Informationsur le lancement du projet d'établissement et mise en place des groupes de travail. Information de M. Loncle sur son projet en lien avec sa formation d'animateur coordinateur. Point sur les travaux réalisés en 2019 et les travaux en cours en 2020. Point sur le déploiement du Dossier Médical Partagé.

Marie a lutté pendant quatre ans contre ses troubles du comportement alimentaire. Dans cette lettre ouverte, elle a voulu retranscrire tout ce qu'elle aurait eu besoin d'entendre lorsqu'elle était malade. Car non, l'anorexie et la boulimie ne sont pas des "caprices de petite fille qui refuse de manger". Jusqu'à ce que je tombe moi-même malade, je pensais que les troubles du comportement alimentaire n'arrivaient qu'aux autres. Puis, j'ai pensé que je ne pourrais jamais guérir. L'une de mes amies est décédée à 20 ans suite à des complications liées à cette maladie. J'ai vu des patientes se faire ré-hospitalisées de nombreuses fois et lu de nombreux témoignages à propos de personnes qui n'ont jamais pu guérir. A ce moment-là, j'aurais préféré qu'on me crie "Oui, c'est possible, tu peux t'en sortir !". Maintenant, c'est à mon tour de crier cette phrase aux malades. Je veux leur faire comprendre qu'elles/ils ne sont pas fous, comme je pensais l'être avant de rencontrer d'autres patientes. Cette lettre ouverte est également à destination de tous ceux qui voient l'anorexie comme un "caprice de petite fille qui refuse de manger." "S'il-te-plaît, prends soin de toi et de ton entourage" On ne réalise pas immédiatement qu'on est malade lorsqu'on commence à plonger dans l'anorexie. On a parfois besoin de beaucoup de temps et de l'aide de notre entourage. Durant plusieurs longs mois, je me suis prise la tête avec mes parents. Ils insistaient, ils me disaient que j'avais un problème et que j'avais besoin d'être aidée. Je répétais que j'avais le contrôle. J'y croyais vraiment. Je voulais perdre du poids et je le faisais. Un jour, mes parents m'ont proposé un deal "Si tu peux faire tout ce que tu veux, prouve-nous que tu peux reprendre du poids et on te laissera tranquille." Cela n'a pas marché comme je pensais. En réalité, je n'avais en réalité aucun contrôle sur mon corps. C'était plutôt ce contrôle qui me possédait. Si tu vois quelqu'un s'enfoncer dans les troubles du comportement alimentaire, s'il-te-plaît, aide-le à ouvrir les yeux. Les médecins ont dit à mes parents que j'avais eu de la chance qu'ils l'aient remarqué assez tôt. Plus tôt on commence à prendre en charge la maladie, plus on a de chances de s'en sortir. Évidemment, il est impossible de commencer à se battre contre la maladie en étant persuadé d'être et d'avoir tout sous contrôle. "Le problème n'est pas ton poids" Moins je mangeais, plus j'étais dégoûtée par la nourriture et par son odeur. Plus je perdais de poids, plus j'avais besoin de perdre de poids. Ce n'était jamais assez. Je me sentais toujours trop grosse. Lorsque j'atteignais mon objectif de poids, je m'en fixais immédiatement un nouveau, toujours plus bas. Je pinçais mon corps, à la recherche de la moindre trace de gras. Cela ne s'arrêtait plus il est impossible d'atteindre un objectif qui évolue en permanence. Se figurer ce paradoxe est très compliqué lorsqu'on est malade. Mais une fois que tu l'as compris, tu peux enfin réaliser que le problème n'est pas ton poids mais ta maladie mentale. "Ne me dis pas que je n'"avais qu'à manger"" Je sais que certaines personnes en sont persuadées. Ça m'horripile. S'"il suffisait de manger", je suppose qu'on serait nombreuses et nombreux à l'avoir fait avant d'être ou avant de mourir. Il n'y a pas que la nourriture qui est en jeu, il y a aussi la haine de soi. J'avais l'impression d'avoir constamment deux voix dans ma tête. Une m'affirmait que je devais stopper cette maladie, l'autre m'y enfonçait encore plus. J'avais froid tout le temps, j'avais mal au ventre, j'ai arrêté d'avoir mes règles, j'ai perdu beaucoup de cheveux, j'avais des crampes et la tête qui tourne. Mais le pire se passait dans ma tête. Quand je sentais que mon corps était faible, une partie de moi me disait "C'est bien, ça veut dire que tu le pousses à bout". Lorsque je me forçais à manger, une voix m'encourageait parfois "C'est bien tu te rapproches de la guérison". Une autre me répétait "Tu es dégoûtante, tu devrais avoir honte, tu t'éloignes de ton objectif. Ton objectif est de perdre du poids !" Je recherchais un moyen d'éliminer les calories en même temps que je les ingurgitais. Je pensais que j'étais folle en me battant contre moi-même, avec ces deux voix incompatibles dans ma tête. Il m'arrivait de ne plus savoir contre quoi et pour quoi je me battais. J'avais le sentiment que si mon corps avait assez d'énergie pour être en bonne santé, cela rendrait mon esprit encore plus malade, malade de honte. Comme si mon corps et mon esprit étaient deux entités complètement distinctes et qu'elles ne pourraient jamais se sentir bien en même temps. J'avais honte de mon corps. Si je gagnais du poids, je me sentais imprésentable. Après avoir réussi à manger, ne serait-ce qu'un peu, je ne pouvais penser à rien d'autre que ce que je venais d'avaler, comment je devais le dépenser et à ces sentiments de dégoût et de haine envers moi-même. Cela prenait toute la place dans mon esprit. Quand tu es en colère contre une personne, tu as la possibilité de la confronter pour extérioriser, ou du moins de limiter le contact. Le problème quand tu te hais est que tu ne peux pas t'échapper de toi-même. Je détestais mon corps et j'étais bloquée à l'intérieur de celui-ci. "Ce n'est pas toi qui as le contrôle" La maladie me poussait à "garder le contrôle sur mon corps", mais en réalité je n'en avais aucun. Lorsque je gagnais un peu de poids, même si ce n'étaient que quelques grammes, mes ongles s'enfonçaient dans ma peau et mes jambes s'agitaient frénétiquement, comme si elles voulaient s'éloigner de mon corps. Je ne pouvais pas penser à autre chose qu'à mon poids, comment perdre des calories, les excuses que j'allais utiliser pour sauter les repas, le poids qui s'afficherait sur la balance la prochaine fois que je monterai dessus. Je faisais des cauchemars à propos de la nourriture. Le matin, le chiffre affiché sur la balance déterminait l'ensemble de ma journée. Exemples parmi tant d'autres je ne m'asseyais dans le couloir avec les autres élèves car rester debout me permettait de brûler plus de calories. Je refusais de sortir avec mes car je savais qu'à un moment de la journée, ils allaient vouloir manger. La maladie ne faisait pas partie de ma vie, la maladie était ma vie. Si tu as vraiment le contrôle, tu devrais être capable de vivre sans tout calculer par rapport à ton poids. "L'anorexie te ment" Quand des personnes me touchaient, même pour quelques secondes, je me demandais, inquiète "Est-ce qu'ils ont senti mon gras ?". J'avais peur qu'on me regarde, j'avais honte. Je pensais qu'ils examinaient à quel point j'étais grosse. Maintenant je comprends que c'était le contrôle ils me regardaient parce que j'étais anormalement maigre. "L'hôpital craint mais peut aussi te sauver" J'ai été hospitalisée contre mon gré dans un centre spécialisé dans le traitement des troubles de conduite alimentaires Je me suis enfuie au bout d'un mois. Je ne pouvais ni voir ni parler avec ma famille ou mes Les ont pris mon téléphone. Je pouvais écrire des lettres, mais pas en recevoir. Je ne pouvais pas jouer de la musique, je ne pouvais pas sortir. Ils m'ont même confisqué mes livres scolaires. Tout était lié au contrat de poids déterminé par le médecin. Les me posaient énormément de questions. J'avais l'impression qu'en plus de me changer physiquement, ils cherchaient à me changer psychologiquement. Ils voulaient me donner des médicaments pour m'aider à me détendre. Je refusais, pensant qu'ils voulaient me shooter. C'était la pire période de ma vie. Cependant, certaines personnes, hospitalisées au même endroit que moi, affirment que sans cet endroit, elles ne seraient probablement plus en vie. Quant à moi, j'avais si peur d'y retourner que cela m'a motivée pour guérir. "Tu n'es pas Pour mes proches qui ne souffraient pas de troubles de comportement alimentaire, il était extrêmement compliqué d'arriver à me comprendre. A l'hôpital, j'ai vu d'autres malades. J'ai finalement rencontré des personnes qui me comprenaient. C'était la confirmation