de niveau d’énergie, la dĂ©sintĂ©gration spontanĂ©e d’un noyau radioactif ou d’une particule instable, une rĂ©action particulaire provoquĂ©e dans une expĂ©rience auprĂšs d’un accĂ©lĂ©rateur sont des processus que nous devons renoncer Ă  dĂ©crire individuellement de maniĂšre dĂ©terministe. Il nous faut les intĂ©grer Ă  des ensembles statistiques descriptibles en termes de probabilitĂ©s. 
 Comme l’a dit LĂ©on Rosenfeld, probabilitĂ© ne veut pas dire hasard sans rĂšgle, mais juste l’inverse ce qu’il y a de rĂ©glĂ© dans le hasard. Une loi statistique est avant tout une loi, l’expression d’une rĂ©gularitĂ©, un instrument de prĂ©vision. » dans Sciences et dialectiques de la nature », ouvrage collectif – La Dispute Lochak, Diner et Farge dans L’objet quantique » si l’on cherche maintenant Ă  mesurer les projections du moment orbital sur des droites dans un plan perpendiculaire au champ magnĂ©tique du dispositif expĂ©rimental, on trouvera des valeurs qui ne sont pas constantes d’une expĂ©rience Ă  une autre. Ces valeurs se prĂ©sentent en fait comme une succession de nombres au hasard, elles sont alĂ©atoires. C’est lĂ  que se manifeste le caractĂšre de hasard des phĂ©nomĂšnes microphysique. Le fait que le moment orbital observĂ© n’ait donc pas d’orientation dĂ©finitive dans l’espace, mais semble tourner au hasard autour de la droite choisie, vĂ©rifie une autre grande loi de la mĂ©canique quantique les inĂ©galitĂ©s de Heisenberg. Si l’on observe l’atome d’hydrogĂšne dans un champ magnĂ©tique, on observe une projection constante du moment orbital salon la direction du champ, alors que dans le plan perpendiculaire les valeurs observĂ©es subissent la loi du hasard. On ne peut totalement faire taire le hasard en microphysique. Chassez le hasard de certaines observations, il revient au galop dans d’autres. C’est le sens de ce que l’on appelle les relations d’incertitude d’Heisenberg. » La relation entre ordre et dĂ©sordre Ă©tait ainsi exprimĂ©e dans L’objet quantique » Il n’y a pas entre ordre et dĂ©sordre l’antinomie que le bons sens suggĂšre. 
 Tout se passe comme si la mĂ©canique quantique exprimait les figures d’ordre d’un dĂ©sordre microphysique. » Comme on le voit, ce n’est pas ou ordre ou dĂ©sordre, ou hasard ou dĂ©terminisme mais un complexe dialectique qui les mĂȘle sans cesse
 Si on ne peut pas connaĂźtre prĂ©cisĂ©ment des dimensions, ce n’est pas dĂ» Ă  un indĂ©terminisme mais au fait que ces dimensions ne sont pas fondamentales et sont interdĂ©pendantes. Si on ne peut pas suivre prĂ©cisĂ©ment le parcours d’une particule, c’est que celle-ci n’est pas un objet au sens oĂč nous le concevons au niveau macroscopique. Ce n’est pas simplement des corpuscules ni des ondes mais un complexe dialectique des deux ! Et de mĂȘme, on assiste Ă  la formation de complexes dialectiques de l’ordre et du dĂ©sordre, imbriquĂ©s et interdĂ©pendants, ou du hasard et des lois. Le dĂ©terminisme ne disparaĂźt pas totalement en physique quantique, puisque ces probabilitĂ©s peuvent ĂȘtre calculĂ©es exactement Ă  partir de l’état initial du systĂšme considĂ©rĂ© selon des lois rigoureusement dĂ©terministes par exemple, l’équation de Schrödinger en mĂ©canique quantique non relativiste. L’inĂ©galitĂ© d’Heisenberg implique un dĂ©sordre inhĂ©rent et incompressible et, en mĂȘme temps, c’est un ordre qui est imposĂ© par la nature ! Hasard et nĂ©cessitĂ© ne s’opposent pas diamĂ©tralement, ni en physique quantique ni dans d’autres domaines des sciences. Ils se composent dialectiquement. Friedrich Engels dans "Dialectique de la nature" Sur le plan de la thĂ©orie, la science de la nature s’est obstinĂ©e d’une part dans la pauvretĂ© de la mĂ©taphysique selon Wolff qui veut que quelque chose soit ou bien nĂ©cessaire ou bien contingent, mais non les deux Ă  la fois et d’autre part, dans le dĂ©terminisme mĂ©caniste Ă  la pensĂ©e Ă  peine moins pauvre, qui supprime en bloc le hasard par une nĂ©gation verbale pour le reconnaĂźtre en pratique dans chaque cas particulier. ... En face de ces deux conceptions, Hegel apparaĂźt avec des proportions absolument inouĂŻes jusque-lĂ  Le contingent a un fond parce qu’il est contingent, et aussi bien il n’a pas de fond parce qu’il est contingent ; le contingent est nĂ©cessaire et la nĂ©cessitĂ© elle-mĂȘme se dĂ©termine comme contingence, tandis que d’autre part, cette contingence est plutĂŽt la nĂ©cessitĂ© absolue ». Logique Section III, ch. 1, La RĂ©alitĂ©. Ce qu’on affirme nĂ©cessaire, Ă©crivait Engels, est composĂ© de purs hasards et le prĂ©tendu hasard est la forme sous laquelle se cache la nĂ©cessitĂ©. La causalitĂ© linĂ©aire est suffisante pour des phĂ©nomĂšnes simples. Mais cette forme simpliste de dĂ©termination ne suffit lorsqu’on se trouve devant des systĂšmes complexes et sensibles. ... Le hasard n’est pas la nĂ©gation de la causalitĂ© et du dĂ©terminisme ; il est la nĂ©gation dialectique de la nĂ©cessitĂ©, expression de la richesse des dĂ©terminations des systĂšmes physiques. » dans Physique et matĂ©rialisme » La suite