que je n'étais ni seule, ni folle. Avec certaines on s'est promis qu'on serait toujours là les unes pour les autres. "Toujours" est un bien grand mot, mais dans ma tête je ne voyais pas d'autres possibilités. Leur courage me boostait. Parfois, je me disais "Elles essaient très fort de s'en sortir, je ne devrais pas abandonner. Si je peux m'en sortir, je vais le faire." "Prends la boulimie au sérieux" Globalement, les gens semblent être plus informés au sujet de l'anorexie que de la boulimie. Les deux maladies peuvent faire énormément de mal. J'ai commencé à faire des crises de boulimie après mon hospitalisation. Je pouvais avaler le contenu entier du placard de petit déjeuner familial, assise sur le sol. Je n'avais même pas le temps de finir d'avaler que ma main plongeait de nouveau dans le paquet. Mon esprit me hurlait d'arrêter mais je n'y arrivais pas, jusqu'à avoir mal au ventre ou que quelqu'un entre dans la pièce. J'ai commencé à me faire vomir. Je pouvais faire des crises et vomir plusieurs fois par jour. J'avais tellement honte de moi. Je ne voulais pas manger, cela ne me procurait aucun plaisir mais je ne pouvais pas me contrôler. Parfois, alors que j'essayais d'éviter une nouvelle crise, je tournais en rond dans la cuisine, en ouvrant et fermant les placards de nourriture, encore et encore. Les crises de boulimie et les périodes de jeûne s'alternaient. A ce moment là, je pensais que jeûner était l'unique moyen d'être libre. Libre de penser à autre chose que ce à quoi je venais de manger. Libre de penser à autre chose qu'à vomir le plus vite possible, quels que soient le moment et le lieu. Libre du duel "c'est bien – non c'est une honte" qui avait lieu dans ma tête presque à chaque fois que je mangeais quelque chose. Libre du risque de faire une autre crise de boulimie. Libre de faire autre chose que manger et vomir. C'était une fausse liberté, encore ce faux sentiment de contrôle. Ce coup-ci, plus je me restreignais, plus mon corps me demandait de la nourriture, des réserves, ce qui provoquait des crises de boulimie. Se restreindre n'est pas une solution. La nourriture est essentielle pour survivre. La guérison est essentielle pour vivre. "Fais attention à tes commentaires" Quand j'ai commencé à reprendre du poids, j'avais l'impression de recevoir un coup à chaque fois qu'une personne me disait "Tu as l'air d'aller mieux !". Pour eux, c'était sans doute un compliment mais je le recevais comme une insulte. J'avais l'impression que c'était une manière de me dire que j'avais gagné du poids et que c'était flagrant. Les personnes qui souffrent de trouble du comportement alimentaire n'ont pas nécessairement l'air maigre, d'autant plus si elles sont boulimiques. Quand anorexique reprend du poids, cela ne veut pas dire qu'elle/il est Le corps n'est pas le seul qui doit guérir, l'esprit doit aussi le faire et le chemin est long. Lorsque j'essayais de me forcer à manger, la pression était encore plus forte lorsque des personnes me regardaient ou commentaient mes progrès. Je me créais déjà suffisamment de pression toute seule, pas besoin d'en rajouter. Entendre "Oh, tu as mis de la sauce dans ta salade aujourd'hui !" rend juste les choses plus difficiles. S'il-te-plaît, ne te moque pas du poids d' autre. N'encourage personne à perdre du poids. Pour moi, les troubles du comportement alimentaire ont commencé après un régime. Il m'a fallu plusieurs années pour en guérir. "Tu peux en mourir" Je le savais mais je ne voulais pas y croire, jusqu'à ce que mon amie meure. Elle voulait vivre mais elle était devenue trop faible. Fais attention, vraiment. "Tu peux t'en sortir, je te le promets" Je me suis battue contre les troubles du comportement alimentaire pendant quatre ans. Je pensais que je pourrais jamais être guérie. Je me suis enfuie de l'hôpital en pensant que je n'arriverais jamais à atteindre l'objectif de poids déterminé par le médecin et que je resterais donc enfermée pour le restant de mes jours. Je me suis sentie vraiment impuissante et il m'est arrivé de penser à mourir. Je voulais m'affamer à mort pour garder cette fausse impression de contrôle. J'avais l'impression que si je ne le faisais pas, si je gagnais du poids la maladie me tuerait mentalement. Je pensais que je ne comprendrais plus jamais ce que c'est de marcher sans penser aux calories brûlées ; ou de manger par plaisir et non pas avec honte et à cause des crises de boulimie. J'ai eu des hauts et des bas pendant quatre ans. J'ai cru que cela s'arrêterait jamais. Mais ça c'est arrêté. S'il-te-plaît, n'abandonne jamais. Cela peut prendre du temps mais je te le promets ça vaut le coup. "N'aie pas peur de guérir" A un moment, je pensais que si je laissais l'anorexie s'en allait, je n'aurais plus aucun but. L'anorexie a occupé toutes mes pensées pendant longtemps. Elle me 'guidait' et dirigeait toutes mes journées. J'avais peur de me sentir vide. Pas "vide" sans nourriture, mais sans sens, sans guide. Je n'arrivais pas à me souvenir de ma vie avant la maladie. Maintenant je peux te l'affirmer il y a énormément de moyens de profiter de la vie quand on est en bonne santé. Marie Verger.

Pour me donner la parole, faire entendre ma voix, mes besoins et mes attentes. •Pour m’informer, m’écouter et recueillir mes questionnements et mon ressenti. •Pour prendre part à la vie et au bon fonctionnement de l’établissement et des services (modifications des conditions de prise en charge, modalités des

Nédonchel employé à l’EHPAD mais privé de travail, Albert Jones n’entend pas se laisser faire Employé de l’établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes EHPAD, Albert Jones se voit depuis neuf mois interdire l’accès à son lieu de travail. Après les lettres et les appels, c’est à la justice que le Lillérois en appelle aujourd’hui. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter

EnEhpad, une instance existe pour cela : le conseil de la vie sociale (CVS), dont tout Ehpad a l’obligation de se doter. Mais ces CVS ont du mal à devenir l’outil démocratique qu’ils devraient être. Aidons-les à cela. Faisons en sorte que les résidents y soient vraiment représentés. Combien sont-ils à être intégrés Ce point est plusieurs fois évoqué lors de réunions Inter CVS. La loi de 2002 a prévu, un collège spécifique pour la représentation du personnel au sein du CVS. Leur présence à coté de la représentation des résidents, des familles et de l’organisme de la direction est nécessaire. Cela leur permet d’entendre et de comprendre les remarques et propositions des usagers pour le bon fonctionnement de l’ ils peuvent émettre leurs avis et propres observations sur les points de vue des usagers. Certes, leur posture, n’est pas toujours évidente, car la CVS n’est pas une instance de défense et de représentation du personnel, ni un lieu d'échanges sur leurs pratiques professionnelles en tant que telles et de ce fait ils peuvent être parfois en porte à faux » entre leur avis et celui des autres membres du plus, l’horaire de la réunion du CVS et la charge de travail, si leur absence n’a pas été organisée, ne facilite pas leur participation. Le président du CVS doit intervenir auprès de la direction pour faciliter leur est que les représentants du personnel et les représentants des résidents et des familles puissent se connaître et s’apprécier par le dialogue au sein du CVS. Une reconnaissance de leurs compétences et de bonnes conditions de travail contribuent au bien- être et à la bientraitance des Comme pour les représentants des résidents et des familles, ils peuvent émettre un avis et voter lorsque cela s'avère nécessaire
LeConseil de la vie sociale (CVS) est un relais pour faire entendre la voix du résident ou de sa famille. Il est obligatoire dans toutes les maisons de retraite. Il doit comprendre au moins deux représentants
Structurer l'ordre du jour Le champ d’intervention d’un conseil de vie la sociale est large. Il est nécessaire de structurer l’ordre du jour, le déroulé de la réunion et son compte rendu. Cela favorise un dialogue constructif et respectueux de toutes les attentes et propositions. Des recommandations pour l’ordre du jour Eviter des formulations de points à l'ordre du jour accusatrices, bloquantes ou affirmatives, et privilégier plutôt des formules interrogatives permettant d'approfondir un dysfonctionnement, des propositions et de rechercher par le dialogue des solutions. Classer les questions selon les thèmes suivants -Informations générales sur la situation et l’évolution de l’établissement Nombre de résidents entrées et sorties, de personnels, remplacements, absentéisme, situation financière, travaux à venir, contrat de séjour, projets… -Accompagnement, vie sociale et bientraitance Questions relatives à la restauration, l’animation, projets de vie, toilettes, couchages, relations avec le personnel et entre résidents, ateliers thérapeutiques, place des bénévoles existence ou non d’une charte des bénévoles... -Parcours de soins Questions relatives à la prise en charge médicale, aux soins infirmiers, prévention de la déshydratation de la dénutrition et des chutes, protocole de prise en charge de la douleur, soins bucco dentaires, troubles de la déglutition, hygiène, prothèses, hospitalisations, interventions des équipes mobiles, télémédecine… - Installations, locaux et matériels Questions relatives à la sécurité et à la qualité des infrastructures des parties communes internes et externes et des chambres, éclairage, chauffage… Lits et matériels médicalisés, appels malades, téléphone… Le compte rendu du CVS Le compte-rendu, plus qu’un procès verbal, est important. Il donne la possibilité de refléter la vie sociale de l’établissement. Il assure une trace écrite des avancées ou des reculs en matière de bientraitance. Le compte-rendu est de la compétence des élus du CVS et de son président. Des recommandations Réaliser un compte-rendu précis de la réunion par un élu du CVS Penser à un ou des élus preneurs de notes pendant la réunion. Vérifier ensuite avec d’autres élus son contenu. Valider par courriel avec la direction et les autres membres du CVS, au cours du mois, sans attendre le prochain CVS , Respecter la confidentialité des débats, sans nommer des personnes Joindre éventuellement au compte-rendu un sommaire ou une synthèse des points abordés pour faciliter une lecture rapide. Obtenir de la direction un panneau libre d’affichage des élus du CVS. Afficher le compte-rendu dans le hall d’entrée de l’établissement et faire diffuser, par un élu, aux familles par voie électronique. Relater les décisions ou l’ordre du jour du CVS dans un article du journal interne des résidents ou sur site web existant avec l’accord de la direction Transmettre dans certains cas le compte-rendu validé aux tutelles conseil départemental et/ou à l’ARS Des conseils sur la forme du compte rendu Date de la réunion CVS, participants Demandes et avis des résidents et des familles Réponses de la direction Commentaires des élus du CVS Informations générales Questions…. Accompagnement, vie sociale et bientraitance Questions … Prévention dans le parcours de soins et de santé Questions. Installations, locaux, matériels Questions … Points en attente de règlement Questions... Points divers
Leconseil de la vie sociale (CVS) : faire entendre sa voix Le Conseil de la Vie Sociale est un lieu d’échange et d’expression sur toutes les questions intéressant le fonctionnement de
16 décembre 2016 5 16 /12 /décembre /2016 1733 EHPAD St Jacques de COMPOSTELLE71 / 73 route des Lacs - 33780 SOULAC SUR MER 05 56 73 50 50 - 7 05 56 41 45 64e-mail contact DE VIE SOCIALERELEVE DE CONCLUSIONS DU 18 OCTOBRE 2016_______________________Le dix huit octobre deux mille seize à dix heures, le Conseil de la Vie Sociale de l’EHPAD Saint jacques de Compostelle de SOULAC SUR MER 33780 s’est réuni, au lieu habituel des séances sous la Présidence de Madame Denise PRESENTS Madame Denise GAUTRAUD, Présidente, représentante des personnes accueillies ou prises en soinsMonsieur Robert ROUHAUD, représentant des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Bernadette RAOULT, représentante des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Eliane JACOB, Viceprésidente, représentante des familles ou des représentants légaux,Madame Monique BAHOUGNE, représentante des familles ou des représentants légaux,Madame Sandra REYREAUD, représentante du personnelMonsieur Claude MARTIN, membre désigné par le Conseil d’Administration en sa qualité de représentant de la commune de SOULAC S/MER,ETAIENT EXCUSES Membre avec voix délibérative Membre avec voix consultative Monsieur Stéphane PICHON, directeurASSISTAIENT A LA SEANCE Avec voix consultative Monsieur Olivier SIMON, directeur adjoint A titre consultatif et sans voix consultative Mme Camille MIQUAU, animatriceMadame Béatrice BERTAUD, cadre de santé- Dr Jean-Marie BLAISE, médecin coordonnateurMonsieur Gérard MASSE, responsable de la logistiqueSecrétaire de séance non désigné, secrétariat assuré par un membre de l’administration désigné par le directeur Mademoiselle Laurine PLACIDO, adjoint administratif hospitalier,___________________ORDRE DU JOUR1 – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 21 JUIN 20162 – INFORMATION SUR LE PROJET D’ETABLISSEMENT3 – BUDGET 20174 – MODIFICATION DES DOCUMENTS INSTITUTIONNELS5 – INFORMATION SUR LA TRANSFORMATION DE LA CAPACITE DE L’ETABLISSEMENT6 – INFORMATION SUR LE PRELEVEMENT AUTOMATIQUE7 – INFORMATION SUR LE PROJET DE SECURISATION DE L’ETABLISSEMENT8 – INFORMATION SUR LE CAFE GOURMAND DU 6 NOVEMBRE AVEC LES FAMILLES9 – INFORMATION SUR L’HOMMAGE AUX DEFUNTS DU 3 NOVEMBRE10 - SUJET A LA DEMANDE DES REPRESENTANTS DES FAMILLES11 - SUJET A LA DEMANDE DES REPRESENTANTS DES RESIDENTS__________________Monsieur le directeur adjoint fait part des excuses de M. PICHON qui n’a pu assister à la séance. – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 2 JUIN 2016Le compte rendu de la séance du 21 juin 2016 est adopté à l’unanimité par les membres du Conseil de la Vie Sociale. – INFORMATION SUR LE PROJET D’ETABLISSEMENTMonsieur SIMON indique que le personnel ainsi que les résidents ont bien participés au projet d’établissement. Il souhaitait un projet d’établissement simple avec des actions ciblées et réalisables. Ce document reprend pour chaque volet les points forts, l’organisation actuelle, les axes d’amélioration ainsi que le résultat attendu, et de ce document en découle un calendrier avec des échéances pour chaque action. Monsieur SIMON précise que certains objectifs pourront encore évoluer. Monsieur SIMON signale que Monsieur PICHON trouve ce projet d’établissement particulièrement ambitieux. L’établissement a donc les 5 ans à venir pour mettre en place toutes les actions à réaliser. Madame REYREAUD trouve que ce document est très synthétique et du coup facilite sa membres du Conseil de la Vie Sociale approuvent le projet d’établissement 2017-2021. – BUDGET 2017A compter du 1er janvier 2017, la loi sur le vieillissement fait passer l’établissement sur un système d’EPRD état prévisionnel des recettes et des dépenses, ce qui implique une gestion différente. On ne parlera plus de compte administratif mais d’ERRD état réalisé des recettes et des dépenses. Aujourd’hui, on regarde ce que l’on aura comme dépenses sur l’année et l’on demande les tarifs de façon à ce que cela couvre les dépenses. A l’avenir, il faudra estimer le nombre de journée pour qu’ensuite le Conseil Départemental et l’ARS fixe le prix de journée. En multipliant le tarif par le nombre de journée estimé, on aura connaissance du budget de l’établissement. La direction devra faire en sorte d’être vigilent au regard des dépenses de façon à maintenir un équilibre niveau du budget soins et dépendance, il sera maintenu sous forme de budget 2017 a été établi en prenant en compte la transformation de la capacité de l’établissement et en intégrant très peu de mesure nouvelle. L’établissement a fait la demande auprès de l’ARS de la prise en charge des travaux de l’hébergement temporaire et de la place d’accueil d’urgence social. La proposition qui a été faite auprès du Conseil Départemental est de € en plus sur le prix de journée actuel. S’il n’y avait pas eu de modification d’accueil de jour en hébergement temporaire l’augmentation aurait été de €. Il a été demandé l’inscription de 4 000 € au groupe 3 pour couvrir les dépenses liées à l’acquisition du nouveau logiciel de à l’EPRD, l’établissement connaîtra à l’avance son prix de journée sur 5 ans. Monsieur MARTIN trouve cette gestion difficile car ça va devoir obliger les EHPAD à faire une sélection par rapport au degré de dépendance des futurs résidents, suivant la politique de l’établissement. Madame BERTAUD pense également que la