Iln'en demeure pas moins que si JĂ©sus n'a jamais existĂ©, si dieu lui mĂȘme n'existe pas, les religions existent bien, elles, et je ne suis pas sur qu'elles puissent se prĂ©valoir d'un bilan globalement positif" 6 J'aime 3 Je n'aime pas. RĂ©pondre. Georges Mary. 25 December 2017, Ă  09:47. Je serais tentĂ© de dire "C'est vous qui le dites" et d'ajouter "vos propos n'engagent que
Le hasard n'existe pasLa conscience systĂ©mique du coach Performance CoachLe hasard n'existe pas TĂ©lĂ©chargez la page au format PDF En premier lieu, je remercie ICF Espagne qui m’a permis de rĂ©aliser cet Ă©vĂšnement sur Le Hasard n’existe pas » le mercredi 22 mai 2013, lors de la 2Ăšme semaine Mondiale du coaching organisĂ©e par ICF personnes ont participĂ© il y avait quelques dirigeants de mon client REPSOL, des Ă©lĂšves de l’école de formation MĂ©tasystĂšme d’Alain Cardon que j’anime en Espagne et bien sĂ»r des coachs, des personnes qui veulent devenir coach et des curieux du pour habitude de dire Ă  mes clients qu’ils soient Ă©lĂšves ou entreprises s’il se passe quelque chose, c’est justement pour quelque chose. Comment ce qui se passe, ce qui vous arrive peut-ĂȘtre une ressource, un catalyseur pour toi client individuel ou Ă©quipe ou organisation ? » C’est ainsi que beaucoup me disent Claude avec ce type de raisonnement cela veut dire que pour toi le hasard n’existe pas ? ». Effectivement, c’est ma croyance, celle de notre Ă©cole et c’est ce que j’ai voulu aborder durant cet atelier de travail et cet article. Il est vrai que le thĂšme du hasard me suit et me hante depuis bien 2h de 20h Ă  22h, les 87 participants ont rĂ©alisĂ© des exercices et dans cet article, je vous fais part de mes commentaires et explications. QUE DISENT LES GRANDS CHERCHEURS DE CE MONDE SUR LE HASARD? L’ĂȘtre humain aime bien ĂȘtre rassurĂ©, trouver des mots et quand il ne trouve pas une rĂ©ponse rationnelle de cause Ă  effet, il parlera de probabilitĂ©, de consĂ©quence, de synchronicitĂ©, de y a 1000 ans, le hasard Ă©tait la rĂ©ponse aux Ă©vĂšnements inexplicables. Aujourd’hui, on sait trĂšs bien donner une explication simple et logique de cause Ă  effet. Il suffit de citer les progrĂšs que l’on a fait en mĂ©decine ou les progrĂšs technologiques. Peut-ĂȘtre que dans 1000 ans nous donnerons des explications Ă  des effets qu’aujourd’hui nous avons appelĂ©s hasard.. Trois grands chercheurs / auteurs disent du hasardLouis Pasteur "Le hasard ne favorise que les gens bien prĂ©parĂ©s." Albert Einstein "Je ne peux pas croire que Dieu joue aux dĂ©s avec le monde."Victor Hugo "Le hasard bavarde, le gĂ©nie Ă©coute."C’est vrai que ces citations font rĂ©flĂ©chir. Commentaires Si notre cadre de rĂ©fĂ©rences n’était pas limitant le hasard existerait-il?Si finalement, cela n’était dĂ» qu’à une simple question de temps, de patience, de technologie, de connaissance ainsi un jour nous serons capable de donner une explication Ă  tout le hasard existerait-il?Si le hasard n’existait pas notre vie ne serait-elle pas ennuyeuse?Et si, in fine, cette ignorance sur le hasard Ă©tait le piment de notre vie? Et si une fois de plus le hasard faisait bien les choses ?Toutefois, il me semble qu'il existe des faits, des effets, que nous appelons le hasard et en s’y penchant plus sĂ©rieusement, en Ă©coutant ces faits, ces effets, en les rendant vivant, ils peuvent ĂȘtre une ressource fantastique pour nos vies et pour nos clients. En coaching systĂ©mique, nous parlons de conscience systĂ©mique. EXERCICE CHOISIR UNE PERSONNE Lors de cette confĂ©rence-atelier, Ă  partir de simples exercices de la vie de tous les jours, nous avons expĂ©rimentĂ© que peut-ĂȘtre les simples causes Ă  effet de la vie de tous les jours ne sont pas toujours le fruit du premier exercice consistant Ă  choisir une personne. L'exercice a dĂ©butĂ© avec l'Ă©noncĂ© suivant nous allons expĂ©rimenter comment fonctionne le hasard. Cet exercice, vous devez le faire avec quelqu'un que vous ne connaissez pas et comme nous sommes suffisamment nombreux, je vous invite Ă  ne pas choisir une personne qui se trouve Ă  votre droite, Ă  votre gauche et mĂȘme juste devant vous ou juste derriĂšre vous ».Les gens se sont choisis et le premier exercice Ă©tait le chaos liĂ© au fait que 87 personnes se sont levĂ©es, ont fait du bruit, se sont choisies sans savoir ce qui allait se passer ensuite, avec un seul objectif ĂȘtre face Ă  une personne », il est facile de se poser ce genre de questions Qui a choisi qui?Qui a choisi qui en premier ?Qui aurait aimĂ© ĂȘtre choisi en premier ?Qui a Ă©tĂ© passif?Qui a choisi un homme?Qui a choisi une femme?Qui a choisi un plus ĂągĂ©? un plus jeune?Qui reste seul?Qui en fin de compte est frustrĂ© parce qu'il n'a pas choisi qui il voulait?Qui en fin de compte est heureux de son choix?Qui a choisi quelqu’un qui finalement ressemble Ă  son compagnon, lui rappelle quelqu’un qu’il aime ?Qui est retournĂ© avec l’autre Ă  sa place de dĂ©part comme si le siĂšge Ă©tait sa propriĂ©tĂ©?Qui peut percevoir dans ce premier choix un scĂ©nario rĂ©pĂ©titif ou du dĂ©jĂ  vu ou fait dans sa vie ?...?A partir de ces questions, des rĂ©ponses du public, on peut facilement classer les rĂ©ponses en trois catĂ©gories Les actifs qui vont passifs qui se laissent choisirLes rĂ©servĂ©s qui ont attendu la fin pour