gestion des admissions risque d’être compliquée, d’autant plus que les demandes que nous recevons à ce jour correspondent à des profils assez lourds de part une charge en soins très si l’EHPAD a un résultat excédentaire c’est le Conseil Départemental qui décide de l’affectation de l’excédent, alors qu’avec le nouveau système le directeur pourra décider de l’ membres du Conseil de la Vie Sociale prennent acte du budget prévisionnel 2017. – MODIFICATION DES DOCUMENTS INSTITUTIONNELSDes modifications ont été apportées au contrat de séjour / règlement de fonctionnement de l’établissement, notamment sur la personne de confiance, les directives anticipées, le prélèvement automatique et la GAUTRAUD demande qu’elle est la fréquence d’utilisation de la télémédecine ? Le Docteur BLAISE signale que les médecins traitant continuent de travailler avec la Clinique de Lesparre. Cependant, les quelques consultations qui ont eu lieu à l’EHPAD, ont été très bien réalisées et le suivi a été satisfaisant. Les membres du Conseil de la Vie Sociale approuvent les membres du Conseil de la Vie Sociale prennent acte des modifications portées sur les documents institutionnels. – INFORMATION SUR LA TRANSFORMATION DE LA CAPACITE DE L’ETABLISSEMENTLe nombre de place d’accueil de jour pour un établissement est fixé à 6 places minimum. L’EHPAD ne dispose que de 2 places qui seront supprimées au 1er janvier 2017. Messieurs PICHON et SIMON ont demandé la transformation de la capacité de l’EHPAD, en demandant la création de 2 places d’hébergement temporaire supplémentaire à la place des 2 accueils de jour. L’une serait sur l’hébergement traditionnel à l’étage, à la place de la balnéothérapie, et l’autre sur l’unité protégée à la place de l’espace d’accueil de jour. Cette place pourrait éventuellement être dédiée à un accueil d’urgence social le temps de l’aménagement du domicile par exemple …. Il faut que l’équipe de direction s’entende avec l’ARS de façon à ce que l’accueil d’urgence ne soit pas pris en compte dans le taux d’activité car elle servira uniquement pour de l’urgence de maximum 3 mois un accompagnement avec la MAIA pourra éventuellement être mis en place. – INFORMATION SUR LE PRELEVEMENT AUTOMATIQUEAfin de faciliter le règlement des factures d’hébergement, l’EHPAD propose un nouveau moyen de paiement à compter du 1er janvier 2017 le prélèvement automatique. Il suffit de remplir le mandat de prélèvement SEPA, qui sera envoyé avec les prochaines factures afin d’autoriser le prélèvement, charge à l’établissement d’envoyer l’avis de sommes à payer où figurera le montant ainsi que la date de prélèvement. Ce système permet de faciliter le paiement pour les familles qui sont à distance ou des résidents qui souhaitent être rassurés en sachant que le paiement sera fait automatiquement. Les retours sont plutôt favorables. A ce jour, la date de prélèvement n’a pas encore été définie mais elle sera surement autour du 15 du mois. Monsieur SIMON précise qu’il n’est possible de faire qu’un seul prélèvement par résident. – INFORMATION SUR LE PROJET DE SECURISATION DE L’ETABLISSEMENTMonsieur MASSE explique que suite au plan Vigipirate, l’établissement a reçu une demande du ministère pour sécuriser au mieux l’EHPAD. Un travail est actuellement réalisé sur la projection de la sécurisation de l’établissement, voir les dispositifs existants et ce qui peut être mis en œuvre. On peut se poser éventuellement la question du filtrage des allers et venues de l’entrée mise en place d’une caméra sur le poste de travail de l’accueil ?. Ce dispositif permettra de sécuriser aussi bien les résidents que le personnel. Par exemple, pour les vestiaires ne faudrait-il pas installer un digicode avec une carte magnétique pour sécuriser l’accès. En cas d’alerte, comment prévenir l’ensemble du personnel et des résidents ? Une réflexion sur la mise en place à l’accueil d’un bouton d’urgence » peut être envisagée. Le poste de l’accueil n’étant pas occupé le week-end, comment peut être fait le filtrage des allers et venues ? – INFORMATION SUR LA REUNION AVEC LES FAMILLES FIXEE LE 6 NOVEMBREMonsieur SIMON indique que ce café gourmand est un moment d’échange avec les résidents et les familles sur les thématiques souhaitées. Monsieur BAHOUGNE signale que l’année dernière ce moment avait été très apprécié. – INFORMATION SUR L’HOMMAGE AUX DEFUNTS DU 3 NOVEMBREL’hommage aux défunts consiste à mettre en place une cérémonie d’hommage aux résidents décédés au cours de l’année. Cela permet de se donner un temps pour se souvenir des résidents qui nous on quittés, et d’autre part cette cérémonie rend ce moment plus solennel et lui donne un côté humain et non religieux. Le service animation travaille actuellement dessus, en créant des portraits de chaque résident qui nous ont quittés. Les familles des résidents décédés ont été invitées à participer à ce moment, qui se terminera par le partage d’un café. Monsieur SIMON comprend bien entendu si les familles ne souhaitent pas participer à cette cérémonie. Suivant le retour de cet essai » ce moment sera renouvelé l’année prochaine. - SUJET A LA DEMANDE DES REPRESENTANTS DES FAMILLESEntretien des espaces communsLes représentants des familles trouvent qu’il y a eu une belle amélioration sur le nettoyage de certains espaces communs tel que les couloirs et les sanitaires. En revanche, ils ont trouvé que les ascenseurs sentaient parfois mauvais et que la poubelle à l’entrée de l’établissement n’était pas toujours vidée. Monsieur SIMON rappelle que le service d’hygiène des locaux est présent de 7h30 à 15h30. En dehors de cette plage horaire, c’est au personnel soignant d’intervenir. Une sensibilisation du personnel soignant sera faite à ce sujet. Madame BERTAUD ajoute qu’au mois de septembre, il y a eu beaucoup d’arrêts maladie, d’où parfois une orientation des effectifs plus axé sur l’accompagnement des résidents et moins sur l’entretien. En plus des panneaux de traçabilité au niveau du nettoyage des chambres, certains panneaux supplémentaires seront mis en place dans les espaces communs comme les concernant le linge des résidentsMadame BAHOUGNE indique qu’il y a eu une bonne amélioration au niveau de la lingerie, cependant il est arrivé à plusieurs reprises qu’il n’y avait plus de linge dans l’armoire de son parent, ce qui oblige le personnel soignant à aller en lingerie chercher des vêtements. Monsieur SIMON ajoute qu’il faut savoir si le problème vient du trousseau, qui initialement n’est pas assez conséquent ou si c’est un problème de fréquence lavage+distribution ? Monsieur MASSE demande s’il y a des erreurs dans la distribution ? Les représentants des familles et des résidents confirment que oui. Monsieur SIMON indique qu’il faudrait trouver un moyen pour faciliter les échanges avec la lingerie lorsqu’un problème est devenir de la boutiqueMadame BAHOUGNE souhaitait savoir si à ce jour une solution avait été trouvée pour maintenir la boutique au sein de l’EHPAD. Monsieur SIMON indique que pour l’instant il n’a pas eu de retour de l’association. Tout le monde est d’accord sur le fait que cette boutique est un service en plus pour les résidents. Monsieur SIMON pense que l’organisation de la boutique doit être repensée, et pourquoi ne pas supprimer les murs afin de faciliter la circulation. - SUJET A LA DEMANDE DES REPRESENTANTS DES RESIDENTSMonsieur ROUHAUD signale que M. B. crie souvent la nuit, ce qui est pénible pour les voisins de chambre. Monsieur SIMON indique qu’il va revoir cette situation avec le médecin traitant, mais qu’au final il a été constaté que l’origine des cris de ce monsieur est du fait qu’il souhaite avoir une problème du chien est de nouveau soulevé. Plusieurs résidents se sont plaints qu’à plusieurs reprises ils ont vu certains soignants toucher le chien de Mme A., et administrer ensuite des médicaments aux résidents sans s’être désinfectées les mains au préalable. Monsieur SIMON indique que pour certains résidents, le simple fait de la présence du chien au restaurant les gêne. Un rappel aux règles d’hygiène des mains sera fait auprès de l’ensemble du poste de psychologueMonsieur SIMON présente la nouvelle psychologue, Marie-Laure BERDEU, qui sera présente sur l’établissement à 50 % soit le mardi et vendredi. Elle bénéficie d’une formation de psycho gérontologue et travaille sur un autre EHPAD à Martignas. Elle a pour mission