choisir celui qui reste ou pour rester seul ou peut-ĂȘtre se poser en observateur. Commentaires Il est important de prĂ©ciser que l’enjeu n’est pas de dire qu’une catĂ©gorie est meilleure qu’une autre car le public a mĂȘme prĂ©cisĂ© que selon l’enjeu confĂ©rence, travail prospection..., certains se seraient transformĂ©s en actif ou passif ou rĂ©servĂ©. Cet apport du public Ă©claire dĂ©jĂ  que selon le contexte nous aurons une position diffĂ©rente et donc je ne ferai pas les choses par mĂȘme temps, nous nous sommes amusĂ©s Ă  extrapoler que l'actif est peut-ĂȘtre une personne qui a dĂ©jĂ  vĂ©cu cette situation dans sa vie, qu’il a trĂšs mal vĂ©cu le fait de se retrouver seul et inconsciemment ou consciemment il a pris la dĂ©cision d’ĂȘtre actif. Personnellement, je me sens bien dans ce mĂȘmes choses sont extrapolables pour la catĂ©gorie des passifs ou des tout cas, nous avons lĂ  une premiĂšre option quand quelqu’un dit c’est rigolo, on s’est retrouvĂ© cĂŽte Ă  cĂŽte par hasard », peut-ĂȘtre que ce n’est pas tant par y a une fusion de sociĂ©tĂ©s, vous pouvez Ă©galement dĂ©finir un parallĂšle avec les entreprises qui a Ă©tĂ© actif pour acheter l’autre ou qui a Ă©tĂ© passif pour se laisser acheter. J'ai eu l’occasion de rĂ©aliser un exercice de ce type lors d’une fusion d’entreprise, le collectif prend conscience que les deux se sont choisis et donc qu’il n’y a en a pas un plus fort que l’autre. Les jeux pervers nĂ©gatifs de pouvoir tombent et les jeux positifs de cohĂ©sion et de performance se mettent au vert. Les diffĂ©rences de chacun et des sociĂ©tĂ©s deviennent des ressources pour le collectif et non plus des freins. Par rapport Ă  la confĂ©rence, c’était le moment de passer au deuxiĂšme exercice. Les gens Ă©taient assis face Ă  face, certains ont changĂ© de place comme si pour ĂȘtre en alliance ils devaient apporter une autre modification ou ĂȘtre en terrain neutre. En tout cas, chaque binĂŽme avait construit son coaching systĂ©mique nous avons l’habitude de dire que quand un coach et face Ă  son client que celui-ci soit individuel, Ă©quipe ou une organisation, ils forment un systĂšme. Le coach fait partie du deuxiĂšme exercice est donc centrĂ© sur le systĂšme qu’ils ont construit, sachant maintenant que nous sommes en train de prendre conscience que ce systĂšme ne s’est certainement pas construit par hasard. EXERCICE QUELS SONT VOS POINTS EN COMMUN ? Chaque binĂŽme avait un quart d'heure pour Ă©changer afin de voir s’ils avaient des points communs. Trois personnes sont arrivĂ©es en retard, je leur ai demandĂ© de travailler un quart d'heure, j'ai demandĂ© s’ils ont trouvĂ© des points communs entre eux. 100 % des binĂŽmes ont trouvĂ© des points communs. Certains ont bien voulu commenter en public et d’autres m’ont commentĂ© Ă  la fin de la confĂ©rence Deux personnes du mĂȘme binĂŽme Ă©taient Argentins => il y avait seulement 4 Argentins dans la salle, c'est-Ă -dire moins de 5% de la personnes qui ne se connaissaient pas avaient travaillĂ© Ă  des moments diffĂ©rents de leur vie dans la mĂȘme sociĂ©tĂ© => il y avait trois autres personnes qui avaient travaillĂ© pour la mĂȘme sociĂ©tĂ©, c'est-Ă -dire moins de 5% de la personnes se sont rendus compte qu’elles avaient la mĂȘme peur et que celle-ci les hantait et qu’ils ne savaient pas pourquoi ils ont eu envie d’en parler de mes Ă©lĂšves de l’école MetasystĂšme a choisi un homme sans savoir que c’était le mari d’une autre Ă©lĂšve de l’école et lui aussi ne savait pas qui elle Ă©tait. Les trois qui sont arrivĂ©s en retard avaient la mĂȘme raison d’ĂȘtre ici ils venaient chercher de l’information car depuis plusieurs semaines ils ont pris la dĂ©cision de se former au mĂ©tier de depuis l’estrade, j’avais une position pour pouvoir voir d’autres points communs des binĂŽmes qui reprĂ©sentaient moins de 5% de la salle Deux femmes avaient les cheveux trĂšs longsDeux hommes avec une cravate de couleur viveUn homme et une femme pratiquement de la mĂȘme taille Ă©taient habillĂ©s tous les deux en blanc. Commentaires Tout d’abord, nous savons que dans nos pays occidentaux, si nous mettons deux personnes ensemble on arrivera toujours Ă  trouver un point en commun. En mĂȘme temps, l’enjeu ici est biaisĂ© puisque justement l’enjeu c’est de trouver des points communs donc nous en trouverons. Toutefois, ce qui est Ă©trange ici est que les personnes qui ont exprimĂ©es leurs points communs se retrouvent sous la loi statistique appelĂ©e les fluctuations alĂ©atoire d'Ă©chantillonnage » que l’on appelle aussi par opposition Ă  la loi des 80/20 de Pareto, la loi des 95% / 5% pour information, appelĂ© ainsi c’est faux mathĂ©matiquement parlant. Toutefois, dans ces cas, les statisticiens en arrivent Ă  la conclusion suivante l’absence de preuve n'est pas la preuve d' pouvions passer Ă  l’exercice suivant EXERCICE LA CONCIENCE SYSTEMIQUE Le systĂšme Ă©tait créé, la relation Ă©tait créé, nous pouvions entrer plus en profondeur afin d’une part de prendre conscience de sa propre conscience systĂ©mique et de voir comment elle pouvait ĂȘtre une ressource pour lui-mĂȘme et/ou pour l’ avons fait cet exercice en quatre temps Cliquez ici pour