première l’élaboration des PAP projet d’accompagnement personnalisé, ancien PVI projet de vie individualisé.L’entretien du restaurantMadame RAOULT signale que le sol du restaurant n’est parfois pas toujours bien propre. Monsieur SIMON signale que d’ici 15 jours, l’établissement reçoit un nouveau matériel à tester. Si celui-ci convient, le coût pour l’achat de cette machine sera de 1 800 €.Kinésithérapeutes et aménagement de la salle prévue à cet effetMadame RAOULT trouve la salle trop grande et très peu utilisée par les kinés. Monsieur SIMON indique qu’en effet, il faut rediscuter de l’objectif de cette salle actuellement 5 lits de stockés à l’intérieur ainsi que du bureau de l’intendante. Le Docteur BLAISE propose de voir avec les kinés pour savoir dans un premier temps si cette salle est adaptée et pourquoi est-elle si peu utilisée ? Monsieur MASSE indique que l’on pourrait voir pour mutualiser un poste de kinésithérapeute. Monsieur SIMON ajoute que si on choisit de mutualiser ce poste, du coup on supprime le libre choix du des chambresMadame GAUTRAUD indique que certains résidents demandent si le ménage des chambres peut être fait en respectant le moment de la sieste. Certains trouvent également que les poubelles de chambre ne sont pas vidées régulièrement. Dernièrement toutes les cuvettes » ont été changées, mais les dernières sont plus grandes. Certains résidents préféraient les anciennes qui étaient plus petites, est-il possible de remettre les anciennes aux résidents qui en font la demande. Monsieur SIMON répond qu’il n’y a aucun moment du petit-déjeuner, beaucoup de résidents trouvent que le lait à goût d’eau. Monsieur SIMON signale que le dosage va être revu. Il rappelle qu’une commission de restauration aura lieu pour les menus du 25 décembre 2016 et 1er janvier GAUTRAUD demande si pour le prochain vote électoral il serait possible que le bureau de vote qui se trouve à l’école de Soulac-sur-Mer soit transféré à l’EHPAD, de façon à faciliter le vote pour les résidents ? Monsieur SIMON trouve l’idée bonne, et se charge d’en faire la demande à Monsieur MIQUAU présente les animations qui auront lieu au cours du dernier trimestre semaine du goût, cinéma…. Chaque mois est organisé un groupe de parole sur le thème comment rester citoyen en étant en EHPAD ? ». En juin prochain, un colloque aura lieu avec les résidents qui ont participés à ces échanges dans la limite des places de véhicule disponible pour le transport, et à l’issu certaines idées seront retenues pour être mise en place. Le planning prévisionnel des animations sera joint au présent compte du jour étant épuisé, la séance est levée à 13h00. Madame Denise GAUTRAUD Présidente du conseil de vie sociale EHPAD St Jacques de COMPOSTELLE71 / 73 route des Lacs - 33780 SOULAC SUR MER 05 56 73 50 50 - 7 05 56 41 45 64e-mail contact DE VIE SOCIALERELEVE DE CONCLUSIONS DU 19 AVRIL 2016_______________________Le dix neuf avril deux mille seize à dix heures, le Conseil de la Vie Sociale de l’EHPAD Saint jacques de Compostelle de SOULAC SUR MER 33780 s’est réuni, au lieu habituel des séances sous la Présidence de Monsieur ROUHAUD Robert, puis de Madame GAUTRAUD PRESENTS Madame Denise GAUTRAUD, Présidente, représentante des personnes accueillies ou prises en soins,Monsieur Robert ROUHAUD, représentant des personnes accueillies ou prises en soins,Madame MarieLouise JAM, représentante des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Francine SANGUINET, Viceprésidente, représentante des familles ou des représentants légaux,Madame Monique BAHOUGNE, représentante des familles ou des représentants légaux,Monsieur Gérard MASSE, représentant du personnelMadame Béatrice BERTAUD, cadre de santéDocteur Jean-Marie BLAISE, médecin coordonnateurMadame Camille MIQUAU, animatriceETAIENT EXCUSES Membre avec voix délibérative Monsieur Claude MARTIN, membre désigné par le Conseil d’Administration en sa qualité de représentant de la commune de SOULAC S/MER,Madame Bernadette RAOULT, représentante des personnes accueillies ou prises en soins,Membre avec voix consultative Monsieur Stéphane PICHON, directeurASSISTAIENT A LA SEANCE Avec voix consultative Monsieur Olivier SIMON, directeur adjoint A titre consultatif et sans voix consultative Secrétaire de séance non désigné, secrétariat assuré par un membre de l’administration désigné par le directeur Mademoiselle Laurine PLACIDO, adjoint administratif hospitalier,___________________ORDRE DU JOUR1 – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 19 JANVIER 20162 – COMPTE ADMINISTRATIF 20153 – NOUVEAU REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL DE LA VIE SOCIALE4 – INFORMATION SUR LE PASSAGE A LA HD5 – PROJET VACANCES6 – PRESTATIONS REPAS7 – ENTRETIEN DES CHAMBRES8 – VOL DANS LES CHAMBRES9 – PROBLEME APPEL MALADE10 – ORGANISATION DU TRAVAIL DES EQUIPES__________________Monsieur le directeur adjoint fait part des excuses de Messieurs PICHON et MARTIN, et Madame RAOULT qui n’ont pu assistés à la séance et remercie Madame JAM d’être présente en tant que suppléante de Madame RAOULT. – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 9 JANVIER 2016Le compte rendu de la séance du 19 janvier 2016 est adopté à l’unanimité par les membres du Conseil de la Vie SIMON rappelle que lors de la dernière séance, Monsieur PICHON avait demandé à Monsieur ROUHAUD de quitter la salle du Conseil de Vie Sociale, suite à son comportement outrancier au regard de Mme R. Messieurs PICHON et SIMON ont reçu le 19 janvier même Monsieur ROUHAUD, en lui demandant de présenter ses excuses auprès de Mme R, sous peine d’être destitué de ses fonctions de président. Monsieur ROUHAUD confirme lors de la séance qui ne présentera pas ses excuses. Monsieur SIMON dessaisi donc Monsieur ROUHAUD de son rôle de est procédé à la nomination d’un nouveau président. Il s’agit de Madame GAUTRAUD qui est nommée à l’unanimité présidente. Monsieur SIMON l’encourage à inciter les résidents à participer à la vie sociale de l’EHPAD. – COMPTE ADMINISTRATIF 015Monsieur SIMON rappelle les deux échéances importantes du budget avril, où l’on présente le bilan de l’année écoulée et octobre où l’on adopte le budget à venir. Le budget est présenté au Conseil de la Vie Sociale, au Comité Technique d’Etablissement et adopté en Conseil d’Administration. Le compte de gestion est présenté par la Trésorière lors du Conseil d’Administration, celui-ci doit être identique au compte administratif de l’EHPAD. Sur 2015, il y a eu 31 admissions pour 29 sorties décès, retour au domicile, changement de structure. L’établissement accueille beaucoup de situation de rapprochement familial enfants ou petits-enfants sur le médoc. Malgré l’habilitation totale à l’aide sociale, le prix reste abordable car il y a seulement un tiers des résidents qui bénéficient de l’aide sociale. De plus en plus de résident bénéficie de mesure de protection, ce qui est un avantage pour l’établissement, car nous avons un référent légal pour échanger, charge à lui de transmettre l’information au reste de la famille. Depuis le 1er janvier 2016, la demande de mise sous protection juridique a été simplifiée, elle peut être demandée par le médecin coordonnateur de l’établissement. L’activité de l’établissement est stable en ce qui concerne l’hébergement permanent et temporaire avec respectivement un taux de 98% et 73%, et toujours en net replie pour l’accueil de jour taux de 14%. Concernant l’accueil de jour, il y a une forte méconnaissance de cette accueil sur le secteur, et beaucoup d’offre entre Soulac et Vendays, soit 12 au total et plus rien jusqu’à la limite de Blanquefort. L’ARS envisage de supprimer les deux places d’accueil de jour pour les remplacer par un accueil temporaire supplémentaire, ce qui n’aurait pas d’impact au niveau BAHOUGNE demande s’il n’y a pas la possibilité de faire également une place d’accueil permanent ? Monsieur SIMON signale qu’une autre place en hébergement permanent n’est pas envisageable de part les contraintes GAUTRAUD demande s’il y a beaucoup de délai pour être admis à l’EHPAD ? Monsieur SIMON répond qu’à ce jour c’est relativement rapide, environ 3 mois. Au niveau des effectifs, tout ce qui est autorisé à être dépensé est SANGUINET demande quand est-ce que les accidents de travail vont être régularisés ? Pour la personne du service lingerie, Monsieur SIMON signale qu’elle a