lire un article sur la Conscience systĂ©mique Le premier temps a durĂ© 15 minutes, au cours de laquelle chacun pouvait expliquer Ă  l’autre sa prĂ©occupation principale ou sa prĂ©occupation du moment. AprĂšs ces 15 minutes, un nouvel Ă©change a eu lieu sur les prĂ©occupations de chacun du binĂŽme certains ont rĂ©alisĂ© qu’ils avaient la mĂȘme prĂ©occupation, d'autres, que l'une des prĂ©occupations de l’un Ă©tait la solution de l'autre ou que l'un d'eux avait dĂ©jĂ  rĂ©solu cette prĂ©occupation de l'autre pour lui-mĂȘme. Commentaires Ici nous entrons dans une ouverture de notre cadre de rĂ©fĂ©rence du coaching effet, chacun est venu assister Ă  une confĂ©rence, celle-ci permet de travailler avec une autre personne, de voir que ce n’est pas forcĂ©ment le hasard qui nous a mis ensemble car il y a des points communs avec cette personne et qu’en plus il existe une relation entre eux et leurs prĂ©occupation principale ou du moment. À ce stade, il est difficile de parler de statistiques ou la probabilitĂ©. Nous sommes plus confrontĂ©s Ă  la synchronicitĂ© de Carl Gustav Jung. D'autres l'appellent Ă©galement la rencontre de l'inconscient de deux la physique quantique commence Ă  expliquer certains de ces faits, on commence Ă  avoir des explications du hasard qui n’en n’est donc plus grĂące Ă  l’avancĂ©e de la physique quantique et des neurosciences. Le second temps le silence J'ai demandĂ© Ă  chacun de se mettre en silence et de rĂ©flĂ©chir Ă  nouveau sur le dialogue qu'il avait eu avec son partenaire pour voir si, pendant qu'il Ă©tait en train de parler ou d’écouter, lui Ă©tait venu une image, une expression, un sentiment, un leur ai demandĂ© de rĂ©flĂ©chir et de choisir le point qui lui semblait important de dire Ă  l’autre. Commentaires Le silence dans le coaching systĂ©mique est la Fondation pour le dĂ©veloppement de la conscience systĂ©mique du coach. Le troisiĂšme temps 15 minutes pour chacun, pour dire Ă  l’autre ce qui lui paraĂźt important de lui dire. Le quatriĂšme temps, en public certains binĂŽmes ont partagĂ© cette derniĂšre expĂ©rience avec le reste de la salle Une femme a expliquĂ© que son partenaire lui a commentĂ© que quand elle lui a expliquĂ© sa prĂ©occupation, celui-ci se voyait coincĂ© avec son canoĂ« et a dĂ» quitter le bateau et le pousser. Elle a rajoutĂ© maintenant, je sais ce que je dois pousser pour sortir de mon problĂšme car je tourne en rond depuis trop longtemps. » Un homme a visualisĂ© un bleu particulier qu’il a vĂ©cu avec l’eau de mer, cette image a permis aux deux de trouver des pistes de femme a dit qu’elle sentait une forte pression dans son corps quand l’autre lui a parlĂ© de sa propre prĂ©occupation. Ce qui est bizarre c’est que cette pression qui venait lĂ  sans aucun motif car elle n’avait aucun lien avec cette personne ni aucune raison d’ĂȘtre touchĂ©, l’a aidĂ© Ă  se dĂ©tendre dans sa propre prĂ©occupation et l’autre dit mieux relativiser son problĂšme et le voit sous un autre angle ».4 autres binĂŽmes ont exprimĂ© que cet Ă©change d’images, ou d’expression ou de sensation leur donne des pistes d’option par rapport Ă  leur enjeu. Commentaires Le hasard fait bien les venons, nous crĂ©ons un systĂšme par hasard et par hasard certains trouvent des solutions en rapport avec ses propres coaching systĂ©mique, nous appelons cela les rĂ©sonnances systĂ©miques. Toutefois, je vous invite Ă  la grande prudence et Ă  toute votre humilitĂ©. En effet, ce n’est pas parce qu’il se passe quelque chose dans le systĂšme que c’est forcĂ©ment une piste pour le client, toutefois, partager ce qui se passe avec votre client et lui laisser le choix d’en faire ce qu’il en veut est parfois une piste bien plus exploratrice pour le client final. Quant Ă  la confĂ©rence certains ne se sont pas rendus compte de liens car tout simplement il n’y avait pas de rĂ©sonnance ou peut-ĂȘtre qu’ils le verront plus tard. A ma grande surprise nombreux Ă©changĂšrent leur coordonnĂ©es, beaucoup restĂšrent pour parler. A 22h45, nous Ă©tions encore quelques-uns Ă  commenter ce qui c’était passĂ©. CONCLUSIONS Aujourd'hui, a tout cela, nous lui donnons le nom de conscience systĂ©mique. La conscience systĂ©mique, se sont des synapses qui sont créés ou dĂ©veloppĂ©s dans notre cerveau. Si nous regardons des enfants agir, nous pouvons constater qu’ils agissent souvent avec cette conscience, je pense que nous l’avons oubliĂ©e. J'ai terminĂ© la confĂ©rence en donnant trois exemples de comment cette conscience systĂ©mique a permis Ă  des clients de dĂ©velopper des pistes et de mettre en place des plans d’actionsLors d'une sĂ©ance de coaching, alors que l’équipe aborde un nouveau thĂšme sur la gestion des stocks de la PME », le coach systĂ©mique sent une pression que ni lui ni l'Ă©quipe n’a l’habitude d’avoir. En raison de cette pression, il regarde tout le monde et se rend compte que juste Ă  ce moment-lĂ , tout le monde regarde ailleurs, seule une personne regarde le centre. Le coach systĂ©mique dit Ă  cette personne si vous aviez quelque chose d'important Ă  dire pour l’équipe et vous savez que tout le monde, y compris le PDG, vont vous Ă©couter sans vous juger, qu’est-ce qu’il est important de dire pour permettre Ă  l’entreprise d’avoir une gestion de stock bien au-delĂ  de votre objectif ? ». La personne a parlĂ© pendant un long moment, personne ne l’a interrompue. S’en est suivi des Ă©changes, ils ont pris la dĂ©cision la plus importante pour permettre Ă  la PME de sortir de la crise. Le hasard n’existe pas, ces regards diffĂ©rents de d’habitude, cette pression diffĂ©rente de d’habitude ne sont pas venus lĂ  par hasard et le coach Ă©tait lĂ  avec eux pour quelque dirigeant est dans une impasse face Ă  son enjeu, son coach systĂ©mique lui a posĂ© une question. Le dirigeant est dans son silence cherchant des pistes, des options et en mĂȘme temps ne semble pas trouver. Au mĂȘme instant, Ă  l’extĂ©rieur de la salle, dans le couloir, une personne frappe Ă  une autre porte avec insistance. Ce tambourinage ne perturbe pas le coach systĂ©mique, mais le client lĂšve les yeux, il fait une gestuelle en souriant. Le coach systĂ©mique se rend compte de cette synchronicitĂ© et lui dit Je ne sais pas si ça a un lien mais j’ai envie de te poser une question qui peut ĂȘtre stupide par rapport Ă  ton enjeu qui dois-tu appeler ? » Le client re-rentre dans son silence, celui-ci est bien plus profond. Au bout d’un moment, il regarde le coach et lui dit Quel idiot!, je veux le rĂ©soudre seul. Mais dans ce cas, je dois aller voir Untel et ensemble, nous obtiendrons plus loin et plus vite ». Le coach systĂ©mique accompagne un comitĂ© de direction d’une grande sociĂ©tĂ©. Au cours du coaching et Ă  partir de ce que dit le CODIR, le coach, ne sait pas pourquoi, lui vient l’image de son arriĂšre-grand-mĂšre. Pour information, il n’a que de trĂšs vague souvenirs de son arriĂšre-grand-mĂšre, car il Ă©tait un jeune enfant, il n’avait certainement pas pensĂ© Ă  elle depuis peut-ĂȘtre 20 ou 30 ans. Il voit son arriĂšre-grand-mĂšre derriĂšre la fenĂȘtre et le mot isolĂ©e » lui vient en mĂȘme temps. Il ne sait pas pourquoi, cette image lui est venue, mais il a saisi et pose la question avec humour Ă  l’équipe car cette image l’amuse Qui doit sortir de son isolement dans votre entreprise? » La question a eu un effet choc car il s’est créé un grand silence et l’un des dirigeants a dit NOUS ». L'Ă©quipe a pris des dĂ©cisions qui permettent un changement culturel en dĂ©veloppant des valeurs comme la flexibilitĂ©, la transparence, la responsabilitĂ©, le CODIR a placĂ© le client final au centre de toutes les dĂ©cisions et les collaborateurs ont amĂ©liorĂ© leurs performances. Si vous aussi vous voulez dĂ©velopper votre conscience systĂ©mique et par la mĂȘme votre compĂ©tence de coach Pour permettre Ă  vos clients et Ă  vous-mĂȘme d’ĂȘtre plus efficace, Pour permettre Ă  vos clients de changer de cadre de rĂ©fĂ©rences Pour permettre Ă  vos clients de se donner de vĂ©ritables plans d’actions qu’ils mettrons en Ɠuvre, Si vous ĂȘtes coach, vous pouvez vous inscrire aux groupes de supervision qu’anime Claude Arribas sur Montpellier et Toulouse il reste quelques places en cliquant sur ce lien Deux Groupes de Supervision SystĂ©mique OrĂ©sentiel en occitanie et Distanciel en Zoom. Bien Arribas06 82 69 70 83
Lehasard, c’est la forme que prend Dieu pour passer incognito. de Jean Cocteau. Jean Cocteau. Une citation de Jean Cocteau proposĂ©e le lundi 02 juin 2008 Ă  10:43:23 Jean
Le russeLe hasard n'existe pas simplement, nous ne sommes pas assez intelligents pour comprendre tous les liens de causalitĂ©Le hasard n’est qu’une illusion ; nous vivons dans un monde dĂ©terministe mais nous vivons aussi dans un monde infiniment complexe dans lequel, bien souvent, les liens de causalitĂ© nous NicoulaudGuillaume Nicoulaud est Ă©conomiste de formation et a travaillĂ© pendant 20 ans dans l’industrie financiĂšre. Aujourd’hui, il est Chief Executive Officer chez Loop Aix-Marseille, une start-up franco-suisse qui dĂ©veloppe la prochaine gĂ©nĂ©ration de systĂšmes de transport Ă  l’échelle mĂ©tropolitaine. Voir la bio »Le hasard n'existe pas simplement, nous ne sommes pas assez intelligents pour comprendre tous les liens de causalitĂ©avec Guillaume NicoulaudÀ la fin de son cours, un professeur lance un dĂ©fi Ă  ses Ă©tudiants ils doivent, pour la prochaine sĂ©ance, concevoir une fonction capable de gĂ©nĂ©rer dix nombres alĂ©atoires. En sortant de la salle de classe, la plupart des Ă©tudiants sont intimement persuadĂ©s de la trivialitĂ© de l’exercice ; en une demi-heure, se disent-ils, ce sera bouclĂ©. Ils rentrent chez eux, s’installent devant leur ordinateur et c’est lĂ  qu’ils commencent Ă  tĂąche qui consiste Ă  concevoir un gĂ©nĂ©rateur de nombres alĂ©atoires est aussi simple en apparence qu’elle est complexe en rĂ©alitĂ©. Comment crĂ©er le hasard ? Comment concevoir un algorithme – c’est-Ă -dire un systĂšme forcĂ©ment dĂ©terministe – qui gĂ©nĂšre un rĂ©sultat qui Ă©chappe Ă  toute explication dĂ©terministe ? Eh bien c’est impossible. Les esprits les plus brillants se sont frottĂ©s Ă  ce problĂšme et tous en ont conclu qu’il n’est tout simplement pas possible de crĂ©er un tel algorithme. Tous les gĂ©nĂ©rateurs de nombres alĂ©atoires [1] sont en rĂ©alitĂ© des gĂ©nĂ©rateurs de nombres