régulièrement des expertises et jusqu’à présent à été déclarée inapte à la reprise. Pour la personne du service de nuit, le dossier est en cours de régularisation pour une retraite pour les recettes d’exploitations on constate un excédent de 3 000 €. Madame SANGUINET demande combien de temps sont valable les excédents ? Monsieur SIMON indique que les excédents sont valables à vie et doivent être réaffectés tous les 2 ans après leur constat. – NOUVEAU REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL DE LA VIE SOCIALEMonsieur SIMON explique qu’il existe un règlement du Conseil de la Vie Sociale propre à l’établissement mais que celui-ci n’est pas très formalisé. Après échange avec d’autres EHPAD, il présente et propose un nouveau règlement qui est adopté à l’unanimité. Le règlement sera joint au présent compte rendu et sera applicable au 1er mai 2016. – INFORMATION SUR LE PASSAGE A LA HDMonsieur MASE explique que suite à une décision des autorités nationales, la fréquence de réception des téléviseurs passe de SD à HD. Cela oblige l’établissement à réaliser des travaux de mise aux normes. Le coût est d’environ 20 000 € HT. Les travaux débuteront le 20 avril 2016. Un état des lieux de tous les téléviseurs sera fait. A l’issue, soit le téléviseur sera compatible et il pourra fonctionner correctement soit il faudra faire l’achat d’un démodulateur, qui sera à la charge de la famille, soit il faudra changer le téléviseur. Le réglage des téléviseurs et l’installation des démodulateurs sera assuré par le service technique. Monsieur SIMON rappelle que l’établissement doit fournir l’accès à la télévision mais n’est pas dans l’obligation de fournir le matériel. Madame BAHOUGNE demande si l’accès à CANAL+ est possible ? Monsieur MASSE répond que l’établissement n’est pas équipé pour, mais pourquoi pas fournir un accès sur l’un des téléviseurs de l’établissement. – PROJET VACANCESL’établissement adhère à l’AGIRA Association Gérontologique pour l'Innovation et la Recherche d'Animation en Gironde. Cette année l’établissement organise un séjour vacances au Souffle Vert à Cussac dans le département de la Corrèze du 29 août au 2 septembre 2016. Douze personnes pourront participer au voyage dont 3 accompagnants. Le coût est d’environ 3 000€ pour l’hébergement et les repas assuré par l’établissement. Le transport sera pris en charge par l’EHPAD ; seules les sorties payantes seront assumées par les résidents musée …. La liste des participants sera établit par le médecin coordonnateur, la cadre de santé et la direction. La possibilité d’une navette en cours de séjour va être étudiée de façon à ce que le maximum de résidents puisse participer. Ce qui fera un séjour de 2 jours et demi par résident. Le budget de l’animation ne sera pas impacté par ce voyage car c’est un budget supplémentaire qui a été SANGUINET signale qu’en général les résidents sont satisfaits de l’animation, seulement une minorité trouve que c’est toujours les mêmes résidents qui participent aux SIMON pense qu’il faudrait décentraliser l’animation, pourquoi ne pas installer une borne musicale prés de l’accueil. Il ajoute également qu’il est sur le point de recruter un agent qui servirait de chauffeur de taxi » pour que les résidents puissent d’avantage aller à l’extérieur. – PRESTATIONS REPASMadame SANGUINET rapporte le ressenti des résidents par rapport au petit-déjeuner et repas, où dans l’ensemble il y a des retours petit-déjeuner est de meilleure qualité, mais le café n’est parfois pas assez chaud pour les résidents qui sont servis en fin de pichet. Mme BERTAUD signale qu’elle a demandé aux agents de mettre la quantité de café pour 15 chambres et qu’ensuite ils repartent remplir les pichets pour que le café soit moins le repas du midi, les résidents trouvent le nouveau pain meilleur, meilleure présentation des plats. Ce qui a été relevé en point négatif est la distribution des repas qui pose problème, les cris de certains résidents plus dépendant, les fruits qui sont servis trop froid et pour le repas du soir en chambre le manque de sel et poivre sur les plateaux. Monsieur SIMON indique que l’un des cuisiniers doit faire office de chef de salle pour gérer l’ordre du service des repas. En fin de repas, il pourrait éventuellement aller à la rencontre des résidents pour savoir si le repas leur à plu ou si il y a des résidents qui mangent en texture haché trouvent que l’aspect n’est pas très appétissant et que le plat n’a pas de le goûter, ils réclament plus de fruit. Monsieur SIMON signale que le goûter va être modifié de façon à ce que ce soit plus varié gâteau, compote, laitage, fruit en changeant chaque jour. Madame MIQUAU demande si à la place du pain pour certains résidents il est possible d’avoir du pain de mie ? Mme BERTAUD est d’accord et précise que c’est déjà mis en place pour certains résidents. Monsieur SIMON rappelle que suivant les modifications apportées il y a un impact sur le budget. Par exemple, il est maintenant proposé tous les matins du jus de fruit multivitaminés, ce qui représente un coût de 3 000 € sur l’ soir, certains souhaiteraient avoir une tisane. Mme BERTAUD signale que les veilleuses servent déjà des infusions le soir aux résidents qui en font la demande et rappellera aux veilleuses de proposer plus souvent à d’autres résidents qui n’osent peut-être pas situation de M. D est évoquée car celui-ci a deux textures différentes entre le repas du midi et du soir. Madame BERTAUD explique que c’est le seul résident dans ce cas là pour lequel il y a bien une prescription de la part de son orthophoniste. M. D mange en haché le midi car il se trouve au restaurant et, si il y a un problème le personnel est présent immédiatement pour pouvoir intervenir. En revanche, le soir il mange en chambre en texture mixé pour éviter tous risque de fausse SIMON annonce que l’établissement a commandé du nouveau mobilier pour les deux restaurants ainsi que celui du personnel. Il sera livré courant juillet 2016. – ENTRETIEN DES CHAMBRESMadame SANGUINET signale que le nettoyage des sanitaires laisse à désirer et que les poubelles ne sont pas vidées régulièrement. Mme BERTAUD signale que prochainement il y aura une traçabilité au niveau du ménage un support a été commandé pour tester. Mme BERTAUD rappelle que le lavabo, les toilettes et l’adaptable doivent être lavés par les aides-soignants. Madame SANGUINET demande si les pichets sont changés tous les jours dans les chambres ? Madame BERTAUD répond que normalement oui et que 50 pichets supplémentaire ont été achetés de façon à ce qu’il y ai un roulement le temps du nettoyage. – VOL DANS LES CHAMBRESMadame SANGUINET fait remonter certaine information concernant les vols commis dans les chambres. Les résidents qui ont la clé de leur chambre se plaignent, car lorsqu’ils quittent leur chambre ils ferment à clé, et parfois à leur retour la chambre est de nouveau ouverte. Il est donc demandé aux agents que lorsqu’il rentre dans une chambre qui était fermée, de bien prendre soin de refermer derrière eux. Mme SANGUINET signale que pour certains résidents même en fermant leur porte à clé, il constate que des objets de valeur disparaissent. Monsieur SIMON signale que des caissettes fermant à clés on été installés dans toute les chambres mise à part celles de l’unité protégée. Il constate également que depuis le départ de certains professionnels il n’y a quasiment plus de vol. Aussi, lorsqu’un résident est hospitalisé, il est procédé à un inventaire des biens et valeurs du résident. Dans le cas où il y aurait une réclamation, nous serions en mesure de dire si le résident est parti avec ses valeurs ou pas. – PROBLEME APPEL MALADECertains résidents trouvent le temps d’attente trop long. Une étude sur le délai de réponse des professionnels aux appels sera envisagée si le phénomène se répète. – ORGANISATION DU TRAVAIL DES EQUIPESMadame SANGUINET signale que certains résidents trouvent qu’il y a trop de roulement au niveau du personnel, ce qui créé des pertes de repères. Madame BERTAUD explique qu’entre les congés, les formations et l’absentéisme il est compliqué de faire moins de roulements de personnel. Monsieur SIMON ajoute qu’au niveau du personnel contractuel nous avons toujours les mêmes agents. Mme BERTAUD signale que récemment il y a eu la mise en place de référent, qui font le lien avec les familles ou le tuteur quand il y a des besoins pour le trousseau etc.