pseudo-alĂ©atoires ; c’est-Ă -dire qu’ils simulent le hasard en crĂ©ant des sĂ©quences de nombres dont il est plus ou moins difficile d’identifier les propriĂ©tĂ©s maniĂšre de s’approcher au plus prĂšs de l’alĂ©a parfait consiste Ă  s’appuyer sur des phĂ©nomĂšnes physiques prĂ©sumĂ©s imprĂ©visibles [2] comme, par exemple, le lancer d’un dĂ©. Comme nous sommes, a priori, incapables de dĂ©terminer Ă  l’avance sur quelle face le dĂ© va tomber, nous considĂ©rons que la sĂ©quence de nombres de 1 Ă  6 qui rĂ©sultera de plusieurs lancers sera alĂ©atoire. Mais cela signifie-t-il qu’elle l’est vraiment ? Certainement pas elle est en rĂ©alitĂ© entiĂšrement dĂ©terminĂ©e par les lois de la physique. Avec un Ă©quipement adĂ©quat, nous pourrions prĂ©dire prĂ©cisĂ©ment le rĂ©sultat de chaque lancer ou faire en sorte que le dĂ© tombe Ă  chaque fois sur la mĂȘme face. Ce qui donne ici l’illusion de l’alĂ©a, c’est le fait que la main de celui qui lance le dĂ© n’est pas un instrument suffisamment prĂ©cis pour influer sciemment sur le rĂ©sultat. Du moins en gĂ©nĂ©rateurs prĂ©sumĂ©s les plus performants, plutĂŽt que des dĂ©s, utilisent aujourd’hui des phĂ©nomĂšnes quantiques. Il y a deux maniĂšres de justifier cela l’interprĂ©tation classique de la thĂ©orie quantique qui veut que ces phĂ©nomĂšnes sont vraiment alĂ©atoires le chat de Schrödinger Ă  la fois mort et vivant et celle selon laquelle les variables quantiques suivent des lois dĂ©terministes que nous ne connaissons pas le chat est dans un Ă©tat dĂ©terminĂ© mais nous ne savons pas lequel et nous ne savons pas pourquoi. Je suis, bien sĂ»r, parfaitement incompĂ©tent en la matiĂšre mais mon intuition me pousse Ă  suivre Einstein [3] Dieu ne joue pas aux dĂ©s dans l’Univers, il y a lĂ  derriĂšre quelque chose qui nous Ă©chappe encore ; Feyman lui-mĂȘme ne disait-il pas que "personne ne comprend vraiment la physique quantique" ?Quoiqu’il en soit, et dans l’état actuel de nos connaissances en dehors du domaine quantique, l’alĂ©a n’existe pas. C’est un abus de langage, un concept pratique qui nous permet de dĂ©signer le produit de chaĂźnes de causalitĂ© trop complexes pour que nous puissions en comprendre le caractĂšre dĂ©terministe. Le hasard n’est qu’une illusion ; nous vivons dans un monde dĂ©terministe mais nous vivons aussi dans un monde infiniment complexe dans lequel, bien souvent, les liens de causalitĂ© nous

AuseptiĂšme jour, le sabbat trĂŽne pour couronner le tout. C’est ainsi que l’homme suit le cycle de la semaine de sept jours, malgrĂ© les tentatives infructueuses d’imposer un

Citation Le hasard existe pas DĂ©couvrez une citation Le hasard existe pas - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Le hasard existe pas issus de livres, discours ou entretiens. Une SĂ©lection de 5 citations et proverbes sur le thĂšme Le hasard existe pas. 5 citations > Citation de Bruno Combes n° 172291 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesLe vieux monde est palpable, solide, nous le vivons et luttons Ă  chaque instant avec lui, il existe. Le monde de l'avenir n'est pas encore nĂ©, il est insaisissable, fluide, fait de la lumiĂšre dont sont tissĂ©s les rĂȘves, c'est un nuage battu par des vents violents - l'amour, la haine, l'imagination, le hasard, Dieu... Alexis Zorba 1946 de NĂ­kos KazantzĂĄkisRĂ©fĂ©rences de NĂ­kos KazantzĂĄkis - Biographie de NĂ­kos KazantzĂĄkisPlus sur cette citation >> Citation de NĂ­kos KazantzĂĄkis n° 161671 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesMĂȘmes les rencontres de hasard sont dues Ă  des liens nouĂ©s dans des vies antĂ©rieures... tout est dĂ©terminĂ© par le karma. MĂȘme pour des choses insignifiantes, le hasard n'existe sur le rivage 2002 de Haruki MurakamiRĂ©fĂ©rences de Haruki Murakami - Biographie de Haruki MurakamiPlus sur cette citation >> Citation de Haruki Murakami n° 144437 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 473 votesJulian a Ă©crit quelque part que les hasards sont les cicatrices du destin. Le hasard n'existe pas, Daniel. Nous sommes les marionnettes de notre du vent 2001 de Carlos Ruiz ZafĂłnRĂ©fĂ©rences de Carlos Ruiz ZafĂłn - Biographie de Carlos Ruiz ZafĂłnPlus sur cette citation >> Citation de Carlos Ruiz ZafĂłn n° 103168 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesLe hasard n'existe pas, tout a une cause et une raison d' Maximes de Guidance de Ostad ElahiRĂ©fĂ©rences de Ostad Elahi - Biographie de Ostad ElahiPlus sur cette citation >> Citation de Ostad Elahi n° 43048 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 469 votes< Page 1/1Votre commentaire sur ces citations - Lache - LachetĂ© - LĂąchetĂ© - Laideur - Langage - Langue - Lapsus - Larme - Leçon - Lecture - Lettre - Liaison - Liberalite - Liberte - LibertĂ© - Limitation - Linguistique - Lire - LittĂ©rature - Litterature - Livre - Logement - Logiciel - Logique - Loi - Loisirs - Louange - LoyautĂ© - Lucidite - Lumiere - Lune - Lunettes - Luxe - Luxure ThĂšmes populaires + Autres belles citations et proverbes sur Le hasard existe pas Toutes les citations sur Le hasard existe pas Citation sur le Citations courtes le PoĂšmes Le hasard existe pas Proverbes Le hasard existe pas Etendez votre recherche avec le dictionnaire des dĂ©finitionsThĂšmes populairesCitations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitiĂ© Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance LacrĂ©ation spontanĂ©e est la raison pour laquelle quelque chose existe, pour laquelle l'univers existe, pour laquelle nous existons.» Du coup, «il n'est pas nĂ©cessaire d'invoquer Dieu pour
Albert Einstein disait Le hasard, c’est Dieu qui se promĂšne incognito. » Le philosophe grec DĂ©mocrite affirmait que tout ce qui existe dans l'univers est le fruit du hasard. » Le premier verset de la Bible dit au contraire Au commencement Dieu crĂ©a les cieux et la terre. » Le savant Isaac Newton a Ă©crit La merveilleuse constitution de l’univers avec son harmonie incomparable n’a pu se faire que selon les plans d’un ĂȘtre omniscient et tout-puissant. » Selon le Larousse, le mot hasard vient de l’arabe az-zahr qui signifie jeu de dĂ©s. » Le hasard serait donc ce qui ne correspond Ă  aucune cause particuliĂšre identifiĂ©e. Albert Einstein disait Le hasard, c’est Dieu qui se promĂšne incognito. » Le cĂ©lĂšbre biologiste RĂ©my Chauvin s’insurge contre cette philosophie dĂ©sespĂ©rante du hasard. La science moderne – Ă©crit-il dans son livre Dieu des fourmis, Dieu des Ă©toiles » commence Ă  reconnaĂźtre que l’univers n’est pas gouvernĂ© par le hasard comme le prĂ©tendait Darwin. Parlant du cerveau humain, RĂ©my Chauvin Ă©crit Avec toutes ses cellules et toutes ses connexions, il possĂšde autant d’élĂ©ments que nos galaxies d’étoiles » ; et d’ajouter Il ne faut pas sous-Ă©valuer l’importance du phĂ©nomĂšne de conscience dont l’homme est le dĂ©positaire. La position de la conscience est centrale. » La Bible dit La conscience est une lampe que le Seigneur donne aux humains pour Ă©clairer le fond de leur cƓur Proverbes 2027 – Parole de Vie. » Elle peut ĂȘtre comparĂ©e Ă  un voyant sur le tableau de bord de notre voiture. Quand un voyant rouge s’allume, c’est qu’il y a un problĂšme Baisse du niveau d’huile ou de liquide de freins par exemple. Il faut y remĂ©dier au plus vite. Ne pas en tenir compte, c’est mettre notre vie en danger. Quand notre conscience s’allume », quand elle nous reproche une action mauvaise et qu’elle nous convainc de pĂ©chĂ©, alors surtout, ne la faisons pas taire en cherchant Ă  l’étouffer, ce serait pour notre malheur. Par elle, c’est Dieu, dans son amour, qui nous parle pour nous ramener dans le droit chemin. La Bible dit Si nous confessons nos pĂ©chĂ©s Ă  Dieu bien sĂ»r, il est fidĂšle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de toute iniquitĂ© 1 Jean 19. » Il peut le faire parce que JĂ©sus, par son sang rĂ©pandu sur la croix, a expiĂ© nos pĂ©chĂ©s et satisfait la justice divine, nous obtenant ainsi la grĂące de Dieu qui se reçoit par la foi. JoĂ«l ChĂ©dru

Laffirmation: « Dieu existe et Il a créé toute chose » est mathématiquement aussi exacte que de dire que 1+1=2, à travers les innombrables preuves entre nos mains, notamment celles que nous procurent les derniÚres avancées scientifiques, il a été prouvé que L'existence du créateur, son omniscience et son omnipotence sont des faits

Comment accepter un Ă©vĂ©nement qui paraĂźt sans cause? Le hasard existe-t-il, ou, sinon, faut-il croire au destin? L’alternative effraie on voudrait tergiverser, considĂ©rer qu’une action peut parfois n’ĂȘtre due qu’au hasard, et parfois n’ĂȘtre que dĂ©terminĂ©e. C’est dĂ©jĂ  considĂ©rer que les lois de la nature sont capricieuses. Mais comment les considĂ©rer sinon ? Comment prĂ©tendre Ă  la fois que les Ă©vĂ©nements rĂ©sultent de concours de circonstances imprĂ©visibles, et que l’on puisse pourtant agir en vue d’un rĂ©sultat dĂ©terminable ? Le hasard, s’il existe, est imprĂ©vu, voire imprĂ©visible. Or nous savons dans une certaine mesure de quoi l’avenir sera fait le soleil se lĂšvera trĂšs probablement demain.... Puisque l’on peut prĂ©voir certains Ă©vĂ©nements, il y a un principe actif qui organise l’ensemble des choses existantes c’est la connaissance de ce principe qui nous permet de dĂ©terminer la suite des Ă©vĂ©nements. Je peux par exemple comprendre qu’un objet tombe si je connais la loi de la pesanteur. Si tout Ă©vĂ©nement, avec les sĂ©ries de causes et de consĂ©quences qui le dĂ©terminent, est aprĂ©hensible parce que dĂ©terminĂ©, on peut dire qu’une pomme tombe d’un arbre parce qu’il Ă©tait â€œĂ©crit” qu’elle devait tomber prĂ©cisĂ©ment au moment oĂč elle est tombĂ©e et comme elle est tombĂ©e. Il y a une “raison” dans le monde, consultable comme un livre ouvert dĂšs qu’on sait le lire un Ă©vĂ©nement survient parce que “c’est Ă©crit”... dans le grand livre du monde. On voudrait pourtant que le monde rĂ©ponde Ă  nos attentes, et parfois sans mĂȘme savoir si elles sont rĂ©alistes on voudrait que le monde dĂ©lire avec nous... et il paraĂźt le faire on vante les atouts du rĂȘve, de l’utopie l’enthousiaste aurait plus de chances, au point qu’il peut paraĂźtre efficace de rĂ©clamer l’impossible. On constate ce genre d’irrĂ©alisme chez les personnes les plus “dĂ©terminĂ©es”, qui prĂ©tendent que devant la force de leur volontĂ© les