… Madame SANGUINET trouve que les produits de toilette sont rangés trop haut. Elle signale également qu’un mercredi elle avait porté du dentifrice pour sa mère et que le mardi suivant il y avait toujours l’opercule sur le tube. Madame BERTAUD indique qu’avec le nouveau logiciel de soins, chaque soin sera signé par le professionnel. Madame BAHOUGNE signale que plusieurs résidents se sont plaints car à plusieurs reprises ils ont vu certaines infirmières toucher le chien de Mme A. et administrer ensuite des médicaments aux résidents sans s’être désinfectées les mains au du jour étant épuisé, la séance est levée à 12h40. Madame Denise GAUTRAUD Présidente du conseil de vie sociale EHPAD St Jacques de COMPOSTELLE71 / 73 route des Lacs - 33780 SOULAC SUR MER 05 56 73 50 50 - 7 05 56 41 45 64e-mail contact DE VIE SOCIALERELEVE DE CONCLUSIONS DU 21 JUIN 2016_______________________Le vingt et un juin deux mille seize à dix heures, le Conseil de la Vie Sociale de l’EHPAD Saint jacques de Compostelle de SOULAC SUR MER 33780 s’est réuni, au lieu habituel des séances sous la Vice-présidence de Madame Eliane PRESENTS Monsieur Robert ROUHAUD, représentant des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Bernadette RAOULT, représentante des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Eliane JACOB, Viceprésidente, représentante des familles ou des représentants légaux,Madame Monique BAHOUGNE, représentante des familles ou des représentants légaux,Monsieur Gérard MASSE, représentant du personnelMadame Sandra REYREAUD, représentante du personnelETAIENT EXCUSES Membre avec voix délibérative Monsieur Claude MARTIN, membre désigné par le Conseil d’Administration en sa qualité de représentant de la commune de SOULAC S/MER,Madame Denise GAUTRAUD, Présidente, représentante des personnes accueillies ou prises en soinsMembre avec voix consultative Madame Béatrice BERTAUD, cadre de santé- Dr Jean-Marie BLAISE, médecin coordonnateur- Mme Camille MIQUAU, animatriceASSISTAIENT A LA SEANCE Avec voix consultative Monsieur Stéphane PICHON, directeurMonsieur Olivier SIMON, directeur adjoint A titre consultatif et sans voix consultative Secrétaire de séance non désigné, secrétariat assuré par un membre de l’administration désigné par le directeur Mademoiselle Laurine PLACIDO, adjoint administratif hospitalier,___________________ORDRE DU JOUR1 – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 19 AVRIL 20162 – PLAN CANICULE 20163 – DESIGNATION D’UN REPRESENTANT AU CONSEIL D’ADMINISTRATION4 – INFORMATION SUR LES COMMUNICATIONS TRANSMISES AUX INFIRMIERES5 – INFORMATION SUR LES HEURES DE FERMETURES DES PORTAILS6 – INFORMATION SUR LE DEVENIR DE L’ASSOCIATION D’ANIMATION7 – PROGRAMME ESTIVAL DE L’ANIMATION8 – DIVERS__________________Monsieur le directeur adjoint fait part des excuses du Dr BLAISE, et Mmes BERTAUD, GAUTRAUD et MIQUAU qui n’ont pu assistés à la séance. Il fait part également de la démission du CVS de Mme SANGUINET, qui sera remplacée par Mme JACOB en tant que vice présidente. – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 9 AVRIL 2016Le compte rendu de la séance du 19 avril 2016 est adopté à l’unanimité par les membres du Conseil de la Vie ROUHAUD fait part de son mécontentement du fait qu’il est été destitué de ses fonctions de président. Mme BAHOUGNE indique que l’établissement est une collectivité et que l’on peut comprendre qu’il est difficile de s’entendre avec tout le monde, mais que dans tous les cas il doit y avoir un respect à la demande de M. SIMON, M. ROUHAUD confirme qu’il souhaite toujours faire partie de cette instance. – PLAN CANICULE 016Monsieur SIMON signale que le plan canicule a été révisé et mis à jour. Nos stocks ont été revus brumisateur, eau …. Les familles et/ou représentants légaux peuvent amener des ventilateurs aux résidents en ayant au préalable prévenu le service technique afin qu’il vérifie s’il n’y a pas de risque électrique avec le matériel apporté. Des affiches ont été placées dans les ascenseurs, indiquant ce qu’il est conseillé de faire en cas de canicule ou de fortes chaleurs. Elles seront également remis à chaque résident et familles et/ou représentants légaux. Pour les agents, une fiche indiquant les bonnes conduites à tenir sera distribuée avec le bulletin de salaire de juin. M. MASSE précise que sur les 5 années à venir, il sera éventuellement envisagé de rafraichir des pièces supplémentaires. M. PICHON explique que l’on parle de canicule quand il y a eu 3 jours et 3 nuits consécutives avec des températures au-delà des moyennes de saisons, sinon il s’agit de fortes chaleurs. S’il y a une canicule, une Madame Canicule » sera alors désignée pour effectuer des passages réguliers dans toutes les chambres. M. SIMON rappelle que tous les couloirs de la façade sud ont été équipés de rideaux occultants. Le service technique a la charge de gérer l’ouverture et la fermeture des rideaux en fonction de la météo. M. MASSE précise que malgré les rideaux, certains secteurs sont plus chauds que d’autres et que la priorité des travaux sera sur ces secteurs là. – DESIGNATION D’UN REPRESENTANT AU CONSEIL D’ADMINISTRATIONDu fait de la démission de Mme SANGUINET, Mme BAHOUGNE est désignée à l’unanimité pour remplacer Mme SANGUINET en tant que représentante du Conseil de la Vie Sociale au Conseil d’Administration de l’établissement. – INFORMATION SUR LES COMMUNICATIONS TRANSMISES AUX INFIRMIERESLes infirmières sont présentes de 6h45 à 20h. M. SIMON explique qu’au regard de l’organisation du travail, il a décidé de décaler le transfert des appels des familles à l’attention des IDE à partir de 15h. Ce changement a fait l’objet d’une note d’information et, est en application depuis mi mai 2016. Il n’y a pas eu de retour négatif de la part des familles. En revanche, les infirmières apprécient beaucoup ce changement, qui leur permet de ne pas être dérangées et plus concentrées pendant les soins. De plus, Mme REYREAUD fait remarquer que juste avant il y a eu les transmissions entre les équipes de matin et de soir. Mme BAHOUGNE ajoute que la vision de la santé de santé du résident est donc faite sur la nuit passée, le repas du midi et une partie de l’après-midi. Monsieur SIMON signale que si il y a des remarques de la part des familles, ne pas hésitez à faire remonter l’information. Monsieur SIMON ajoute que lors de la révision des documents institutionnels, le règlement de fonctionnement et contrat de séjour devront être modifiés afin que ce changement soit notifié. En attendant la modification des documents, la note d’information sera remise en même temps que le contrat de séjour. – INFORMATION SUR LES HEURES DE FERMETURES DES PORTAILSMonsieur MASSE explique que récemment une résidente a quitté l’établissement sans avoir prévenu pendant plusieurs jours. Une cellule de crise a due être mise en place. Jusqu’à présent, les portails se fermés automatiquement de 21h45 à 6h30. Monsieur SIMON précise que pour la sécurité des résidents tout en assurant le respect de leur liberté d’aller et venir, à compter du 27 juin 2016, l’ouverture du portail de l’accès principal ne pourra se faire que par un membre du personnel de l’établissement à partir de 20h00 le soir et jusqu’à 6h30 le matin. Le personnel sera joignable soit en utilisant le téléphone situé à l’accueil de l’établissement soit en composant le numéro du standard Madame BAHOUGNE demande s’il y a beaucoup de résident qui fugue ? Monsieur SIMON répond que c’est peu fréquent. Il rappelle qu’aujourd’hui il existe des moyens pour localiser un résident comme le bracelet anti-fugue. Depuis un mois, l’établissement a sollicité quelques fournisseurs, pour essayer d’obtenir un moyen de géo localisation pour les résidents susceptible de fuguer. – INFORMATION SUR LE DEVENIR DE L’ASSOCIATION D’ANIMATIONM. SIMON explique qu’il existe beaucoup de confusion entre les missions de l’association et l’animation, la prise en charge de certaines activités… Lors de la dernière assemblée générale, il n’y avait pas de résident, ni de personnel qui ont souhaités se présenter pour reprendre l’association d’animation. M. SIMON laisse jusqu’à la fin de l’année pour voir si des personnes seraient éventuellement intéressées pour reprendre l’association, sinon elle n’aura plus lieu d’être. Si des familles sont intéressées pour en faire partie et