obstacles s’évanouissent comme par magie ils semblent ĂȘtre Ă©cartĂ©s par un destin favorable. “La fortune sourit aux audacieux”. Par exemple, une rééducatrice qui parvient Ă  des rĂ©sultats Ă©tonnants en rĂ©habilitant des “cas sociaux” devant lesquels tous baissaient les bras n’explique son succĂšs que par le fait qu’elle s’y attend. Tout simplement. Il y a comme une connivence entre l’auteur d’une action et l’univers dans lequel il agit certains paraissent avoir un ange gardien ; on dit qu’il ont de la chance ; d’autres voient les circonstances concourir Ă  leur perte on dit qu’ils s’opposent Ă  un hasard malencontreux. Dans tous ces cas, il semble que les lois de l’univers sont dĂ©terminables par une volontĂ©, comme s’il existait une entitĂ© pouvant dĂ©cider du cours des choses selon un dessein arrĂȘtĂ©. À ce stade, comment ne pas croire en la magie, ou devenir superstitieux, ou croire qu’un dieu exauce ou pas nos priĂšres? Libres donc autonomes auto-nomia qui se donne ses propres lois, nous ne devons ĂȘtre soumis ni au hasard ni au destin. Pour Ă©chapper Ă  un ordre des choses totalement dĂ©terminĂ©, il nous faut donc avoir en nous mĂȘmes un principe d’action qui nous soit propre et que rien ne commande impĂ©rativement une Ăąme, un esprit... LĂ  est le problĂšme quand nous agissons, il y a “quelque chose” en nous qui nous fait croire que notre action aura les rĂ©sultat que nous espĂ©rons. Or nous ne connaissons pas assez l’ordre des causes et des effets pour savoir prĂ©cisĂ©ment quel sera le rĂ©sultat de notre action une cause est suivie d’un effet, qui lui-mĂȘme est une cause, suivie d’un effet, qui lui-mĂȘme est cause.... et ainsi de suite Ă  l’infini ! comment s’y retrouver quand, de surcroĂźt, une infinitĂ© de causes se conjuguent ensemble et interagissent les unes sur les autres! nous agissons comme en aveugles,et nous prĂ©tendons pourtant responsables de nos actes. Il faut donc que nous connaissions assez le futur pour nous y prĂ©parer -et puisque la connaissance de la causalitĂ© s’avĂšre insuffisante, il faut que cette connaissance soit intuitive. D’oĂč des rituels qui parfois peuvent paraĂźtre dĂ©nuĂ©s de sens, mais qui ont leurs effets, aussi incroyable que cela paraisse. Un participant nous a expliquĂ© qu’enfant il avait de grosses verrues aux genoux sa grand-mĂšre lui dit que depuis toujours on se dĂ©barrassait des verrues en jetant des haricots dans la mare. Ce qu’il fit effectivement, ses verrues disparurent rapidement. Il ne renouvellerait pas l’expĂ©rience, Ă  prĂ©sent qu’il est adulte, mais il en conserve un doute persistant et si, pour une raison qui nous Ă©chappe, le fait qu’il ait jetĂ© des haricots dans une mare avait effectivement Ă©tĂ© pour quelque chose dans la disparition de ces verrues ? Rien ne le prouve, mais rien ne l’empĂȘche absolument. La premiĂšre fois que j'ai animĂ© un dĂ©bat sur ce thĂšme, c'Ă©tait au CafĂ© de Rouen, le 15 avril 1997. Au sortir de ce dĂ©bat, j'ai longuement admirĂ© le vol d'un canard, en me demandant si son vol Ă©tait une cause insignifiante pouvant avoir des effets incontrĂŽlables. J'appris, en rentrant Ă  Paris, que le PrĂ©sident Jacques Chirac avait dĂ©cidĂ© de dissoudre l'assemblĂ©e nationale. Comme par hasard ! François Housset Ă  ce propos “Quand je trouve un mĂ©canisme lĂ  oĂč j’aurais cherchĂ©, lĂ  oĂč j’aurai du rencontrer, semble-t-il, une intention, c’est ce que j’exprime en parlant de hasard” Bergson, L’évolution crĂ©atrice DĂ©finition du hasard “le concours de deux ou trois Ă©vĂ©nements contingents, chacun desquels a ses causes, en sorte que leur concours n’en a aucune que l’on connaisse” Jean de La Placette, TraitĂ© des jeux de hasard “La hasard, en dĂ©finitive, c’est Dieu.” Anatole France, Le Jardin d’Épicure. “... Il n’y a point de hasard tout est Ă©preuve, ou punition, ou rĂ©compense, ou prĂ©voyance.” Voltaire, Zadig ou la destinĂ©e, l’ermite. “Ne parlons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d’un nom dont nous couvrons notre ignorance.” Bossuet Discours sur l’Histoire universelle, 3Ăš partie, 8Ăš chapitre. “Le hasard est le plus grand romancier du monde pour ĂȘtre fĂ©cond, il n’y a qu’à l’étudier.” HonorĂ© de Balzac, La ComĂ©die humaine, Avant-propos “L’idĂ©e de hasard est l’idĂ©e de rencontre entre des faits rationnellement indĂ©pendants les uns des autres, rencontre qui n’est elle-mĂȘme qu’un pur fait, auquel on ne peut assigner de loi ni de raison.”Cournot, TraitĂ© de l’enchaĂźnement des idĂ©es fondamentales dans les sciences et dans l’histoire. “Un hasard n’est rien pour une Ăąme froide ou distraite; il est un signe divin pour une Ăąme obsĂ©dĂ©e.” Ernest Renan, Vie de JĂ©sus, prĂ©face de la treiziĂšme Ă©dition “Il n’y a pas de hasard, parce que le hasard est la Providence des imbĂ©ciles, et la Justice veut que les imbĂ©ciles soient sans Providence.” LĂ©on Bloy, Le Mendiant ingrat, prĂ©face. Spinoza l’idĂ©e de hasard rĂ©sulte du fait que notre connaissance est imparfaite “l’ordre des causes nous Ă©chappe” au point qu’une chose peut paraĂźtre n’ĂȘtre ni nĂ©cessaire ni impossible. Éthique I, proposition 33, scolie 1.

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