souhaitent plus de renseignements, elles sont invitées à prendre contact avec Mme SEURIN, secrétaire adjointe. L’association sert pour deux types de financement les prestations extérieurs et l’achat de matériel pour l’animation. Le budget de l’animation a d’ores et déjà été revu, pour que l’animatrice n’ait plus besoin de solliciter l’ BAHOUGNE indique ne pas connaître la composition du bureau de l’association. Monsieur PICHON signale qu’avant l’association avait un lien avec l’établissement car ce dernier lui versait une subvention. Or, depuis deux ans ce n’est plus le ROUHAUD remercie M. PINTAT, pour le versement de la subvention qui est octroyé par la mairie de BAHOUGNE trouve dommage que le temps de l’animatrice passé à l’association n’est pas mis au bénéfice des résidents qui sont plus SIMON pense que si l’association doit s’arrêter, le plus difficile sera par rapport à la boutique, car c’est un service apprécié par les résidents et que celui-ci ne peut être géré que par une PICHON indique qu’il faudrait trouver du temps de bénévole pour pouvoir ouvrir la boutique et que ce ne soit plus l’animatrice qui s’en charge afin d’éviter toute BAHOUGNE demande si des personnes des Senioriales ne pourraient pas s’en charger ? M. SIMON explique qu’ils sont là lors des festivités, mais qu’ils ont créés récemment leur association et n’auront pas la possibilité de consacrer du temps pour la SIMON ajoute que Mme MIQUAU a mis en place un partenariat avec le cinéma de Lesparre et Soulac, ce qui est une bonne chose. Cependant, il reste le prix de la place de cinéma qui est à la charge du résident, ce qui peut être un frein pour certains qui ont peu de ressources. C’est là ou l’association pourrait avoir un but caritatif, en prenant en charge le coût des sorties pour les résidents qui ont peu de ressources et pas de familles. – PROGRAMME ESTIVAL DE L’ANIMATIONMalgré la période estivale, il y a de nombreux jours où des animations sont proposées. Bien entendu, celles-ci seront maintenues en fonction de la météo. Sur la partie vie sociale, il faut penser à repositionner et intégrer de nouveau les personnels sur l’animation. L’animatrice ne devrait pas faire d’animation mais seulement coordonner les activités. M. SIMON remercie Mme MIQUAU pour son implication. Quant à Mme COUVREUX, elle arrive sur sa 5ème et dernière année de contrat CUI. Mme BAHOUGNE trouve aberrent que l’on puisse recruter de nouveau quelqu’un mais que ça ne peut pas être la même personne, alors que celle-ci a acquise des compétences…. M. SIMON signale que dans la limite du tableau des effectifs, il essaye de garder les personnes compétentes dont leur contrat CUI arrive à échéance. Le repas champêtre a été une réussite mise à part certaines chansons qui étaient peu entrainantes. L’animatrice doit être plus sensible au répertoire des chansons. Le personnel a été très impliqué, environ 220 personnes présentes et beaucoup de nouvelles familles. Les cuisiniers ont pu venir déjeuner avec les résidents. Les représentants des familles félicitent les cuisiniers pour le repas. M. SIMON ajoute qu’il reste tout de même des efforts à faire sur le dressage des assiettes, la variation des produits et la présentation des textures modifiées. Le programme des animations du 3ème trimestre sera joint au présent compte rendu. – DIVERSM. ROUHAUD signale que M. B crie souvent la nuit, ce qui est difficile à supporter pour pouvoir s’endormir. M. SIMON indique que le médecin traitant de ce résident a été sollicité de façon à adapter son traitement au mieux et un suivi psychologique est actuellement en des chambresLors du dernier Conseil de la Vie Sociale, il avait été signalé qu’un support test » avait été commandé pour le suivi de l’entretien des chambres. M. MASSE explique que ce support a été expérimenté sur une chambre témoin. Cela permet de voir le jour où le changement de draps a été fait ainsi que le ménage, et le nom de l’agent qui a réalisé cette tâche. Le support coute 23 € pièce. Celui-ci serait installé dans toutes les chambres ainsi que tous les lieux communs. L’idée n’est pas de surveiller le travail des agents, mais face aux questionnements d’une famille de pouvoir apporter une réponse justifiée. M. SIMON précise que certaines chambres ont été identifiées comme devant être faite tout les jours. M. ROUHAUD est satisfait du ménage comparé à civiqueLe Service Civique est un engagement volontaire au service de l'intérêt général. Il peut être effectué auprès d’associations, de collectivités territoriales mairies, départements ou régions ou d’établissements publics musées, collèges… dans 9 grands domaines dont le médico-social. Les démarches administratives sont complexes pour pouvoir obtenir un volontaire. L’EHPAD adhère à la FHF Fédération Hospitalière de France, donc cela nous permet d’éviter toutes les démarches administratives. Nous avons donc signalé à la FHF que nous avons deux projets celui du taxi/bus », et un en commun avec l’établissement de vertheuil, qui serait d’accompagner les résidents aux nouvelles technologies de communication, et éventuellement la création d’un site internet. Le dossier a été déposé début juin, la commission aura lieu à la fin du mois, avec un retour pour le mois d’octobre 2016. La contribution que l’établissement devrait verser est de 110 € par mois par volontaire. Nous devrons également répondre à des obligations car un cahier des charges a été fixé. A l’avenir, le 3ème projet serait la création d’une ferme thérapeutique, avec si possible un volontaire bénéficiant d’une formation animalière. Etant sensible au gaspillage alimentaire, les épluchures de légumes etc. pourraient servir à nourrir les animaux plutôt que d’être jetés à la 22 juin l’établissement reçoit le mobilier du restaurant. Celui-ci sera doté de table ronde, plus conviviale et un repositionnement des anciennes tables sera fait sur l’ s’est associé avec d’autres EHPAD du groupement de coopération des ehpads publics girondins afin de passer un marché dans le but d’avoir des produits de meilleurs qualité au meilleur prix. M. ROUHAUD constate une nette amélioration au niveau des MASSE trouve qu’il y a plus de communication au niveau des équipes. Mme BAHOUGNE rejoint l’avis de M. MASSE, constate que les équipes sont plus soudées, à l’écoute… Lorsque des soins supplémentaires sont faits les familles sont prévenues, il y a plus de dialogue. M. SIMON précise que le changement des horaires de travail a été bénéfique, car à certains moments clé comme le repas, les agents sont plus nombreux. Il ajoute également que les équipes sont constructives et adhèrent aux changements. L’arrivé de la nouvelle cadre de santé a permis de revoir les organisations … Le personnel est à l’écoute des familles, tous les agents s’impliquent ce qui améliore la qualité du du jour étant épuisé, la séance est levée à 12h10. Madame Eliane JACOB Vice Présidente du conseil de vie sociale

Ilpermet notamment d’entendre la voix à la fois des usagers et des professionnels. Le CVS est un lieu d'expression qui vous permet d’éhanger ensemle sur de s questions partagées collectivement. Il concerne autant les résidents, les familles et le personnel. Le CVS permet la libre expression des résidents et des familles. Qui en fait partie ? Le conseil de l’EHPAD

Après six semaines de confinement destiné à contenir l’intrusion du virus, les visites des familles dans les Ehpad ont repris ce lundi selon un protocole très précis. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1,59€/semaine. Sans engagement de durée. En profiter Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Connectez-vous

Arriverà une meilleure reconnaissance du rôle d’aidant, une meilleure prise en compte de leur fonction essentielle. Désormais, l’alliance pourra faire entendre sa voix à l’Onu, puisqu’elle fait possède aujourd’hui un statut consultatif auprès de l’Ecosoc, le Conseil économique et social des Nations Unies.

Une voix pour faire valoir les droits des résidents et des familles en EHPAD, France Assos Santé PACA alerte ! Face au vieillissement massif de la population et l’augmentation des demandes d’accueil en établissement médico-social, le fonctionnement de ces structures peuvent-elles véritablement garantir le respect de la dignité des personnes dans tous les aspects de leur parcours de vie ?
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